Le tuyau… d’Adrien Wolfersberger (VC Savigny)

Après Michel Vanvynckt (ECMV) la semaine dernière sur la course de Fontainebleau(77), c’est au tour d’Adrien Wolfersberger, coureur cadet deuxième année au VC Savigny-sur-Orge (91) de donner son tuyau pour dimanche prochain.

Course cadets de Fublaines (Seine-et-Marne)  : 

« Si c’est le circuit auquel je pense il est très dur avec une bosse sacrément pentue,de quoi faire la sélection. Les coureurs à surveiller seront sûrement ceux d’Argenteuil Igor Humbert notamment,et certains de province. Je pense que pour cette course il ne faudra pas se mettre dans le rouge dès le début, il faudra suivre les coups, prendre les échappées. Sur un circuit comme celui la un coup qui part peut aller au bout.C’est une course importante du début de saison car il faut faire ses preuves pour espérer être dans les sélections départementales voire régionales. Malgré une course de mouvement l’écrémage se fera probablement au fil des tours dans la bosse. Il faut donc rester attentif pour ne pas être piéger quand le bon coup part. »

 

Photo : Gérard Briand.

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Claire Menard sur les pas de Roxane Fournier ?

Club référence en matière de formation en Ile-de-France, le Parisis AC 95 continue de sortir des jeunes talents aussi bien chez les hommes que chez les femmes, à l’image du duo de cadettes : Léa Demiautte et Claire Menard.
Cette dernière domine la saison de cyclo-cross dans la catégorie, avec pas moins de huit victoires pour le moment sur l’ensemble de la saison, dont une le 27 décembre à Souppes-sur-Loing (Seine-et-Marne). Ceci n’est pas le fruit du hasard.
« J’ai débuté le vélo grâce à mon père Nicolas qui m’y a incité quand j’étais en pupille 2. Au début, j’étais plutôt réticente à cette idée mais, finalement, après quelques courses, j’ai beaucoup aimé » raconte la fille de Nicolas Menard, coureur départemental au Parisis AC 95 et spécialiste de cyclo-cross, comme en atteste sa médaille d’argent au championnat régional de Montgeron (Essonne), il y a deux ans tout comme sa fille.
« Cela reste un bon souvenir de se retrouver médaillés tous les deux le même jour, même si j’aurais aimé remporter le titre, mais j’étais contente pour Léa » se remémore l’actuelle championne d’Ile-de-France de la spécialité.
« Le cyclo-cross est pour moi une discipline très complète qui regroupe la technique et la puissance, un alliage qui me plaît » avoue celle qui a pour modèle Roxane Fournier, professionnelle dans l’équipe Poitou-Charentes Futuroscope 86, mais aussi licenciée au Parisis AC 95, son club formateur. Elle visera sur route un podium au championnat régional.

Photo : L.M

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Brèves transferts

Jérémy Martin quitte le Paris Cycliste Olympique pour l’équipe junior d’Antony Berny Cycliste.

Gaston Quetel sera licencié cette saison en D2 du coté de l’AS Soisy-Enghien-la-Barre (95).

William Bottini portera le maillot de l’UC Bords-de-Marne(94) cette année chez les départementaux.

Olivier Derquenne reprend le cyclisme en D1 à l’EC Montgeron-Vigneux(91).

L’ancien sociétaire du CSM Puteaux, Cédric Jacquot rejoint l’équipe 3e catégorie du CC Igny-Palaiseau 91.

Manon Valentino quitte le Team Haro Bikes Paris-Massy pour le Stade Bordelais(33).

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Evenot danse la valse dans la Vienne

Le Val d’Oisien Killian Evenot (Dunkerque Littoral Cyclisme) n’a pas fait dans la demi-mesure pour s’imposer au sprint lors de la première manche de coupe de France DN3, la Vienne Classic, dimanche 6 mars. Le coureur de 21 ans devance deux autres franciliens, Boris Zimine (CM Aubervilliers 93) et Grégory Noel (AS Corbeil-Essonnes).

Radio Peloton : Killian, vous vous attendiez à remporter une manche de coupe de France DN3 ?

Killian Evenot : Je dirais, que j’espèrais gagner une manche de coupe de France DN3. Je savais que sur la Vienne Classic cela pouvait se faire. L’an dernier j’avais réglé le sprint du peloton. Je savais donc que le parcours pouvait me convenir et que la ligne droite d’arrivée était dans mes cordes.

Radio Peloton : Qu’est ce qui a fait la différence selon vous ?

Killian Evenot : Le mental et les conditions climatiques de la fin de course avec la pluie et la grêle. J’aime quand la course se durcit avec les éléments. Il faisait froid, très froid. A titre personnel, je ne sentais plus mes bras, mes pieds et mes jambes, j’avais besoin de me réchauffer en sprintant (rires).

Radio Peloton : Qu’ambitionnez-vous maintenant pour la suite de la saison ?

Killian Evenot : Je veux continuer à performer même si parfois, la forme ne sera pastoujours là. J’aiderai également mes coéquipiers à aller chercher la victoire. J’ai d’autres objectifs dans un coin de ma tête mais qui sont beaucoup plus tard dans la saison.

Radio Peloton : Ancien champion de France sur piste, on vous retrouvera dans cette discipline cette année ?

Killian Evenot : Je roule une à deux fois par semaine sur le Vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines (Yvelines), pour travailler les intensités, le geste de pédalage, l’explosivité, la vélocité enfin tout en fait (rires). Ca m’aide beaucoup pour la route, j’aime bien la piste de toute façon. Je pense reprendre les compétitions sur piste assez sérieusement, pour m’améliorer notamment sur la poursuite.

Photo : Gérard Briand.

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Retour sur la course de Fontainebleau

550 coureurs étaient présents sur l’ensemble des six courses de la journée organisées par le VC Fontainebleau-Avon, dimanche 6 mars. Les vainqueurs ci-dessous :

Classements :

D4 : 1.Correia (VC Fontainebleau-Avon).

D3 : 1.Herdia (Baumes la Rolande).

D2 : 1.Joswiak (VCFA).

D1 :1.Liger (ES Stains).

Prix d’équipe : Paris Cycliste Olympique.

Cadets : 1.Tyndall (Team 94 Villeneuvoise).

Prix d’équipe : EC Montgeron-Vigneux.

Minimes : 1.Cordeiro (UC Longjumeau).

Prix d’équipe : ESC Meaux.

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Brèves

Benjamin Thomas (EC Armée-de-Terre) est devenu vice-champion du monde sur piste de l’américain dimanche dernier en compagnie de Morgan Kniesky (Team Raleigh).

Tony Gallopin (Lotto Soudal) et Kévin Reza (FDJ) sont les deux franciliens à disputer Paris-Nice, cette semaine.

Sébastien Thery (EC Velizy 78) s’est imposé sur la course D2 de Chateauneuf-sur–Loire (Loiret), le 6 mars.

 

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Résultats BMX coupe de France à Ste Maxime

Retour sur les résultats des premières manches de la coupe de France à Sainte-Maxime (Var) :

Maxime Orlhac (VC Massy Palaiseau 91) : troisième de la première manche, huitième de la deuxième manche, chez les minimes.

Malaury Urbany (Eragny) : sixième lors de la première manche chez les filles 17 ans et+.

Bilal Fautrai (Franconville) : cinquième lors de la première manche, septième lors de la seconde chez les 17/24 ans.

Laetitia Chevallier (Les Clayes-sous-Bois) : quatrième chez les cadettes lors de la première manche et troisième lors de la deuxième.

Antoine Monléon (Franconville) : troisième chez les 25/29 ans lors de la seconde manche.

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Première manche du championnat de France de cycle-balle

L’Ile-de-France, à travers le Paris Cycliste Olympique, s’est lancée officiellement dans le cycle-balle : une première équipe francilienne a participé à la première manche du championnat de France « élites » 2016 le dimanche 6 mars à Feurs (Loire). Cette discipline du cyclisme en salle n’était plus pratiquée depuis les années 1930 dans notre Comité.

Après le lancement du C.S.M. Puteaux en cyclisme artistique en 2015, le PCO est le deuxième club francilien à se lancer officiellement dans le cyclisme en salle. Et ce n’est pas fini, car le cyclisme en salle « démange » d’autres clubs, à l’image de ceux qui ont débuté dans l’ombre l’entraînement en cyclisme artistique, mais dont on parlera bientôt.

Après un stage de 5 jours à Dorlisheim (Alsace) pour apprendre les bases de la discipline, Adrien et Alain Derly ont joué leur 5 premiers matches de championnat de France « élite » sous les couleurs du Paris Cycliste Olympique. Le niveau du championnat de France « élites » est très élevé, à l’image de l’équipe d’Alsace 1, dont les deux joueurs, Quentin Seyfried et Benjamin Meyer (V.C.E. Dorlisheim) ont décroché la médaille de bronze au championnat du monde 2015… Ce ne sont donc pas les 5 défaites contre des équipes d’Alsace, de Lorraine et de Rhône-Alpes qu’ont retenu ces joueurs franciliens, mais tous les conseils donnés par les entraîneurs et joueurs du V.C.E. Dorlisheim durant 5 jours, puis par les joueurs des autres équipes rencontrés à Feurs.

Il reste beaucoup de travail aux deux Parisiens pour arriver à taquiner les équipes du championnat de France « élites ». Il reste également à obtenir une salle d’entraînement pour mettre en pratique tous les conseils enregistrés durant une semaine et progresser efficacement.

Les objectifs du P.C.O. sur cette saison sont simples : progresser tout au long de l’année à l’entraînement et via certaines compétitions (Coupe de France les 2 et 3 avril, tournois de Puteaux le 28 mai, de Rombas (Lorraine) en juin et de Balbigny (Rhône-Alpes) en juillet, autres manches du championnat de France) afin de bien figurer lors de la phase finale du championnat de France les 22 et 23 octobre prochain à Puteaux. Et donner l’envie à d’autres équipes franciliennes de se lancer afin de monter un championnat d’Ile-de-France dès 2016.

L’Ile-de-France, à travers le Paris Cycliste Olympique, s’est lancée officiellement dans le cycle-balle : une première équipe francilienne a participé à la première manche du championnat de France « élites » 2016 le dimanche 6 mars à Feurs (Loire). Cette discipline du cyclisme en salle n’était plus pratiquée depuis les années 1930 dans notre Comité.

Après le lancement du C.S.M. Puteaux en cyclisme artistique en 2015, le PCO est le deuxième club francilien à se lancer officiellement dans le cyclisme en salle. Et ce n’est pas fini, car le cyclisme en salle « démange » d’autres clubs, à l’image de ceux qui ont débuté dans l’ombre l’entraînement en cyclisme artistique, mais dont on parlera bientôt.

Après un stage de 5 jours à Dorlisheim (Alsace) pour apprendre les bases de la discipline, Adrien et Alain Derly ont joué leur 5 premiers matches de championnat de France « élite » sous les couleurs du Paris Cycliste Olympique. Le niveau du championnat de France « élites » est très élevé, à l’image de l’équipe d’Alsace 1, dont les deux joueurs, Quentin Seyfried et Benjamin Meyer (V.C.E. Dorlisheim) ont décroché la médaille de bronze au championnat du monde 2015… Ce ne sont donc pas les 5 défaites contre des équipes d’Alsace, de Lorraine et de Rhône-Alpes qu’ont retenu ces joueurs franciliens, mais tous les conseils donnés par les entraîneurs et joueurs du V.C.E. Dorlisheim durant 5 jours, puis par les joueurs des autres équipes rencontrés à Feurs.

Il reste beaucoup de travail aux deux Parisiens pour arriver à taquiner les équipes du championnat de France « élites ». Il reste également à obtenir une salle d’entraînement pour mettre en pratique tous les conseils enregistrés durant une semaine et progresser efficacement.

Les objectifs du P.C.O. sur cette saison sont simples : progresser tout au long de l’année à l’entraînement et via certaines compétitions (Coupe de France les 2 et 3 avril, tournois de Puteaux le 28 mai, de Rombas (Lorraine) en juin et de Balbigny (Rhône-Alpes) en juillet, autres manches du championnat de France) afin de bien figurer lors de la phase finale du championnat de France les 22 et 23 octobre prochain à Puteaux. Et donner l’envie à d’autres équipes franciliennes de se lancer afin de monter un championnat d’Ile-de-France dès 2016.

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Ibrahime rêve de victoire !

Stéphane Ibrahime remportera-t-il la première de victoire de sa carrière cycliste cette saison en FFC ? A 30 ans, l’ancien coureur de l’AC Orsay fera partie des coureurs à suivre cette année en 3e catégorie. « J’ai débuté le cyclisme en compétition par hasard, ce n’est vraiment qu’en 2005 que j’ai mordu au virus en allant voir des courses élites en compagnie de Jean-François Meriguet, le père de mon coéquipier et ami de longue date, Jean-Philippe » se remémore Ibrahime qui ne regrette en aucun cas son choix d’avoir opté pour cette discipline. « Les sensations qu’on peut éprouver en course et à l’entraînement sont très grisantes. Je suis aussi passionné par le côté préparation, la richesse stratégique et tactique des courses, sans oublier cette part d’aléas avec lesquels il faut sans cesse composer». Débutant au club de VTT des Ulis en 2000, Stéphane Ibrahime a ensuite opté pour le voisin de l’AC Orsay puis les Bleus de France, l’AC Boulogne –Billancourt avant de rejoindre le VC Arpajon à l’intersaison tout comme un de ses amis, Arnaud Alvès, ancien pensionnaire du club localisé à Suresnes. « J’ai d’abord privilégié les copains peu importait l’endroit où ils étaient licenciés finalement. Ce n’est qu’en montant en 2e catégorie que j’ai eu envie de m’investir dans une plus grosse structure » confesse l’essonnien qui garde de bons souvenirs de son année passée à l’ACBB. « L’ambiance était vraiment sympa entre coureurs et avec l’encadrement, j’ai eu le sentiment d’apporter une modeste pierre à un édifice historique ne serait-ce que pour une saison ». Stéphane Ibrahime avait d’ailleurs participé à Paris-Connerré 2015, l’un des rares coureurs 2e catégorie au départ de l’épreuve élite. « J’ai été pris par le virus en regardant des élites sur le bord de la route. Etant monté en 2 je n’aurais manqué cette occasion pour rien au monde. La boucle devait être bouclée » sourit le longiligne grimpeur qui se montre ambitieux dans la quête d’une première victoire. « A mon modeste niveau, toute victoire serait belle! Mais si je devais vraiment n’en cocher qu’une ce serait peut-être Méréville (Essonne). C’est la première course à laquelle j’ai participé en junior et un tir monumental dont je me souviendrai toute ma vie! Sur le moment j’ai pensé que le vélo ça n’était pas pour moi. Maintenant, je me rends compte que c’est possible, lever les bras là-bas aurait donc une saveur toute particulière là où tout a commencé » estime l’ancien sociétaire des Bleus de France conscient des lacunes qui ont pu l’empêcher d’ambitionner plus tôt de passer la ligne d’arrivée en vainqueur. « La condition d’abord. J’ai mis du temps à réaliser l’importance de la préparation et quand bien même c’était le cas, mes saisons étaient très souvent entrecoupées pour de multiples raisons. Le manque de confiance et d’expérience ensuite. Ce n’est qu’en montant sur mon premier podium au CIF que je me suis rendu compte que j’avais ma chance autant que les autres. Si je m’en étais rendu compte avant j’aurais sans-doute produit mon effort plus tôt et qui sait? Mais c’est comme tout, cela s’apprend, et j’ai encore beaucoup de progrès à faire » confesse l’ancien entraîneur d’athlétisme du club d’athlétisme de Massy. Etudiant en thèse, Stéphane Ibrahime s’est fixé d’autres objectifs en plus de s’imposer pour la première fois de sa carrière cycliste. « Je veux continuer à me faire plaisir et m’amuser. A moyen terme j’aimerai bien remonter en 2e catégorie pour éventuellement découvrir d’autres courses élites à l’occasion » avoue le troisième des Challenges du CIF 2014 en 3e catégorie sur l’Autodrome de Linas-Montlhéry (Essonne). Stéphane Ibrahime pourra en tout cas compter sur ses amis du VC Arpajon, l’une des meilleures équipes 3e catégorie d’Ile-de-France pour remplir ses objectifs, à l’image de coureurs expérimentés comme Amaury Grelot et Flavien Legeay.

Photo : Martial Denais.

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