Divers brèves

BMX :

Mylane Barbera (VC Massy-Palaiseau 91) s’est imposé chez les juniors lors de la première manche de la coupe d’Île-de-France, le 23 septembre à Massy.Son coéquipier Kévin Suykerbuyk en fait de même chez les plus de 30 ans alors que Loris Poilly a pris la deuxième place chez les cadets.

Cyclo-cross :

Noé Castille (CC Igny-Palaiseau 91) sera le coureur essonnien à suivre cette saison à l’occasion de la première manche de la coupe d’Île-de-France ce dimanche du côté de la Ferté-Gaucher(Seine-et-Marne). Pour sa première année chez les juniors, le protégé du président Bruno Bizieux tentera de briller sur les différentes dates du calendrier essonnien à Fontenay-les-Briis (24 octobre), Montgeron( 11 novembre) et Wissous (18 novembre).

L’ancien coureur de l’EC Montgeron-Vigneux, Emmanuel Pittia a repris les compétitions au VC Etampes en FSGT.

Cyclisme sur route :

Sylvain Cazes (VC Villejust) s’est imposé sur la course des Grands Sportifs(Ufolep)à Gretz-Armainvilliers, le 23 septembre dernier.

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Le tuyau d’Arnaud Alves (AC Boulogne-Billancourt) à… Saint-Martin-du-Tertre

Spécialiste de cyclo-cross à l’AC Boulogne-Billancourt, Arnaud Alves nous décrit le parcours de Saint-Martin-du-Tertre (95) : 

« La particularité du parcours d’après mon expérience est qu’il est toujours extrêmement gras, je ne l’ai jamais fait sec ce qui le rend physique. Il convient aux coureurs puissants et bons en course à pied, également adroits dans les quelques dévers.Pour les spectateurs tout le circuit est intéressant et très exposé. Il y a possibilité en bougeant peu de le voir en entier.C’est d’ailleurs aussi le petit plus de l’organisation.Un conseil technique pour les coureurs, c’ est d’avoir des pneumatiques adaptés aux conditions extrêmement humides et des mécanos qui n’ont pas peur de ce salir les mains (il manque un poste de nettoyage) ce qui avantage ceux qui ont une logistique solide. »

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Le tuyau de Daniel Gagne (VC Montigny-le-Bretonneux) à … Magny-les-Hameaux

Dirigeant du VC Montigny-le-Bretonneux, Daniel Gagne nous présente le parcours de son organisation de Magny-les-Hameaux (Yvelines), en FSGT.

« C’est un cyclo-cross qui se compose de deux  parties distinctes et d’égale longueur. La première partie est du type cyclo-cross traditionnel FSGT (prairie, sentier dans la forêt). La deuxième partie est plus du type FFC rapide et technique ( une bute, des dévers etc.). Cette alternance permet aux routiers de pouvoir lutter avec les spécialistes car le circuit est plutôt roulant même en cas de pluie. Le meilleur endroit pour les spectateurs est de se poster vers la zone de dépannage car ça permet de voir facilement les deux côtés du circuit ».

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Le tuyau de Jean-Philippe Minotte (EC Morsang) au… Val Saint-Germain

Nouveau cyclo-cross au calendrier francilien FSGT, l’épreuve du Val Saint-Germain sera une découverte pour beaucoup de coureurs. Spécialiste de la discipline à l’EC Morsang-sur-Orge, Jean-Philippe Minotte nous décrit le circuit.

« L’épreuve se disputera sur un terrain sablonneux qui donc ne devrait guère changer en fonction du temps. Ce type de circuit correspondra à des coureurs aiment les parcours nerveux avec le peu de lignes droites qu’il y aura. Pour les spectateurs, le point idéal pour regarder la course se situera au niveau du tennis.Grâce à l’implication de la Municipalité dans ce projet, la route menant du Val St-Germain à Angervilliers sera coupée le temps de la course. Donc pas de problèmes de sécurité ni de parking ».

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Interview … d’Antoine Orchampt (US Domontoise)

Antoine Orchampt, pensionnaire de l’US Domontoise, poursuit sa progression en tant que routier et vététiste et s’épanche pour Radio Peloton sur sa dernière Coupe du Monde notamment.

« Appuyer fort sur les pédales » 

 

Radio Peloton : Vous avez pris part à vos premières manches de Coupe du Monde en VTT, quels sont vos ressentis ?

Antoine Orchampt : Oui j’ai pris part à mes premières Coupes du Monde, c’est juste fantastique de se dire que l’on porte les couleurs de son pays sur une course de niveau mondial. Le plus marquant c’est de se faire encourager par le public qui crie « aller la France », c’est incroyable. Les Coupes du Monde sont encore un autre niveau de ce que j’ai pu courir, quand on prend part à une manche de Coupe du Monde c’est tout de suite une pression naturelle de vouloir bien faire, c’est une autre marche à franchir comparé aux Coupes de France. C’est une très grosse expérience bénéfique pour la suite.

RP : Espérez-vous faire mieux le 14 et 15 juillet prochain ?

AO : Bien sûr je vais en Andorre en voulant bien faire. A Vallnord la course se déroule à 2000m d’altitude donc il y a pas mal de facteurs en plus à prendre en compte. Je prend le départ en me donnant à 100%, je suis là pour l’expérience avant tout ! Dans les Coupes du Monde, les lignes de départ sont faites avec le ranking mondial, je pars de derrière par conséquent j’ai pas mal de places à remonter. Le résultat ne sera que du bonus mais c’est sûr j’y vais pour appuyer fort sur les pédales et donner le maximum. On ne peut que vouloir faire bien en portant ce maillot « France » si prestigieux !

RP : Que retenez vous de votre première moitié de saison ?

AO : Ma première moitié de saison est très satisfaisante, j’ai fais un bon hiver de préparation en modifiant pas mal de choses, ce qui s’avère payant. J’ai réussi à m’aligner sur des courses nationales et internationales en me frottant à quelques coureurs d’expérience, ce qui s’avère vraiment bien, j’ai faitr mon premier podium international en espoir. Avec mon entraîneur nous avons réussi à trouver une bonne alchimie du coup cela fonctionne très bien.

 

 

RP : Quels sont vos objectifs sur le long terme ?

AO : Mes objectifs sur le long terme sont de marquer d’avantage de points UCI pour être mieux placé sur les manches nationales et internationales, et ainsi de pouvoir prétendre à participer à plus de manches de Coupe du Monde et courir plus souvent à l’étranger. Et bien sûr essayer de me rapprocher des meilleurs coureurs français mais il reste pas mal de boulot avant d’en arriver jusqu’ici mais on y travaille.

RP : Enfin, possédez-vous un modèle (vététiste ou routier) vous inspirant ?

AO : Je n’ai pas vraiment de coureurs en particulier dont je m’inspire, j’aime de nombreux vététistes, des coureurs de talent de part leur technique ou leur maîtrise de la course. C’est toujours inspirant des coureurs avec de tels expériences, rien que de les voir rouler, tu apprends c’est impressionnant. Mais il faut quand même se faire sa propre expérience malgré tout !

Propos recueillis par Etienne Servillat.

 Photo : Gérard Briand.

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Le tuyau de Ronan Auffret (US Métro-Transports) à… Wissous

Spécialiste de cyclo-cross à l’US Métro-Transports, Ronan Auffret nous décrit le parcours de Wissous(Essonne) organisé par son club.

« Wissous est un parcours très physique et technique à la fois avec beaucoup de relance et de faux plats montants qui font très mal au jambe à répétition. Un coureur qui est en grande forme et techniquement fort peux faire gros écart. Pour moi en tant que spectateur,il faut se placer au passage des planches où nous avons un bonne visibilité sur l’ensemble du circuit. Le petit plus de l’organisation pour moi sont toutes les récompenses qui sont distribuées après la course ,de plus souvent des professionnels nous accompagnent sur les podiums et le président Rémy Turgis essaye de modifier quelques endroits du parcours chaque année .Il faut prendre un bon départ, rester au contact des premiers tout au long de la course mais sans en faire trop car moi qui était partie dès le premier tour l’année dernière j’ai été repris au bout de deux tours car je m’étais mis dans le rouge et j’avais eu un point de côté. »

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Le tuyau de Benjamin Chahuneau (US Mauloise)… à Persan

Spécialiste de cyclo-cross au sein de l’US Mauloise, Benjamin Chahuneau nous décrit le parcours du cyclo-cross de Persan (Val d’Oise).

« Il y a une première partie technique.Si le sol est gras, il faudra faire corps avec son vélo. Sur la seconde partie, de longues lignes droites permettent aux coureurs puissants de s’exprimer. Alliage technique, puissance, c’est la clef pour prétendre à une bonne performance sur ce parcours. Pour les spectateurs, le meilleur endroit pour voir le parcours se situe sur la petite butte en haut du poste de dépannage. On peut voir passer les coureurs deux fois et c’est à cet endroit que la transition se fait entre les deux parties du circuit. L’ambiance y est conviviale aussi bien pour les coureurs que les spectateurs. Le speaker anime la course avec un fond de musique pour rendre l’ambiance encore plus sympathique ».

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Le tuyau de Florian Richard (US Métro-Transports) à… Domont

Champion de France de cyclo-cross chez les cadets, Florian Richard (US Métro-Transports) nous décrit le parcours de Domont (Val d’Oise), avant dernière épreuve francilienne FFC au calendrier.

« C’est l’un des parcours que je préfère ! Les devers font la particularité du circuit ainsi que la boue qui occasionne de nombreux passages à pied.un coureur assez technique qui sait monter et descendre de son vélo rapidement et qui aime la boue sera à l’aise encore plus si il est endurant. Si j’étais spectateur, je me mettrai au niveau de la montée qui mène au stand technique car on voit passer les coureurs plusieurs fois et en plus on a un bon champ de vision pour les voir sur au moins 30 % du circuit. C’est un bon vrai cyclo-cross qui tombe généralement une semaine avant les championnats de France pour bien nous préparer, et aussi en Île-de-France on a pas souvent l’habitude d’avoir sur des cyclo-cross des portages comme à Domont moi je trouve que ça rajoute un petit truc en plus c’est sympa. Conseil technique, utiliser des boyaux ou pneus, type boue ».

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Le tuyau de Michel Vanvynckt à… Jablines

Spécialiste de cyclo-cross au Paris Cycliste Olympique en FFC et à l’EC Morsang-sur-Orge en FSGT, Michel Vanvynckt nous décrypte le parcours seine-et-marnais de Jablines (77), manche de coupe de France l’an passé.

« C’est un parcours herbeux moderne, large, plein de belles butes moyennement longues, des dévers et quelques rares pif-paf dans les zones boisées, et quelques lignes droites .Clairement un coureur puissant qui envoi du braquet serait avantagé, mais la technique est un gros plus, surtout que généralement c’est très boueux, donc les buttes et virages s’enchaînant, il faut savoir les passer parfaitement pour garder sa vitesse et s’éviter des passages à pieds très cassants. Après la ligne d’arrivée sur une grande bute on peut voir la ligne et les montées-descentes, un endroit idéal pour les spectateurs. Sinon, la zone technique où l’on voit les coureurs deux fois pas tour, même si c’est du plat fera aussi bien l’affaire. Le revers de la médaille d’un parcours de haut-niveau est que ça part loin, on ne peut pas voir tous les bons coins en restant au même endroit. L’endroit est taillé pour mettre les coureurs à l’aise en commençant par le parking. Il y a tout ce qui fait un cyclo-cross moderne de haut-niveau, des jets d’eau, et toujours assez de rubalise pour couvrir ce gigantesque circuit! Coureurs, entraînez-vous autant en technique qu’en puissance, arrivez au top sur cette course! Si c’est boueux prenez des crampons et empruntez un ou deux vélos de rechange et embauchez des mécanos ».

 

Photo : Nicolas Vaucouleur. 

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Le tuyau de Michel Vanvynckt au … Mée-sur-Seine

Spécialiste de cyclo-cross au Paris Cycliste Olympique en FFC et à l’EC Morsang-sur-Orge en FSGT, Michel Vanvynckt nous décrypte le parcours seine-et-marnais du Mée-sur-Seine .

« C’est un cyclo-cross composé de deux parties distinctes, un plat dans le parc assez rapide entre les arbres, mais assez tape-cul. Puis ça descend dans la forêt, pour quelques montées-descente dont la dernière, longue, en général très boueuse. Un coureur musclé, affuté passera la forêt rapidement, il faudra aussi de gros poumons pour pouvoir accélérer en haut et passer le champs de patate en puissance. Je conseille aux spectateurs d’être près de la ligne, on voit l’ensemble du parc, ou la forêt juste en haut de la dernière montée pour bien voir les dégâts! C’est une organisation toujours très convivial, ambiance joviale de fin de saison, l’endroit est totalement investit pour l’évènement. Pour les coureurs , soit vous passez très bien la longue montée en gérant l’adhérence, soit vous prenez des crampons! Si vous vous entraînez seulement sur route le terrain cabossé vous remettra à votre place! Un deuxième vélo et un mécano est un énorme plus quand c’est boueux, le vélo doublant de volume au sommet de la forêt».

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