Ramaroson prête pour son Tour de France

Marina Ramaroson s’apprête à vivre l’expérience d’une vie ! A 29 ans, la Béarnaise s’alignera pour la première fois sur le défi « Donnons des elles au vélo J-1 » au départ de Florence (France), le 28 juin. « Je suis arrivée sur le tard au vélo. Après un passage par le trail, j’ai commencé par effectuer des cyclosportives dans le sud de la France, il y a trois ans et demi » explique celle qui s’est inscrite cette année dans le club Ufolep de Thèze (Pyrénées-Atlantiques). Après avoir participé à certaines étapes du « DDEV J-1 » par le passé, la jeune franco-malgache va donc découvrir l’aventure de l’intérieur. « Le processus d’intégration a été relativement simple. Il fallait dans un premier temps déposer un dossier puis j’ai eu un entretien avec Claire Floret et Mathieu Istil. Avec les filles sélectionnées, nous avons eu une prise de contact au cours des différents rassemblements en amonts dont notamment une avec les filles de l’équipe compétition « DDEV-Evry-Courcouronnes » détaille Marina Ramaroson qui enchaine les sorties individuelles ou collectives depuis le début du mois de janvier. « J’en suis à 7000 kilomètres environ. Je me prépare en conséquence. J’avais effectué mes premiers 100 kilomètres avec l’ensemble du groupe au cours d’une étape avec les filles. J’espère être à la hauteur physiquement ». Indépendante, Marina Ramaroson espère faire profiter son expérience et son amour de la pratique du cyclisme à un plus grand nombre. « Je suis assez impatiente de participer à cette aventure. Je me considère davantage comme une grimpeuse. J’ai donc plus d’appréhension sur des étapes considérées comme plates et qui peuvent être monotones. J’espère apprendre sur moi, apprendre des autres mais surtout croquer pleinement cette expérience sportive et humaine ». Femme de défi Marina Ramaroson ne compte pas s’arrêter au 3586 kilomètres et 53678 mètres de dénivelé positif de cette dixième édition du « DDEV-J-1 » . « Pour mes 30 ans, j’ai prévu de partir à Madagascar, le pays d’une partie de mes origines et où vivent encore mes grands-parents. J’ai aussi en tête de refaire un trail, mais chaque chose en son temps. Je veux d’abord profiter au maximum de ces trois semaines avec les filles ».

Photo :DR. 

 

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Un titre national pour Vanvynckt

L’année 2024 a commencé de la meilleure pour Michel Vanvynckt ! Le coureur de l’EC Morsang-sur-Orge a remporté son premier titre national FSGT en e-cycling 3e catégorie. Régulier au cours de cette compétition composée de huit manches, l’Essonnien apporte le premier titre hexagonal dans cette discipline émergente à la formation présidée par Felipe N’So. « J’ai forcément une pensée pour tous les dirigeants du club qui s’investissent tout au long de la saison pour nous mettre dans les meilleures conditions à l’image de Jean-Philippe Minotte » souligne le polyvalent coureur sud francilien habitué jusqu’ici à briller sur l’échiquier régional à l’image de son titre de champion d’Île-de-France élite de cyclisme artistique remporté en 2017 ou sur de nombreuses compétitions franciliennes toutes disciplines confondues.

 

Michel Vanvynckt a écrit une nouvelle page de l’histoire de l’EC Morsang-sur-Orge. Photo : Loïc Manceau.

 

« A la suite d’une blessure au bras, j’ai dû stopper d’un coup le cycle-balle, le cyclisme artistique mais également, le polo-vélo, malheureusement » souffle l’athlète de 46 ans qui a retrouvé un nouvel élan sportif avec la pratique récurrente du e-cyclisme, du VTT XCO, mais également du cyclo-cross et ponctuellement de la route en complément du duathlon et du triathlon, deux disciplines dans lesquelles il se distingue dans sa catégorie d’âge à l’échelle locale . « Pratiquant assidu d’entrainement sur home-trainer depuis de nombreuses années, j’ai commencé le e-cyclisme à l’été 2020. J’y ai trouvé un compromis pour une pratique cycliste en compétition, très directe et détaillée, ainsi que très sociale avec les canaux vocaux reliant des membres du Team par exemple» confesse Michel Vanvynckt, également considéré comme l’un des meilleurs gardiens franciliens de polo-vélo de sa génération. Observateur à l’oeil aiguisé du cyclisme francilien, le coureur formé à l’EC Montgeron-Vigneux suit avec intérêt l’ensemble des disciplines du vélo qu’il a pu pratiquer ainsi que les performances de la formation dans laquelle il a effectué ses premiers tours de roue en compétition au siècle dernier. Fan du coureur américain Greg Lemond dans sa jeunesse, Michel Vanvynckt aborde positivement la suite de l’année 2024. « L’idée, c’est d’obtenir des performances dans ma catégorie d’âge en duathlon et triathlon. J’ai aussi en tête de faire de mon mieux sur la saison de cyclo-cross, comme j’ai pu le faire sur le VTT Tour FSGT qui vient de se terminer. Mais la tâche la plus ardue sera de développer un esprit d’attaquant sur route !»

 

Photo : Loïc Manceau.

 

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Un Meeting 2024 de haute-volée !

Meeting de la Ferté-Alais (2024) :

Les années se suivent et se ressemblent pour le Meeting de la Ferté-Alais ! L’édition 2024 n’a pas dérogé à la règle avec près de 30000 spectateurs cumulés sur ce week-end du 18 et 19 mai ! Un succès populaire qui ne se fait pas démentir et qui a occasionné de nombreux bouchons dans le secteur de Baulne, le samedi. Si cette 51e édition du « Temps des Hélices » a attiré un public de novices, des habitués reviennent pour admirer au seul Meeting de ce type dans le ciel essonnien. Ancien coureur de l’US Métro-Transports, Abdelkarim fait notamment partie de ceux qui étaient présents à cet évènement. « C’est la cinquième fois que j’y allais et c’est vraiment bien. La première raison c’est l’affiche du Meeting et qui donne envie d’être de cette fête. J’ai aussi de la chance de résider pas très loin de la Ferté-Alais. J’apprécie également la proximité avec les pilotes, les échanges sur des appareils très rares et légendaires. Ca parle de l’aventure de l’aéronautique à l’époque où le mots « pionnier » et « pionnière » avait du sens. Et j’ai beaucoup de respect pour ces gens-là qui ont révolutionné notre monde.» commente celui qui était accompagné de sa compagne Heddy, licenciée à l’EC Montgeron-Vigneux . « Ce qui m’impressionne c’est de voir les voltiges aériennes, le spectacle, la patrouille de France et le bruit du F16 » .

 

 

Doté d’un savoir-faire qui a fait ses preuves , l’équipe d’organisation de l’Amicale Jean-Baptiste Salis a réussi un sans-faute sur quasiment tous les points et c’est toujours avec un plaisir non-dissimulé que l’on retrouve ces engins volants à l’image du Caudroin GIII , du Westland Lysander Mk.III ou encore du Boeing B-17 Flying Fortress, tous présents pour la commémoration des 80 ans du D-Day. Dans les airs, la démonstration du F/A-18 Swiss Hornet Solo Display, la patrouille Team Raven , le show Wingwalker et un final par la patrouille de l’Aéro-Club de France ont ravi les plus petits tout comme les plus grands qui ont déjà pris rendez-vous en 2025 pour une prochaine édition de ce Meeting. « A l’avenir, j’aimerais bien le retour des gros porteur, militaire ou civil. J’ai le souvenir du Transal qui avait atterri et redécoller et aussi l’A 400M qui avait survolé au ras du sol. C’était énorme » commente Abdelkarim, la tête déjà tournée vers la prochaine édition.

 

Photos : Fabrice Sautereau. 

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Le temps des Hélices au mois de mai

L’aérodrome de Cerny-la Ferté-Alais sera en effervescence les 18 et 19 mai à l’occasion du Meeting aérien « Le temps des Hélices » ! Pour cette 51e édition, l’accent sera mis sur la seconde guerre mondiale à l’occasion des 80 ans du débarquement des alliés sur les côtes normandes puis provençales. Organisateur de l’évènement, l’Amicale Jean-Baptiste Salis a une nouvelle fois mis les petits plats dans les grands pour ce rendez-vous de renommée internationale. Si les baptêmes se succéderont au cours de ce Meeting, de nombreux exposants seront aussi de la partie ainsi que des animations agrémenteront ce week-end printanier. Appareil mythique de son époque , Le TF-51D Mustang sera en haut de l’affiche au milieu du Blériot XI et du Caudron G-III. Présente l’an dernier à l’occasion de de son soixante-dixième anniversaire, la patrouille de France sera aussi de la partie tout comme l’Aéro Club de France et le Team Raven. Près de 150 avions seront exposés au sol et 100 seront présentés en vol l’après-midi.

Plus d’informations ici :
https://letempsdeshelices.fr
https://www.ajbs.fr

Photo : Loïc Manceau.

 

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L’équipe de Radio Peloton a lu…

La petite reine : Une anthologie littéraire du cyclisme

Amoureux du cyclisme depuis de nombreuses années, Nicolas Grenier est réellement passionné par ce domaine. Dans son livre, « La petite reine : Une anthologie littéraire du cyclisme » (Editions du Volcan), l’auteur nous expose un ensemble de textes autour du vélo, le plus souvent sur une période oscillante entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Le livre plaira ou ne plaira pas en fonction des affinités que l’on peut avoir avec cette période. Mais le fil conducteur nous emmènera vers des histoires romanesques, d’évolutions technologiques le tout avec beaucoup de candeur. A tous les passionnés de la petite reine, c’est un livre à avoir absolument lu et dans sa bibliothèque.

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L’année de Khan ?

Nassim Khan sera-t-il la révélation du Watt Cycling Club cette saison ? A 28 ans, le coureur porte depuis l’an passé les couleurs de la formation parisienne. « J’ai découvert le vélo en tant que coursier Parisien en 2016 et je pratique le cyclisme en compétition depuis septembre 2023. Avant de m’épiler les jambes, j’enfilais des rollers pour glisser sur des rails dans les skate parks et les rues, puis un peu plus tard, des mitaines de MMA pour échanger des droites pédagogiques au sein de la Snake Team à Épinay- sur -Seine » détaille le protégé de la présidente Annabelle Broust, habité par sa pratique du vélo. « J’aime tellement de choses dans ce sport tant aussi bien la sensation de légèreté sur un vélo de route, la volonté d’aller le plus vite possible en descente, en comprendre la mécanique et apprécier les lignes d’un beau cadre, rigoler avec les copains sur la sortie du dimanche. Monter sur un vélo ou en parler est quelque chose qui m’apaise et me passionne » confesse Nassim Khan pleinement épanoui dans sa formation du Watt Cycling Club. « J’ai débuté au Watt en 2023. Je cherchais un club pour m’essayer aux compétitions et j’y avais déjà pas mal de copains. Les valeurs me parlent, la structure est jeune donc tout est à faire, et parce que « la classe, c’est d’être chic dans sa manière de s’habiller » je me suis dit que j’aurais la classe sur les podiums avec un maillot qui en jette autant » sourit le jeune francilien. Satisfait de porter les couleurs d’un club de la capitale, Nassim Khan apprécie également l’ambiance qui règne dans la structure. « J’adore mes coéquipiers. Nous nous tirons vers le haut avec bienveillance et sourire, tout en se poussant à devenir de meilleures versions de nous, pas uniquement sur le vélo » affiche celui qui est monté sur la boite lors de l’ouverture à Fontainebleau. « Malheureusement une chute sur la course du MIN de Rungis a anéanti mes objectifs sur cette épreuve. A Montigny-le-Bretonneux, j’ai manqué d’expérience, mais le podium me paraissait jouable » détaille le parisien tout en reconnaissant qu’il doit encore prendre en maturité dans le peloton pour y prendre ses aises et savoir lire la course. Fan du coureur slovène Tadej Pogacar (UAE Team Emirates ), Nassim Khan espère de nouveau se mettre en évidence sportivement tout en n’oubliant pas le plaisir de retrouver ses coéquipiers. « Pour le reste de l’année, je veux finir de payer mon vélo, trouver plus de jeux de mots sur mon coéquipier « Louis Foyer », faire le « pestacle » sur les courses pour qu’on s’y ennuie moins, sur le vélo comme au bord de la route, et partager mon amour du vélo au plus grand nombre de personnes possible » développe le coureur A1 qui devrait de nouveau faire parler de lui sur les courses de région parisienne très prochainement.

Photo : Maxime Sarri.

Nassim Khan (Watt Cycling Club) prêt pour de nouveaux défis cette saison ! photo : Maxime Sarri.

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Le Team Allcycles-Madar dans les blocks

Le Team Allcycles-Madar a présenté ses effectifs pour la saison 2024 à Serris le 21 mars dernier ! Auréolée de nombreuses performances la saison dernière, la structure présidée par Fabien Rousselin tentera de poursuivre sur cette lancée. Pour cela, la formation seine-et-marnaise s’est renforcée avec l’arrivée de coureurs qui souhaitent franchir un cap à l’image de Cyril Penven et David Rémond. Avec une équipe access conséquente, le TAM espère bien se mettre en avant sur les courses départementales avec Sébastien Marion ou encore Fabrice Joudioux tandis que l’expérimenté Bernard Leboucq et le prometteur Romain Bertrand ont eux aussi rejoint l’équipe durant l’intersaison. Présent également dans les pelotons Ufolep, le Team Allcycles-Madar misera sur Ludivine Maunoir pour s’illustrer. L’ancienne sociétaire du CC Coulommiers a fait une razzia en cyclo-cross couronnée par une médaille d’argent dans sa catégorie lors du National de la discipline. Déjà organisateur d’une épreuve du côté de Barcy lors du dernier dimanche d’hiver 2024, la structure briarde sera aussi sur le pont au cours des prochaines semaines avec au programme le Tour Allcycles en Ufolep ou encore une grande journée de vélo à Villeneuve-Saint-Denis, le 19 mai. A noter que le Team Allcycles-Madar servira également de formation développement à l’équipe professionnelle algérienne du Team Madar. Une petite dizaine de coureurs algériens devrait rejoindre les rangs de l’équipe seine-et-marnaise en cours de saison.

 

Photo : Loïc Manceau. 

 

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La famille Tapia-Pardo sur tous les fronts

Fille du coureur seine-et-marnais, Miguel Angel-Tapia Pardo, Ninon Tapia-Pardo pratique l’équitation à haut-niveau

Les journées sont rythmées dans la famille Tapia-Pardo en cette année 2024 ! Si le père Miguel prépare la prochaine Race Across France, compétition d’ultra cyclisme sur laquelle il retrouvera Victor Leblond et Romain Bona, la fille Ninon pratique de son côté l’équitation. La jeune seine-et-marnaise a validé sa qualification pour les cycles classiques des cinq ans, le plus haut-niveau pour les chevaux des cinq ans en France. « Ce sont des compétitions exigeantes pour les jeunes chevaux incluant des obstacles d’une hauteur de 1.5 mètres avec un nombre variable d’obstacles à sauter. La difficulté réside dans la combinaison de la hauteur des obstacles et des parcours complexes qui mettent à l’épreuve la capacité du cheval à répondre aux demandes du cavalier. Cette épreuve vise à évaluer la progression des chevaux de cinq ans et à préparer ceux qui peuvent évoluer vers des catégories supérieures. C’est un terrain exigeant qui contribue à forger les futurs talents équestres » détaille l’ancien pensionnaire du Team Bonnat 91 dont la fille pratique l’équitation depuis 2018 et avec son cheval, « Jolie-Dame » depuis septembre. « Elle s’entraîne avec le cheval trois à quatre fois par semaine. Caroline Dieudonné, sa coach, monte Jolie-Dame deux fois par semaine. Entre le vélo et l’équitation, le parallèle se dessine. La résilience est cruciale dans les deux sports » poursuit le coureur master. Engagée sur la finale des cycles classique 5 ans à Fontainebleau, Ninon Tapia-Pardo disputera donc cette compétition dans la plus haute catégorie, une fierté pour son père, Miguel. « En tant que parent, je suis très satisfait de voir ma fille s’épanouir dans ce monde équestre, un univers animal, beaucoup moins connecté que la vie réelle. À ce moment-là, on n’est pas connecté du tout, et cela revêt une grande importance pour nous, en restant ancré dans quelque chose d’humain » souligne le seine-et-marnais tout en précisant que sa fille dispute une grosse vingtaine de compétitions par an. « Elle sera sûrement la plus jeune cavalière pour ce championnat qui démarre pour nous en avril chez Bosst et qui se termine en zone à Fontainebleau pendant la grande semaine équestre. Son cheval est actuellement au Haras du Launay. J’ai pleinement confiance en elle pour qu’elle puisse réussir ce challenge tout en prenant un maximum de plaisir » affiche le patron de la société ME2N.

Photo :DR. 

 

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Interview… d’Anaïs Hebinger (Watt Cycling Club)

Le Watt Cycling Club investit les sous-bois ! Après le cyclisme sur route et le cyclisme sur piste, la formation parisienne a certains de ses éléments qui découvrent le cyclo-cross ! Parmi-eux, Anaïs Hebinger. A 27 ans, la parisienne s’épanouit dans cette discipline.

«J’ai fait beaucoup de sport à bon niveau »

 

Radio Peloton : Anaïs , vous avez débuté le cyclisme en compétition il y a peu de temps…

Anaïs Hebinger : Je pratique le cyclisme sur route en compétition depuis 2021 et le cyclo-cross en compétition depuis décembre 2023. Sur route, j’apprécie de voir les paysages défiler ainsi que cette sensation de liberté de mouvement. En compétition c’est plus cette sensation groupe qui se tire constamment plus loin, qui me plaît.

Radio Peloton : Avant le cyclisme en compétition, vous avez pratiqué d’autres sports…

Anaïs Hebinger : J’ai fait beaucoup de sport à bon niveau avant de découvrir le cyclisme. Mais il y en a un que j’ai pratiqué pendant 5ans à un niveau international : le monocycle de longue distance. C’est un sport très atypique et méconnu en France, mais qui m’a permis de voyager un peu partout dans le monde et de devenir 3ème mondiale de 100km et vice-championne du monde de Cross-Country en Corée (2018) . On peut dire que le monocycle m’a donné de bonnes bases pour débuter le cyclisme en compétition.

Radio Peloton : Vous avez donc découvert le cyclo-cross en fin d’année dernière…

Anaïs Hebinger : Plus précisément depuis novembre 2023 dans le but de préparer ma saison de route 2024 et de développer mon explosivité. Le cyclo-cross, c’est un mélange de fun, de technique et d’efforts intenses. C’est clairement le combo de ces paramètres qui m’a donné envie de commencer.

Radio Peloton : Vous avez la particularité de vous déplacer sur les courses en train…

Anaïs Hebinger : Au-delà de la dimension écologique, sortir de Paris en train reste bien plus pratique et souvent rapide qu’en voiture.
Radio Peloton : Comment s’annonce votre année sportive 2024 ?

 

Anaïs Hebinger : Pour la saison de route 2024, l’entraînement se passe plutôt bien et j’ai hâte d’aller courir ! Concernant le cyclo-cross, j’ai l’intention de bien m’entraîner pour palier mon manque de technique et d’arriver en forme pour ma deuxième saison dans cette discipline.

 

Photo : Gérard Briand. 

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L’EC Montgeron-Vigneux prépare 2024

L’EC Montgeron-Vigneux met toutes les chances de son côté pour performer la saison prochaine ! D’octobre à mars, la formation présidée par Marc Riebel propose à ses licenciés des séances bi-hebdomadaires de musculation au gymnase Picot de Montgeron (Essonne). « Cela fait plus de quinze ans que nous proposons ces séances. C’est un moment qui permet à nos licenciés de se retrouver mais aussi de préparer la prochaine saison sur route, VTT et autres dans un cadre convivial et une ambiance familiale » lance Frédéric Cortiana, le responsable de l’activité au sein de la structure sud francilienne. «Les équipements ont évolué depuis les débuts. Nous remercions également la mairie de Montgeron qui nous met à disposition cette salle » poursuit celui qui est également coureur A3 au sein de l’ECMV. Si une grosse quinzaine de licenciés était présente le 6 décembre dernier avec notamment Robin Malet, Jean-Claude Berneron et Christian Orsal, les effectifs sont souvent doublés le samedi au cours de ces séances. Tandis qu’une partie de l’effectif de l’EC Montgeron-Vigneux arpente les sous-bois franciliens et hexagonaux en cyclo-cross, les entrainements collectifs sur route débuteront en début d’année 2024 pour l’ensemble des catégories.

Photo : Loïc Manceau.

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