Les franciliens brillent à Saint-Quentin

La première manche de la coupe du Monde sur piste s’est déroulée de vendredi à dimanche au Vélodrome National de Saint-Quentin-en-Yvelines (Yvelines). Au programme du vendredi, la poursuite par équipe, la vitesse par équipe ainsi que la course aux points. Cette journée a notamment été marquée par la septième place des français en poursuite par équipe avec la présence dans le quatuor du francilien Adrien Garel (Vital Concept CC) et du coureur formé au CSM Clamart, Florian Maitre (Vendée U). En vitesse par équipe dames, la paire cristolienne composée de Sandie Clair et Mathilde Gros se classe sixième alors que le trio de la formation val-de-marnaise Grégory Baugé, Michael D’Almeida et Sébastien Vigier remporte la médaille d’argent chez les hommes, devancé par les Pays-Bas. Deux coureurs d’Île-de-France étaient présents en finale de la course aux points, le Portugais Miguel Do Régo (CM Aubervilliers 93) prend la huitième place alors que l’Algérien Yacine Chalel (OC Val d’Oise) termine vingt-quatrième.

Photo : Nicolas Vaucouleur/Vélostar Actu.

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Divers brèves

Le CC Igny-Palaiseau 91 a remporté le prix d’équipe en école de vélo à Villebon-sur-Yvette, le 30 septembre dernier.

Cyclo-cross :

Laurent Corbeau(EC Montgeron-Vigneux) s’est classé deuxième en 1ère catégorie (FSGT) à Longjumeau, le 30 septembre dernier.

Le CC Igny-Palaiseau 91 s’est imposé par équipe sur son organisation en école de vélo à Igny, samedi dernier.

Arthur De Faria (VC Villejust) a pris la deuxième place du classement final du Circuit Nord-Essonne en 1ère et 2e catégories (FSGT), remporté par Mathieu Bieloff (Vélo Team 78). Tidiane M’Bodji (SCA 2000 Evry) s’impose en 3e catégorie.

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20. Cédric Herledan (Pédale Combs-la-Villaise) a fait 2018

Le choix de mettre Cédric Herledan dans nos coureurs de l’année 2018 peut paraître surprenant pour beaucoup.  Pourtant à 23 ans, le coureur de la Pédale Combs-la-Villaise a été le seul en 3e catégorie à courir à la fois sur route mais également en championnat de France de cycle-balle en compagnie d’Alain Derly (Paris Cycliste Olympique). Si la victoire sur route  n’a pas souri au seine-et-marnais, ce dernier a eu le mérite de se faire plaisir dans sa pratique cycliste en attendant de participer prochainement à des manches de polo-vélo en salle voire en herbe durant l’intersaison.

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Eric RAMOS (VELOSTAR) nous parle de Stars en Piste le 17 novembre

Le compte à rebours est lancé. Ce week end, le vélodrome national accueille la Coupe du Monde de piste où les athlètes franciliens joueront à domicile. Mais un autre événenement se prépare du côté de SQY pour le mois de novembre. Eric Ramos, l’organisateur, nous en dit plus…

 

« Je dois dire que cette soirée de gala sera la plus belle de nos organisations car le vélodrome de SQY est un endroit magique »

 

RadioPeloton: Eric, parle nous du projet.. d’où t’est venue l’idée?

Eric Ramos: L’an dernier, Les assurances VELO avaient organisé au vélodrome de St Quentin en Yvelines une remise de récompenses pour les lauréats du challenge regroupant plusieurs cyclosportives en France et donc de ce fait, organisateur de LA JACQUES GOUIN et de LA VELOSTAR 91, j’étais invité à assister à l’évènement qui s’est terminé vers 19 heures..
L’idée m’est donc venu de proposer à Guy Dauphin, responsable de ce challenge, et pour finir l’après midi de prendre en charge l’organisation d’une soirée de gala avec la venue de cyclistes professionnels, pistards de l’équipe de France, repas partenaires au central le tout animé par un DJ pour l’ambiance..!

 

RP: Comment avez vous su attirer des coureurs qui ne sont pas réellement de purs pistards?
E.R: Comme tu le sais, j’organise depuis 3 ans maintenant un critérium d’après-tour qui me permet d’être en contact avec les meilleurs coureurs pros du circuit et il faut croire que ceux-ci sont heureux de venir sur nos organisations puisqu’ils ont tous accepté avec plaisir..

 

RP: Qui sont les principaux acteurs de ce projet?
E.R: Le projet initial est l’oeuvre de Guy Dauphin avec son challenge  » Assurances VELO  » et la soirée de gala m’a été confiée soutenu comme d’habitude par mon extraordinaire équipe de Vélostar Organisation.

RP: Quel est donc le programme de ce Gala?
E.R: Le programme de la soirée est :
14h18h = Animations , baptêmes sur piste et Bmx
18h19h = Remise des prix du challenge
19h22h = Soirée de Gala, diner, épreuves pistes, Election Miss VELO France

 

RP: Quelque chose à ajouter Eric?
E.R: J’organise des évènements cyclistes depuis 10 ans maintenant et je dois dire que cette soirée de gala sera la plus belle de nos organisations car le vélodrome de SQY est un endroit magique..!
Venez nombreux, c’est gratuit..!

 

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Divers brèves

Jonathan Denis (Melun Cyclisme Organisation) a remporté le classement final du Challenge Bouticycle (Ufolep), en 1ère catégorie (Ufolep). Grégory Besson (Le Mée Sports) prend la deuxième place en 2e catégorie.

Stéphane Mathieu (Lagny Pontcarré Cycliste) a remporté la course D1 de Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis), le 9 septembre.

Alexandre Billon (Team Peltrax-CSD) s’est classé deuxième de la Ronde Mayennaise, le 9 septembre dernier en 1ère catégorie.

Damien Girard (Team Peltrax-CSD) a pris la troisième place de la Flèche Charentaise le 9 septembre chez les juniors.

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Divers brèves

Cyclisme sur route:

Louis Bonfillou (VC Fontainebleau-Avon) a pris la 4e place de la course cadets de Moulin-sur-Ouanne (Yonne), le 1er juillet. Son coéquipier Thibaut Ballot en fait de même chez les minimes.

Cyclisme sur piste :

Michel Eloi (VC Brou) s’est classé 5e le 4 août en 3e catégorie (Ufolep) lors de l’individuelle d’ouverture à la Cipale (Paris).

Jean-Philippe Méret (Melun Cyclisme Organisation) s’est classé 2e de l’omnium 1ère catégorie (Ufolep), de la Cipale (Paris), le 1er septembre.

La Lieusaintaise Priscillia Fontaine (Team THL-Val-de-Marne) a pris la 3e place de l’individuelle d’ouverture en 3e catégorie (Ufolep) le 4 août à la Cipale (Paris).

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20. Eric Crapard (VC Fontainebleau-Avon) sera à suivre

Auteur de deux podiums cette année à Donzy (3e) et Savigny-sur-Orge (2e), Eric Crapard a souvent tourné autour de la gagne sans pour autant concrétiser. Le coureur 3e catégorie du VC Fontainebleau-Avon fait partie des infatigables rouleurs du peloton francilien. Le protégé du président Stéphane Colas sera toujours dans la formation bellifontaine l’an prochain et visera ni plus ni moins qu’un succès au minimum au cours de l’année 2019 tout en ayant un rôle de capitaine de route pour la jeune garde du VCFA.

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Bourry le plus fort

Les années se suivent et se ressemblent pour le cyclo-cross de Bois-le-Roi avec des températures estivales en ce début d’automne ! L’épreuve seine-et-marnaise organisée par le Team HBS Cycling sous l’égide de l’Ufolep s’est déroulée sous un beau soleil au cœur de la Base de Loisirs, samedi dernier. C’est plus de 80 coureurs toutes catégories qui se sont retrouvés au départ de l’épreuve sur un parcours quelque peu similaire à l’an dernier. Nicolas Bourry (RO Villuis-Everly) s’est montré le plus fort en remportant le classement scratch de l’épreuve devant Mathieu Philippe (US Mauloise) et Jérémy Holvoet (Team HBS Cycling), premier coureur 1ère catégorie. Le palmarès est complété par le succès de Benjamin Dolo (Team HBS Cycling) en 2e catégorie ainsi que celui de Pascal Renault (USM Villeparisis) en 3e catégorie.

 

Photo : Loïc Manceau.

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Divers brèves

Tony Gallopin (AG2R-La Mondiale) a pris la 58e place du championnat du Monde élite hommes disputé à Innsbruck (Autriche) et remporté par l’espagnol Alejandro Valverde (Movistar), le 30 septembre.

Dylan Durand (CC Igny-Palaiseau 91) s’est imposé sur la finale de la coupe d’Île-de-France, le 30 septembrer à Montgeron(91). Hugo Duchaussoit prend la deuxième place chez les minimes et permet à sa formation de l’EC Montgeron-Vigneux de l’emporter par équipe. L’ECMV a aussi remporté le prix d’équipe en école de vélo le matin sur ce même parcours.

Barbara Fonseca (COCF Courcouronnes) s’est imposée sur la course dames d’Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), le 30 septembre.

L’ancien coureur de l’EC Montgeron-Vigneux, Maxime Marandon a pris la 39e place de la Bocage Gatinais, le 30 septembre.

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Interview de … Raphaël Aubry

Et si la faculté de pratiquer le vélo résultat avant tout dans le plaisir ? A 28 ans, Raphaël Aubry s’est lancé dans un défi vélocipédique durant la période estivale qui l’a emmené à voyager dans la partie ouest de l’Hexagone. Rencontre.

« Jouir d’un certain sentiment de liberté »

Radio Peloton : Raphaël, vous avez arpenté l’ouest de la France en vélo cet été …

Raphaël Aubry : L’idée d’une escapade à vélo a germé pendant que j’effectuais mon stage de fin d’études au Ministère de l’Environnement. Coincé six mois à travailler devant un ordinateur dans un minuscule bureau au 32 étage de la tour Sequoia à La Défense, en pleine période des beaux jours, on se prend assez vite à rêver d’évasion ! C’est en consultant le site de l’AF3V que j’ai pu m’apercevoir que la France disposait d’un réseau de véloroutes et de voies vertes déjà conséquent et en plein expansion. L’ avantage de ces véritables itinéraires cyclables de longue distance est de pouvoir circuler en toute sécurité en s’affranchissant des contraintes et des nuisances de la circulation automobile. C’est aussi une certaine idée de pratiquer un tourisme « vert », en dépensant peu mais surtout également de jouir d’un certain sentiment de liberté avec le moyen de transport qui le permet le mieux : le vélo.

Radio Peloton : Mais pourquoi le vélo justement ?

Raphaël Aubry : Avec lui pas d’essence, pas d’assurance, pas de péage, on peut rejoindre a moindres frais et avec la simple force de ses cuisses et de ses mollets (et avec une assistance électrique pourquoi pas) l’autre bout de l’hexagone, le tout les cheveux dans le vents !

 

Radio Peloton : En quoi a consisté votre périple ?

Raphaël Aubry : Je suis parti de la capitale le 14 août, j’ai rallié Arcachon le 29 août, soit un voyage de 16 jours. J’ai eu la chance de traverser des paysages très divers : les grandes étendues désertiques et céréalières de la Beauce, la vallée de la Loire avec ses châteaux, ses maisons en troglodytes mais aussi ses fameux vignobles. Une côte Atlantique offrant son flot de touristes et un double visage : tantôt bétonnée/ tantôt sauvage ; Tantôt populaire / tantôt chic. Les Landes aquitaines enfin, avec leurs belles pistes cyclables et l’odeur des pins évoquant la plage et les vacances. J’ai parcouru au total 1232 km avec une moyenne d’environ 80km par jour (avec une journée de repos pour découvrir l’Ile de Ré et profiter de ses jolies plages). Pour cela j’ai pu emprunter plusieurs véloroutes dont les plus connues sont la Loire à Vélo et la Vélodyssée qui longe la côte Atlantique, de la Bretagne à Hendaye. Ces véloroutes font elles même partie de grands itinéraires cyclables européens (Eurovelo). Ce qui repousse encore plus loin les limites du voyage, à condition bien sûr de disposer du temps nécessaire pour rouler ainsi que pour se reposer un peu et découvrir les différentes régions traversées.

Radio Peloton : Qu’est ce qui a été le plus dur dans cette traversée ?

Raphaël Aubry : Par chance, j’ai été épargné par les soucis mécaniques. Je n’ai subi aucune crevaison (réparer une crevaison sur une roue arrière motorisée de VAE peut s’avérer sportif et surtout prendre du temps). Le plus dur aura finalement été les douleurs aux fesses. Complainte que j’ai entendue en échangeant avec de nombreux baroudeurs cyclistes comme moi. Enfin, cela n’a rien à voir avec le vélo mais avec les plaisirs du bivouac. Lors de haltes dans les zones de marais salants (Aux Sables d’Olonnes ainsi qu’à Marennes près du Pont de l’Ile d’Oleron), j’ai eu l’occasion de subir une invasion de moustiques bien sympathique. Parfait pour se remettre d’une journée à pédaler ! 

 

Radio Peloton : Quel est l’endroit que vous avez le plus apprécié ?

Raphaël Aubry : En parcourant la Vélodysée, peu avant d’arriver à La Rochelle j’ai décidé de réaliser un petit détour par le Marais Poitevin. Je n’ai vraiment pas été déçu. Au bord de ses nombreux canaux on y ressent une certaine douceur de vivre. On y croise également quelques kayakistes effectuant la traversée du marais jusqu’à l’Océan. Une belle idée d’itinérance là- aussi, mais sur l’eau.

Radio Peloton : Et le moins ?

Raphaël Aubry : Sans conteste Saint –Jean- de –Monts (Vendée), une cité balnéaire toute betonnée sans charme particulier. Énormément d’attractions à touristes et une atmosphère baignant dans les effluves de churros. Une certaine idée des vacances, à destination majoritairement des familles et des enfants qui à certes son charme mais aux antipodes du voyage à vélo en solitaire (cela n’empêchant cependant pas de céder une fois ou l’autre au fameux churros!)

Radio Peloton : D’où vous vient cette passion pour le vélo ?

Raphaël Aubry : Comme beaucoup de monde je pense, j’ai commencé à m’intéresser au vélo vers mes 10 ans en regardant les exploits des coureurs sur le tour de France. J’affectionnais particulièrement les baroudeurs et les grimpeurs des grandes étapes de montagne pour le côté spectaculaire. J’ai déjà eu l’occasion de monter quelques cols alpins comme le Granon ou le Ventoux (sans assistance cette fois-ci), c’est vraiment une sensation particulière d’arriver tout en haut. Je suis admiratif des coureurs qui te grimpent un col à 20 km/h de moyenne tout en ayant 150 kilomètres et 2 ou 3 autres cols dans les pattes. A mon niveau de simple afficionado du vélo j’apprécie la pratique du vélo au quotidien pour ses vertus en terme de santé et d’écologie également. C’est une façon militante et en même temps pratique facile d’oeuvrer pour la transition écologique. De plus je remarque que ma démarche de préférer systématiquement le vélo pour mes déplacements quotidiens fait des émules autour de moi, j’ai ainsi réussi à « convertir » certains amis ou connaissances au vélo (électrique ou non). C’est plutôt gratifiant !

Radio Peloton : Pourquoi avoir opté pour un vélo avec une assistance électrique pour votre périple ?

Raphaël Aubry : Le principal attrait de l’assistance électrique c’est qu’elle permet de dépasser certaines contraintes inhérentes à la pratique du vélo comme notamment les difficultés a aborder les côtes et le dénivelé. L’assistance électrique permet par exemple d’arriver au travail sans avoir à se changer ou à prendre une douche à l’arrivée. Egalement il permet d’agrandir les distances parcourues : alors qu’on utilisera en moyenne un vélo classique pour parcourir 5 km environ, on pourra en parcourir le double à effort égal. Pour mon itinérance à vélo j’y ai trouvé un confort dans les montées bien entendu. Cepandant, en raison des grandes distances parcourues chaque jour et en raison de l’autonomie limitée de la batterie, cela impose une certaine gestion de l’assistance mais également de l’effort physique à accomplir en prenant en compte le vent, le dénivelé, le type de revêtement de la piste et bien évidemment le niveau de fatigue.

 

Radio Peloton : Quels sont vos prochains défis vélocipédiques Raphaël ?

Raphaël Aubry : Au cours de mes différents voyages j’ai pu rencontrer des cyclotouristes n’ayant pas peur du dépaysement ni du nombre de kilomètres. Tour d’Europe, road trip aux Ameriques… Ce genre d’escapades laisse particulièrement rêveur et donne l’envie d’aller toujours plus loin. Il y a tellement à faire…

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