Cyril Ballatore (VC Etampes) a remporté la course D1 de Gurcy-le-Châtel (Seine-et-Marne), le 30 avril dernier.
Adil Bran (AC Orsay) monte de la catégorie D3 à la catégorie D2.
Enzo Oizel (AC Orsay) a terminé 3e de la course 3e catégorie de Monthyon (Seine-et-Marne), le 30 avril dernier.
Guillaume Cloitre (AC Orsay) monte de la catégorie D1 à la 3e catégorie.
Noé Castille est l’exemple même de la polyvalence chez les cadets Le coureur du CC Igny-Palaiseau 91 est aussi bien à l’aise en cyclo-cross, sur route qu’en VTT X-Country et VTT Trial. « Je n’ai pas la sensation de monotonie en jonglant entre les disciplines, je prends beaucoup de plaisir en pratiquant de la sorte » reconnaît le protégé du président Bruno Bizieux qui a néanmoins un faible pour le cyclo-cross. Formé au CCIP91, Noé Castille a vraiment trouvé son épanouissement cycliste dans ce club familial, parmi les meilleurs en Île-de-France. La clef de la réussite est peut-être là pour le fils de Marc Castille, troisième de l’interregion cadets cyclo-cross de Dugny (Seine-Saint-Denis), l’an dernier, quatrième cette année du championnat d’Île-de-France de VTT à Morainvilliers (Yvelines), en juin avant de terminer troisième du classement final de la coupe régionale. C’est aussi en trial que Noé Castille s’est distingué cette saison avec des victoires sur les manches de la CIRO à Cerny (Essonne)en R2 avec le titre de champion d’Île-de-France en prime et à Hillion (Yvelines). Le jeune essonnien a également la particularité d’avoir été sélectionné à la fois pour le championnat de France de VTT X-Country mais aussi celui de trial à Ploeuc L’Hermitage (Côtes d’Armor). Une première inédite pour Noé Castille qui a pris respectivement la 52e place sur le X-Country et la quatrième place dans sa catégorie en trial chez les N3. «Malheureusement une erreur bête ,un oublié de porte, me coûte cinq points de pénalité lors de la 3eme zone sinon j’avais aucune faute durant toute la compétition ,cela me prive de la victoire » regrette l’Essonnien. Le coureur du CC Igny-Palaiseau 91 ne veut pas s’arrêter en si bon chemin et compte bien surprendre son monde lors du prochain Challenge du Comité d’Île-de-France à Satory (Yvelines), au mois de septembre prochain avant de se tourner vers les cyclo-cross.
Photo : Loïc Manceau.
Antoine Orchampt (US Domont/AS Courson Monteloup) nous explique ses passions pour le VTT et la route ainsi que son incroyable performance en tant que champion d’Île-de-France notamment.
« Continuer les deux disciplines »
Radio Peloton : Vous avez la particularité d’être vététiste et coureur sur route, pourquoi ce choix ?
Antoine Orchampt : Depuis tout petit, j’adore être touche à tout. J’ai abordé le cyclisme sur route en premier, mais au cours de ma première saison, le VTT m’a attiré pour son coté franchissement des obstacles, grosses descentes techniques et puis l’ambiance des courses ! Mais je continue toujours à pratiquer la route car je trouve que c’est un excellent compromis pour aborder les courses de VTT.
Radio Peloton : Si vous deviez donner votre préférence à une discipline, laquelle serait elle ? VTT ou route ?
Antoine Orchampt : Pour le moment ma préférence se tournerait vers le VTT. Dans la course, on a pas le temps de se dire je vais pas donner un coup de pédale et sortir aux dernier moment. La différence entre les deux disciplines est que le vainqueur en VTT sera forcément le plus fort (si aucun soucis mécanique n’arrive) comparé à la route où il y a plus de tactique à avoir. Et l’ambiance est vraiment autre chose en VTT, comme une grande « famille » ! Mais je ne laisserai pas la route pour autant.
Radio Peloton : Vous réalisez une performance incroyable en remportant pour la troisième fois consécutive le titre de champion IDF en VTT, pouvez vous nous expliquer cela ?
Antoine Orchampt : Oui c’est vrai ! Même de mon propre point de vue je trouve cela exceptionnel ! Chaque année on aborde tous la saison pour conquérir ce maillot. Là, tout le monde le convoite mais un seul d’entre nous peux l’obtenir. C’est la troisième fois que je l’obtiens et c’est toujours une immense joie de le porter, une fierté ! Chacun de mes trois titres était différent ! Mais les trois titres se sont gagnés avec la persévérance, l’envie, la rage de bien faire et notamment aux supports de ma famille qui compte beaucoup pour moi et me supporte dans les bons et les mauvais moments de la saison ! Prendre le départ d’un championnat en ayant la pancarte accrochée à son dos, c’est une pression supplémentaire mais faut faire abstraction et courir en se donnant à fond ! Une course n’est jamais gagnée tant que la ligne n’est pas franchie !
Radio Peloton : Vous êtes aussi champion d’Île-de-France FSGT, est ce une distinction moins prestigieuse que celle que vous avez remporté trois fois ?
Antoine Orchampt : Non ce n’est pas une distinction moins prestigieuse ! C’est une autre fédération que la FFC, certes, mais les coureurs qui viennent ont comme moi la double licence donc le niveau est pratiquement le même !
Radio Peloton : Quels sont vos projets, pensez vous poursuivre ces deux disciplines ?
Antoine Orchampt : Oui, je pense continuer toujours les deux disciplines, elles sont complémentaires pour moi, je trouve mon équilibre ainsi, pour le moment je me lasse pas de ces deux disciplines !
Radio Peloton : A l’image de Jean-Christophe Peraud deuxième du Tour en 2014, comment expliquez vous ces hautes performances sur route et VTT de cet athlète notamment ?
Antoine Orchampt : Jean-Christophe Peraud est un très bon vététiste qui s’est converti à la route. Pas mal de coureur sur route viennent du VTT, notamment Peter Sagan ! Le VTT apporte de nombreuses qualités que l’on peut exploiter sur la route : l’explosivité, la vélocité, grâce aux nombreuses côtes très raides, l’équilibre et pleins d’autres choses… Le VTT fait travailler énormément le physique, d’où les excellents résultats des vététistes sur la route.
Photo : Loïc Manceau.
Propos recueillis par Etienne Servillat.
La Coupe de France PMU se poursuit. Après Paris Camembert, c’est sur la Polynormande que Laurent PICHON va tenter de conforter sa position de Leader.
Celui-ci se testera, en compagnie notamment du vainqueur sortant de cette coupe de France, Samuel DOUMOULIN, à la veille du Critérium de Longjumeau.
Radiopeloton vous fait vivre cette journée de l’intérieur. rendez vous dès 11h30 sur notre page Facebook
Jérémy Roma fait partie des maillons forts de l’AC Boulogne-Billancourt cette année ! Le coureur 2e catégorie a fait le choix de rester une saison de plus à l’intersaison dans la formation altoséquanaise. « Je me sens vraiment bien dans cette équipe, l’ambiance est excellente que ce soit avec les coureurs ou les dirigeants. On s’amuse énormément sur le vélo et en dehors » souligne le coureur de 21 ans qui a débuté le vélo au CSM Puteaux. Sa première partie de saison est plutôt positive avec deux victoires pour un total de quatre podiums ainsi que nombreux prix d’équipe. « Mes seuls regrets restent Paris-Pussay fin avril où je voulais absolument gagner et le Circuit Icaunais. C’est deux belles courses que j’apprécie particulièrement et sur lesquelles j’aurais aimé faire beaucoup mieux » estime Roma qui tient également à clarifier les choses sur le calendrier de course de l’AC Boulogne-Billancourt. « On entend souvent dire que l’ACBB ne court jamais en IDF alors que sur 90% des courses en 2e catégorie sur la région parisienne on est présents. Après c’est vrai qu’on préfère privilégier les belles courses en province sur des parcours qui conviennent plus à l’équipe». La saison de Jérémy Roma est loin d’être terminée avec un calendrier consistant aux mois de juillet et août. « Je vais essayer de gérer au mieux ma forme pour ne pas finir cramé» confie le fils du photographe Alexandre Roma avec en tête l’idée de monter en 1ère catégorie et engranger de nouveaux succès.
Photo : Loïc Manceau.
Présentée par Hervé Lemoine,la nocturne de Montgeron (91) a tenu toutes ses promesses hier soir à l’occasion du Prix Véloland Serge Galland ! Près de 65 coureurs étaient au départ de l’épreuve qui empruntait une partie des routes qui seront parcourus par les coureurs du Tour de France dans la localité à l’occasion de la dernière étape entre Montgeron et Paris-Champs-Elysées. Dès le départ on assiste à une course rapide orchestrée par les coureurs de l’EC Montgeron-Vigneux !Quelques groupes prennent la poudre d’escampette souvent avec Cyrille Saillard (Team Peltrax-CSD) et Olivier Nari (VC Arpajon). Le peloton reviendra systématiquement sous l’impulsion de Guy Le Monnier de Gouville (AC Touraine). C’est une élimination par l’arrière en queue de peloton ou tour à tour, les coureurs sautent du paquet principal à l’image d’Enzo Porcu (US Métro-Transports), d’Adrien Wolfersberger (VC Savigny-sur-Orge) ou encore de Clément Fardeau (EC Montgeron-Vigneux). La décision se fera dans le dernier tiers de course sous l’impulsion de Francis Gillain (Paris Cycliste Olympique). Un groupe de cinq coureurs se forme avec le Parisien, Anthony Crépin (Lagny PC), Florian Kohler (VC Sundgovia Altkirch), Hugo Lemelle (ECMV) et Carl Gabilondo (US Créteil). Le groupe tourne bien à l’avant et derrière le reste du peloton se regarde trop pour espérer revenir sur la tête. La victoire va se jouer entre les cinq hommes de tête. C’est finalement Kohler qui remporte sa première gagne de la saison en FFC devant Crépin et Gabilondo. Club organisateur de l’épreuve l’ECMV doit se contenter d’un top dix avec Ianis Lavie, Hugo Lemelle étant tombé dans les derniers hectomètres de la course. Pas de prix d’équipe non plus pour les hommes du président Jean-Claude Berneron devancés par le Paris Cycliste Olympique des frères Gillain, de Sébastien Marion et Philippe Ropars.
Vincent Blanca est toujours licencié au Paris Cycliste Olympique cette saison en D1.
Louis Romiguière court cette saison en 3e catégorie au Parisis AC 95.
Cyclisme sur piste :
Christophe Laur (VC Etampes) a pris la troisième place de l’américaine de Bourges (Cher) en compagnie de Damien Charlot (US Métro-Transports) en 3e catégorie, le 5 février.
Trial :
Le Valpuisien Nicolas Vallée (ESC Meaux) est devenu champion de France élite, samedi à Ploëuc -L’Hermitage (Côtes d’Armor).
Une course pleine de symboles, avec au bout de la première ligne droite le passage devant l’hôtel le Réveil-Matin, d’où se sont élancés les coureurs du 1er Tour de France en 1903! Puis virage à droite, ligne droite, virage à droite, ligne droite, pour finir sur l’entrée dans le Pif-Paf-Pif étroit de la zone d’activité, débouchant juste devant le magasin Veloland de Serge Galland et le petit « rail » pavé qui réveil le casque, début de la relance « meurtrière », les coureurs en file indienne encore en accélération sur la ligne, direction le Réveil-Matin.
Les primes distribuées mettent un rythme endiablé dans ce circuit plat sans répit de moins de 2km. Attention au coup de chaud, à l’heure où le soleil vient vous chauffer presque horizontalement.
Martial Denais, prêt pour l’action à Montgeron, en 2014!
La nocturne de Montgeron se dispute mercredi en 3e catégorie sur une partie du parcours emprunté par les coureurs du Tour de France quelques jours plus tard. Peu d’engagés finalement sur cette course avec une grosse soixantaine d’engagés alors que l’engouement de la Grande Boucle sera au coeur de ce parcours.
*** : Le Monnier De Gouville (AC Touraine), Lorioux (AV Thiais), Saillard (Team Peltrax-CSD).
** : Losy (EC Montgeron-Vigneux), T.Martin (Paris CO).
*: Bartlet (ESC Meaux), Lavie (ECMV), Duhamel (VC Vernon).
BIKE N’CONNECT, une application qui pourrait bien intéresser les cyclistes franciliens…
QUI EST L’INITIATEUR DU PROJET ?
Yoann BAGOT, coureur pro au sein de l’équipe cycliste COFIDIS, SOLUTIONS CREDIT depuis 2011, s’est lancé il y a maintenant un an dans le développement d’une application destinée aux cyclistes.
QUEL EN EST LE PRINCIPE ?
Téléchargeable depuis deux mois, celle-ci a pour but « d’organiser ses sorties d’entraînement et de trouver du monde pour rouler ».
COMMENT SE PRESENTE L’APPLICATION ?
Associé à Philippe RIVIERE, le grimpeur a conçu une interface à la fois ergonomique (choix entre moteur de recherche et carte interactive) et dans l’ère du temps (qui emploie la géolocalisation).Quant à la formation des groupes d’entraînements, on peut « créer ou rejoindre des équipes, qui peuvent être soit un club soit un groupe de copains ».Lorsqu’on crée sa sortie, il suffit de localiser le point de départ, de donner quelques détails sur le parcours (distance, type) puis d’inviter des amis ou des groupes à la rejoindre.
CETTE APPLI SE LIMITE-T-ELLE AU SIMPLE PARTAGE DE SORTIES ?
Non, la carte intégrée permettra de visualiser les différents événements, toujours géolocalisés, tels que les stages, randonnées et autres cyclosportives. Le tout forme un carnet de bord des activités que l’on prévoit de faire sur l’année.
CETTE APPLICATION S’ADRESSE A TOUTES LES PRATIQUES DU CYCLISME ?
On peut partager et participer à des sorties, rando, stages de VTT, route ou même de cyclo cross, toutes les disciplines et tous ls niveaux sont programmables grâce à cette app.
MAIS LA SECURITE ROUTIERE DANS TOUT CA…
Bike’n Connect se veut impliquée dans ce registre de protection des pratiquants du vélo. Ainsi, en cadrant les groupes, en évitant les agglomérations et en incitant au respect des règles, on peut jouer sur la sécurité et limiter le danger.