Clap de fin pour la saison access ce dimanche à Meigneux (Seine-et-Marne)! Sur cette organisation du VC Saint-Mammès et du Lagny Pontcarré Cycliste, les candidats à la victoire seront nombreux pour accrocher l’ultime bouquet de la saison 2025. Attention au vent qui pourrait jouer son rôle.
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*** : Bona (UVCA Troyes), G. Matrat (EC du Houdanais), Nativel (CSM Puteaux).
Le championnat d’Île-de-France de VTT 2025 ne restera pas dans les annales du cyclisme seine-et-marnais ! Disputé le 1er juin dernier sur le parcours de Buthiers, l’épreuve n’a vu aucun pilote du département être couronné au classement scratch. Favori dans la catégorie des seniors, Lucas Dubau est tombé sur plus fort. Le pensionnaire du Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys prend la deuxième dans cette catégorie juste devant Lucas De Salvo (BC Noisy-le-Grand) qui complète le podium et Antoine Ménage (Team Allcycles-Meaux). Dans les autres catégories, Maëlys Canault (VC Sulpicien), arrive deuxième dans la catégorie des U-19 filles tout comme sa coéquipière Zoé Michout, médaille d’argent dans la catégorie des U-17 filles. Théo Butin (Thomery VTT) termine douzième chez les U-19 garçons tandis que Romuald Rodriguez (Team Allcycles-Meaux) arrive en onzième position au scratch des masters. A noter l’absence d’Olivia Onesti (VC Fontainebleau-Avon) et de Joshua Dubau (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) focalisés sur les prochaines échéances internationales avec en ligne de mire la coupe du Monde VTT.
L’Imperial Treasure, l’excellence de la cuisine chinoise au cœur de Paris
Et si vous partiez à la découverte du raffinement de la cuisine gastronomique chinoise sans quitter les frontières de l’Hexagone ? C’est possible et c’est ce que vous propose l’Imperial Treasure, au 44 rue de Bassano dans le huitième arrondissement de la capitale. Franchir les portes de l’établissement, c’est se plonger dans l’histoire avec un grand H. Du groupe tout d’abord. Sous l’impulsion de l’entrepreneur , Alfred Leung, la marque « Imperial Treasure » est née au début des années 2000 dans l’état de Singapour. Petit à petit l’oiseau a fait son nid et l’enseigne est devenue un sceau mondialement reconnu avec près d’une vingtaine de restaurants aux quatre coins de la planète d’Incheon (Corée du Sud) à Tokyo (Japon) en passant par Shanghai (Chine) et Londres(Angleterre) avec un total de cinquante récompenses prestigieuses dans le domaine gastronomique. Six de ses établissements sont étoilés au Guide Michelin avec une mention particulière pour ceux de Shanghai et Guangzhou avec deux étoiles.
Le bar de l’Imperial Treasure. Photo: DR.
Découvrir l’Imperial Treasure, c’est aussi un saut dans la France archirecturale du XIXe siècle. le restaurant est dans un hôtel particulier bonapartien du style second empire, comme il en existe de nombreux aux abords des Champs-Elysées, considérée par beaucoup comme la plus belle avenue du monde à l’heure actuelle. Et côté fourneaux ? L’Imperial Treasure made in Paris décline plusieurs best-sellers de la culture et de la gastronomie chinoise avec de multiples propositions que les initiés, ou non, apprécieront telles que la cuisine cantonaise, shanghaïenne, teochew, Huaiyang, vapeur ou grillades sous l’impulsion de Yu Gang. Originaire du Jiangxi, une région de Chine et formé à Suzhou et Shanghai, le chef exécutif est la touche du savoir-faire culinaire du restaurant avec un scrupuleux respect des traditions que l’on retrouve à travers certains incontournables de la carte.
C’est notamment le cas des dim sum nouilles Dan Dan ou du bar frit à la sauce aigre-douce. Les crevettes sautées façon Kung Pao, le bœuf croustillant au poivre noir ainsi que les mochis à la crème fouettée et mangue le tout en fait-maison font aussi partie des mets plébiscités par une clientèle internationale. Directeur général de l’établissement, Cyril Manceau et son équipe d’une vingtaine de serveurs, d’hôtesse et de commis sont là pour assurer une qualité de service unique dans le respect de la tradition chinoise avec une « french touch » contemporaine de François Vatel ou encore Marie-Antoine Carême, des pionniers de la cuisine hexagonale lors de leurs siècles respectifs. Les plats sont accompagnés par une carte des vins proposée par une référence en la matière, Tony Fu. Près de 300 références sont à la carte de l’Imperial Treasure avec des cépages français mondialement reconnus comme des Bourgogne, des Bordeaux ou des vins du sud mais pas uniquement. Le Dom Pérignon, père fondateur du champagne en 1668, est à la carte tout comme Krug et d’autres marques prestigieuses que vous pourrez également retrouver au Liu Ling Bar, situé juste à l’entrée du restaurant. L’Imperial Treasure propose plusieurs expériences gustatives mais certaines ressortent du lot avec un déjeuner en six temps à 86 € et un menu signature en huit temps à 175 €, hors vin, café, et autres. Candidat à l’étoile Michelin après avoir été « assiette Michelin » par le passé dans le fameux guide rouge, l’Imperial Treasure Paris est donc une expérience gustative unique à découvrir et apprécier dans une ambiance feutrée, avec toute l’exigence , la rigueur que l’on peut attendre d’un restaurant gastronomique chinois.
Tony Fu, assistant manager à l’Imperial Treasure (Paris 8e) Photo: LM
Le mot de Tony Fu (assistant manager et chef sommelier à l’Imperial Treasure Paris) : « J’ai un parcours professionnel assez riche avec des expériences dans de nombreuses maisons de la capitale française à l’image de la Bohemia, du Shang-Palace comme beaucoup d’entre nous, ou encore l’Abeille, des restaurants du Shangri-la. J’ai aussi eu l’opportunité de travailler dans mon pays natal en Chine en mêlant un emploi de formateur gastronomique pour des restaurants. La France me manquait et lorsque j’ai eu l’opportunité de rejoindre l’Imperial Treasure, j’ai immédiatement saisi cette chance de travailler pour un grand groupe avec des visages familiers dans une ambiance raffinée et rigoureuse où l’expérience client est au centre de notre préoccupation. Je suis passionné par le vin et j’adore le mariage que l’on peut lui faire avec les plats que nous proposons à la carte. Nous sommes là pour que les clients passent une agréable expérience culinaire et mon rôle est de les conseiller dans leurs choix. Mais cela ne se fait pas à l’emporte-pièce. Je m’intéresse d’abord à leur goût, de leur affinité en général pour les orienter de manière en fonction du plat choisi et de notre carte. Par exemple, j’aime le Pinot noir et plus généralement le Bourgogne, mais j’aime bien aussi faire découvrir de nouveaux vins comme ceux de Chine par exemple. Nous avons une clientèle de connaisseurs qui vient déguster des vins familiers à leur palet , mais également de novices qui sont là pour aussi apprécier ce qu’il y a dans le verre. En tant que chef sommelier, il y a le travail en amont qui demande beaucoup d’échanges notamment au niveau des commandes. J’aime aussi qu’il puisse y avoir des vins dit « nouveau monde » comme les sud-américains sans compter les champagnes appréciés par notre clientèle. Quoi de plus normal dans le pays qui a vu naitre cette alcool (sourires). Nous avons aussi des épicuriens de l’assiette qui aiment certains mariages. Par exemple, notre canard laqué avec un vallée du Rhône ou encore un blanc aromatique avec nos desserts à base de fruit exotique. Avec nos références, l’Imperial Treasure se veut aussi une place forte de la gastronomie chinoise sur la carte des vins tout comme dans l’assiette tant aussi bien pour le sucré que pour le salé».
Plus d’informations sur l’Imperial Treasure ? C’est ici !
Marin Joris-Meunier (La Pédale Fertoise) a pris la deuxième place de la course U-13-1 d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 2 avril dernier.
Nolan Kurnikowski (Lagny Pontcarré Cycliste) a pris la deuxième place de la course U-15 de Gagny (Seine-Saint-Denis), le 6 avril dernier.
Damien Degot (Guidon Provinois) est monté sur la troisième marche du podium de la course élite de Gouy-sous-Bellonne (Pas-de-Calais), le 6 avril dernier.
Emilie Frussotte (Team Cycliste en Danseuse) a remporté le titre régional Ufolep des 40-49 ans VTT féminines à Marines (Val d’Oise), le 6 avril dernier.
Thierry Olivier (La Pédale Fertoise) a pris la troisième place de la course 4e catégorie (Ufolep) du Bardon (Loiret), le 6 avril dernier.
Lucas Dubau (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) s’est classé troisième chez les élites hommes lors de la course VTT du Bannet (Ardennes), le 20 avril dernier.
Dernière course élite de la saison en région parisienne ce dimanche à l’Isle-Adam ! Sur ce parcours val d’oisien totalement plat, le spectacle promet d’être au rendez-vous sur cette épreuve qui couronne souvent des coureurs motivés à l’idée de terminer une année sur une bonne note.
*** : Alexandre (Argenteuil Val de Seine 95), De Doncker (UV Auber), Pierron (UV Aube).
** : Chalel (OC Val d’Oise), Lapins (CC Villeneuve-Saint-Germain-Soissons), Louis (CC Nogent-sur-Oise).
Aurélien Adoui fait partie des coureurs de l’effectif open 2 du Paris Cycliste Olympique ! A 22 ans, le protégé du président Christian Masola a d’abord effectué ses classes au sein de l’UC Bry-sur-Marne, club val-de-marnais dans lequel il a débuté le vélo en 2019. « J’aime la vitesse, la recherche de la performance sur le vélo et en dehors . Je crois au fait qu’il ne s’agit pas juste de débrancher le cerveau » confesse celui qui est également passé par la case tennis, football et athlétisme. « J’ai touché à pas mal de sports » évoque le coureur U-23. Au sein du Paris Cycliste Olympique, Aurélien Adoui a franchi un nouveau cap. « J’ai ressenti le besoin de chercher plus d’émulation dans un autre club m’a permis de pas mal apprendre en junior aux côtés de très bons coureurs. Je m’y sens plutôt bien. Je suis très solitaire dans mon entraînement, donc je suis juste content d’avoir toujours pu faire ce que je voulais de mon côté au sein du PCO ». Vainqueur l’an passé sur l’exigeant parcours de Sermaise (Essonne), Aurélien Adoui a vécu une saison 2025 plus compliquée. « C’est évidemment une année en demi-teinte. Après une première participation aux championnats de France piste Élite un peu décevante, j’ai eu du mal à retrouver l’amour de la compétition, accrochant peu de dossard .Malgré une jolie victoire à Antony, une lourde chute la semaine suivante à Sermaise a impacté très négativement le reste d’une « saison » qui n’a jamais vraiment commencé » analyse avec lucidité le parisien. Conscient que ce chapitre 2025 aurait pu avoir une autre saveur, Aurélien Adoui compte mettre toutes les chances de son côté pour inverser les rapports lors du prochain exercice. « Je dois me prendre un peu moins au sérieux, moins en faire par moment, prendre plus de repos. Physiologiquement, j’ai toutes les clés. J’ai déjà dû me reposer après un burn-out en juillet, j’essaye donc de refaire monter la charge d’entraînement peu à peu, avant de réfléchir à la direction que je veux prendre par la suite. Mon emploi du temps est chargé, mais j’aimerais réussir à retrouver du temps pour la piste » relate celui qui devrait poursuivre l’aventure avec le Paris Cycliste Olympique en 2026.
Lucas Da Costa (Lagny Pontcarré Cycliste) a pris la troisième place de la course O2 de Sermaise (Essonne), le 4 mai dernier.
Dorian Pierlot (Pédale Combs-la-Villaise) a pris la onzième place de la course U-15 de Paris 12e (Paris), le 4 mai dernier.
Lucas Dubau (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) s’est imposé chez les seniors en VTT à Blenod-lès-Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), le 4 mai dernier.
Jules Pillon (Team Cycliste en Danseuse) a remporté la course 1ère catégorie (Ufolep) de Presles-en-Brie, le 4 mai dernier.
Hugo Watremez (Lagny Pontcarré Cycliste) a pris la douzième place de l’Oise U-19, le 9 mai dernier.
Les années se suivent et se ressemblent pour le Meeting Air Legend ! Organisé les 6 et 7 septembre dernier sur l’Aérodrome de Villaroche (Seine-et-Marne), ce rendez-vous incontournable de l’aéronautique a encore une fois attiré des dizaines de milliers de spectateurs initiés ou non à ce domaine. Cette année, le Meeting a connu un changement majeur et pas des moindres avec la disparition de son organisateur historique, Monsieur Amara, en février dernier. C’est Monsieur Larrivière qui a repris le flambeau avec l’idée de perdurer cet alliage entre divertissement, histoire et culture aéronautique. Parrainée par François Allain, journaliste de référence dans ce domaine, cette édition 2025 a été marquée par de nombreuses activités au sol, des baptêmes de l’air dans des avions d’époque ou encore un village d’animations avec de nombreux exposants composés notamment d’auteurs et dessinateurs. Au total, c’est près de 80 avions qui ont volé dans le ciel seine-te-marnais et près de 200 bénévoles qui ont été mobilisés pour cet incontournable rendez-vous international de l’aéronautique. « C’est la première fois que j’assistais à un Meeting aérien ! Je connais un peu le secteur pour y pratiquer ponctuellement le vélo, c’est vraiment formidable de proposer ce genre d’activité dans ce coin du département » s’enthousiaste Éric prêt à remettre le couvert dès l’année prochaine. Le rendez-vous est d’ores et déjà pris pour 2026.
Arnaud Lardon (VC Fontainebleau-Avon) a remporté la course A3 de Champs-sur-Yonne (Yonne), le 11 mai dernier.
Léo Brochier (VC Fontainebleau-Avon) est monté sur la troisième marche du podium de la course O2 d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 11 mai dernier.
Francois-Xavier Rault (Team Allcycles-Meaux) s’est imposé sur la course 4e catégorie (Ufolep) de Marsauceux (Eure-et-Loir), le 17 mai dernier.
Laurent Jeuffroy (VC Saint-Mammès) a pris la deuxième place de la course 3e catégorie (Ufolep) de Monnerville (Essonne), le 18 mai dernier.