Brèves

Hermann Hiram (US Nemours-Saint-Pierre) a pris la troisième place le 7 septembre dernier de la course U-17 de Sens (Yonne).

Flavien Carcaud (Pédale Combs-la-Villaise) s’est classé deuxième le 7 septembre dernier de la course A3 de Chauffry.

Damien Degot ( Guidon Provinois) a remporté le 14 septembre dernier la dernière étape du Tour de l’Orne (Orne), organisé en open.

Didier Barré (VC Fontainebleau-Avon) a remporté le 7 septembre dernier, le 12h du Lago de Santa Crocé (Italie) dans sa catégorie + de 60 ans.

Rémi Chaumerliat (Team Cycliste en Danseuse) s’est classé quatrième le 14 septembre dernier de la course 1ère catégorie (FSGT) de Roissy-en-France (Val d’Oise).

Lire la suite

Brèves

Lucas Escout (Team Allcycles-Meaux) a pris la troisième place de la nocturne O3 de Persan (Val d’Oise), le 11 juin dernier.

Yoann Maréchal (Team HBS Cycling) a pris la deuxième place des 24h VTT du Bélinois (Sarthe), le 4 juillet dernier.

Maxime Carreto-Fleury (Guidon Provinois) a pris la deuxième place de la course O2 de Saint-Brisson-sur-Loire (Loiret), le 20 juillet dernier.

Lorenzo Dubusset (Team Allcyles-Meaux) a pris la dix-septième place le 14 septembre dernier sur la course U-17 de Montgeron (Essonne).

Didier Barré (VC Fontainebleau-Avon) a remporté le 7 septembre dernier, le 12h du Lago de Santa Crocé (Italie) dans sa catégorie + de 60 ans.

Lire la suite

Thoiry- Paris pour finir le Tour de France hommes 2026

Ça y est le parcours du Tour de France hommes 2026 est tombé ! Présenté hier au Palais des Congrès de Paris, cette 113e édition s’élancera le 4 juillet de Barcelone (Espagne) et passera par notamment par les localités de Bordeaux, de Bergerac, de Nevers, de Dijon , Champagnole, Chambéry avec en point d’orgue la double arrivée à l’Alpe d’Huez avant de rejoindre la région parisienne pour l’ultime étape. Comme c’est le cas depuis de nombreuses années, cette dernière étape s’élancera du département des Yvelines et plus précisément de Thoiry. C’est la première fois que la localité, célèbre pour son zoo proposera le départ d’un grand tour. L’étape traversera donc les départements de l’ouest francilien avec un passage par les Yvelines, les Hauts-de-Seine et dans Paris avec, un circuit sensiblement similaire à l’an dernier. La Butte Montmartre sera escaladée à trois reprises. Petit changement tout de même, si le peloton 2025 passait par la place de la Madeleine et le Boulevard Malesherbes, celui de 2026 rejoindra la rue Lepic par l’Avenue de Wagram, le Boulevard de Courcelles et celui des Batignolles selon l’infographie établie par Amaury Sport Organisation, l’organisateur de l’épreuve. Par ailleurs, le Tour de France dames avec Zwift ne fera pas de détour l’an prochain par la région parisienne.

 

Photo : Loïc Manceau. 

 

Lire la suite

Mathieu Riebel, huit ans déjà…

Il y avait de l’émotion samedi dernier à l’occasion de la balade en hommage à Mathieu Riebel ! Organisé par l’EC Montgeron-Vigneux avec l’appui des Cycles du Réveil Matin à Montgeron (Essonne) également point de départ de ce rendez-vous, c’est près d’une cinquantaine de coureurs et sympathisants qui a pris part à ce rassemblement. Le cortège a ensuite pris la direction des routes de l’Essonne puis de la Seine-et-Marne et plus précisément du Carré Sénart avant de revenir dans la localité qui a accueilli le départ du premier Tour de France en 1903. Si l’ECMV était fortement représentée avec des licenciés dans toutes les catégories des écoles de vélo aux coureurs open, d’autres clubs avaient fait le déplacement à l’image du CC Igny-Palaiseau 91, du Guidon Provinois avec Thibaut Madorre, de l’US Ris-Orangis avec Florian Nouvet ainsi que du Paris Cycliste de Téodoro Bartuccio. Des anciens coureurs de l’EC Montgeron-Vigneux ont aussi fait le déplacement. C’est le cas de Nicolas Ayrole, devenu l’un des meilleurs coureurs d’ultracyclisme de l’Hexagone ou encore de Pierre Valette. Tous les protagonistes se sont ensuite retrouvés au point de départ autour d’une collation auprès de Marc et Marylène Riebel, les parents de Mathieu. 

Photo : Loïc Manceau.

Lire la suite

Quand Radio Peloton parle à… Radio Peloton

 « Le vélo a évolué « : dix ans de passion locale avec Radio Peloton

 

Depuis plus d’une décennie, Radio Peloton tisse le fil d’une aventure humaine et éditoriale autour du cyclisme en Île-de-France. Né d’un amour sincère pour le sport et ses acteurs de l’ombre, ce média indépendant revient sur son parcours, ses doutes et ses espoirs.
Un projet né d’un simple coup de pédale. « Le temps passe vite », sourit l’un des fondateurs de Radio Peloton, en évoquant la naissance du site en 2015. À l’origine, une envie simple : parler de vélo localement, en région parisienne, avec une approche généraliste et inclusive. Dix ans plus tard, si la ligne éditoriale reste fidèle à ses débuts — couvrir toutes les pratiques cyclistes et tous les pratiquants, le périmètre s’est élargi aux régions voisines (avec des crochets plus hexagonaux et ultramarins), mais toujours avec la même ferveur bénévole.

Le sport amateur : une richesse mal exploitée ?
 Interrogé sur la place du sport amateur dans le paysage médiatique français, le ton se fait plus grave : « On espérait une vague d’intérêt autour du sport après les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. Le soufflé est (très) vite retombé » Radio Peloton dénonce la précarité du tissu sportif français, fragilisé par des contraintes économiques et un manque de reconnaissance. « Le sport, c’est un ciment social, un espace de transmission, de plaisir dans des quotidiens pas toujours roses et de liens. Nous y croyons dur comme fer ».

Donner la parole à ceux qu’on n’entend plus
 Depuis ses débuts, le média s’est attaché à faire entendre la voix des bénévoles, des clubs et des petites courses souvent oubliées des grands canaux d’information. Mais, reconnaît-on, le pari n’est pas totalement gagné : « Avec Radio Peloton, nous sommes bénévoles, passionnés, mais nous ne pouvons pas tout couvrir ».

Un vélo en mutation : ville, écologie, sport-santé…
Alors que les usages du vélo explosent en ville et que de nouvelles thématiques émergent (écologie, sport-santé, mobilité), Radio Peloton se montre prudent : « Ce sont des sujets que nous aimerions explorer davantage. Peut-être après 2025, si l’aventure Radio Peloton se poursuit. » Pour l’instant, la priorité reste de valoriser la pratique sportive pure, dans toutes ses dimensions.

À contre-courant des formats courts ?
• À l’heure des réseaux sociaux et de la viralité, le média fait le choix de la lenteur et de la proximité. « Nous restons sur Facebook et notre site. D’autres formats sont envisagés, comme le podcast ou la vidéo, mais cela demande des moyens et du temps» .Pour Radio Peloton, pas question de courir après les tendances si cela doit se faire au détriment de l’authenticité.

Un média humaniste avant tout
• Dans un paysage saturé d’infos et de contenus instantanés, Radio Peloton revendique une approche différente : « Nous sommes un média humaniste et populiste, dans le bon sens du terme. Ce qui nous importe, c’est le terrain, l’humain, le lien social. » Le projet s’inscrit dans une logique de proximité, ouverte aux critiques comme aux encouragements.

Une indépendance assumée
• L’autofinancement est à la fois un choix et une contrainte. « On fait avec les moyens du bord. On reste lucides sur nos forces et nos limites en proposant  un contenu sincère, engagé, au service de tous les passionnés. »

 

Un rôle social à ne pas négliger
• Plus qu’un média sportif, Radio Peloton revendique un rôle social local. « On le voit bien : les médias locaux comptent. Ils sont utiles aux collectivités, aux clubs, aux associations. » Et l’équipe, souvent engagée aussi dans la presse quotidienne régionale, mesure la défiance qui pèse sur les médias. « Le local, c’est ce qui reste quand tout le reste s’efface surtout quand l’actualité nationale est morose. »

Une transmission à cœur ouvert
• Former des jeunes, conserver la mémoire locale, documenter les récits oubliés : Radio Peloton a déjà amorcé ce virage. « On a accueilli de nombreux rédacteurs passionnés. Le vélo, c’est une histoire de transmission, et on a tendance à l’oublier dans cette société instantanée. »

Podcast, chronique, vidéo… demain peut-être
• Le format chronique est une marque de fabrique. Une déclinaison en podcast ou en vidéo ? « L’idée fait son chemin. Mais il y a beaucoup de questions à se poser : est-ce que le public suivra ? Avons-nous la logistique ? » Pour l’instant, priorité au présent et aux fondamentaux.

Et dans cinq ans ?
• L’avenir ? Il est incertain avec la même épée de Damoclès au-dessus de nombreuses compétitions ou associations sportives. « Des courses disparaissent, faute de moyens ou d’envie politique. La compétition devient inaccessible pour certains jeunes. On espère que les disciplines émergentes, trop longtemps ignorées, prendront leur envol. » L’équipe garde pourtant foi dans un vélo populaire, fédérateur, humain.

Rêver encore
• Le rêve ultime ? « Que les gens prennent toujours autant de plaisir à nous lire. Une coopérative de médias, pourquoi pas ? ». Pour Radio Peloton, ce qui compte, c’est l’enthousiasme, l’envie de partager, et la joie simple de vivre son sport à fond, peu importe le niveau du pratiquant. 

Le vélo, miroir de la société
• Radio Peloton n’élude pas les tensions : individualisme grandissant, clubs fragmentés, opposition de certains commerçants à l’organisation de courses… « Le vélo évolue, et parfois pas dans le bon sens. Mais certaines structures tiennent bon et perpétuent une forme d’esprit d’antan. C’est cet esprit que nous voulons continuer à faire vivre dans la convivialité et bonne humeur ».

Cyclisme et amour : même moteur ?
• Et si passion et amour étaient les deux faces d’une même médaille ? « Peut-être que la passion, c’est déjà une forme d’amour. L’amour de son sport, des autres, de la transmission. La passion est un formidable point de départ. »

 

Propos recueillis par Victor Grezaud. 

Lire la suite

Bialé de retour dans les pelotons en 2026

Un adage dit que l’on revient toujours au cyclisme d’une manière ou d’une autre. Valentin Bialé va dans ce sens ! A 24 ans, l’ancien coureur du Paris Cycliste Olympique fera son retour dans les pelotons en 2026 en prenant la direction de la formation de l’USM Gagny (Seine-Saint-Denis). Un choix murement réfléchi pour le récent diplômé de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Paris. « L’USMG est un club historique du paysage francilien avec des coureurs d’expérience et un collectif soudé emmené par l’éternel Pascal Jambon » commente celui qui n’a connu qu’un seul club depuis ses débuts en compétitions en 2013. Membre de la génération 2001 du club de la capitale, Valentin Bialé continuait de rouler ponctuellement aux Polygones de Vincennes (Paris 12e), conjuguant environnement sportif et professionnel avec notamment la couverture des deux derniers toujours de France cycliste masculin pour un site spécialisé. Le nouveau coureur Séquano-Dionysien rêve un jour d’interroger les coureurs professionnels franciliens Donavan Grondin et Paul Penhoët ou anciens franciliens comme Julian Alaphilippe.

 

Victor Grézaud. 

Lire la suite

Brèves

Marin Joris-Meunier (La Pédale Fertoise) a pris la deuxième place de la course U-13-1 d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 2 avril dernier.

Nolan Kurnikowski (Lagny Pontcarré Cycliste) a pris la deuxième place de la course U-15 de Gagny (Seine-Saint-Denis), le 6 avril dernier.

Damien Degot (Guidon Provinois) est monté sur la troisième marche du podium de la course élite de Gouy-sous-Bellonne (Pas-de-Calais), le 6 avril dernier.

Emilie Frussotte (Team Cycliste en Danseuse) a remporté le titre régional Ufolep des 40-49 ans VTT féminines à Marines (Val d’Oise), le 6 avril dernier.

Thierry Olivier (La Pédale Fertoise) a pris la troisième place de la course 4e catégorie (Ufolep) du Bardon (Loiret), le 6 avril dernier.

Lucas Dubau (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) s’est classé troisième chez les élites hommes lors de la course VTT du Bannet (Ardennes), le 20 avril dernier.

Lire la suite

Brèves

Emile Vaze (VC Fontainebleau-Avon) s’est classé troisième du championnat d’Île-de-France N1 de trial à Cerny (Essonne), le 6 avril dernier.

Estelle Kocica (Team Cyclistes Echappée 77) a pris la sixième place de la course access dames d’Evry-Courcouronnes (Essonne), le 6 avril dernier.

Marin Joris-Meunier (La Pédale Fertoise) a pris la deuxième place de la course U-13-1 d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 2 avril dernier.

Jérôme Pruvost (La Pédale Fertoise) s’est imposé sur la course 1ère catégorie (Ufolep) de Pézarches, le 6 avril dernier.

Lire la suite

Aurélien Adoui (Paris Cycliste Olympique) poursuit sa progression

Aurélien Adoui fait partie des coureurs de l’effectif open 2 du Paris Cycliste Olympique ! A 22 ans, le protégé du président Christian Masola a d’abord effectué ses classes au sein de l’UC Bry-sur-Marne, club val-de-marnais dans lequel il a débuté le vélo en 2019. « J’aime la vitesse, la recherche de la performance sur le vélo et en dehors . Je crois au fait qu’il ne s’agit pas juste de débrancher le cerveau » confesse celui qui est également passé par la case tennis, football et athlétisme. « J’ai touché à pas mal de sports » évoque le coureur U-23. Au sein du Paris Cycliste Olympique, Aurélien Adoui a franchi un nouveau cap. « J’ai ressenti le besoin de chercher plus d’émulation dans un autre club m’a permis de pas mal apprendre en junior aux côtés de très bons coureurs. Je m’y sens plutôt bien. Je suis très solitaire dans mon entraînement, donc je suis juste content d’avoir toujours pu faire ce que je voulais de mon côté au sein du PCO ». Vainqueur l’an passé sur l’exigeant parcours de Sermaise (Essonne), Aurélien Adoui a vécu une saison 2025 plus compliquée. « C’est évidemment une année en demi-teinte. Après une première participation aux championnats de France piste Élite un peu décevante, j’ai eu du mal à retrouver l’amour de la compétition, accrochant peu de dossard .Malgré une jolie victoire à Antony, une lourde chute la semaine suivante à Sermaise a impacté très négativement le reste d’une « saison » qui n’a jamais vraiment commencé » analyse avec lucidité le parisien. Conscient que ce chapitre 2025 aurait pu avoir une autre saveur, Aurélien Adoui compte mettre toutes les chances de son côté pour inverser les rapports lors du prochain exercice. « Je dois me prendre un peu moins au sérieux, moins en faire par moment, prendre plus de repos. Physiologiquement, j’ai toutes les clés. J’ai déjà dû me reposer après un burn-out en juillet, j’essaye donc de refaire monter la charge d’entraînement peu à peu, avant de réfléchir à la direction que je veux prendre par la suite. Mon emploi du temps est chargé, mais j’aimerais réussir à retrouver du temps pour la piste » relate celui qui devrait poursuivre l’aventure avec le Paris Cycliste Olympique en 2026.

Photo : Loïc Manceau.

 

Lire la suite

Brèves

Lucas Da Costa (Lagny Pontcarré Cycliste) a pris la troisième place de la course O2 de Sermaise (Essonne), le 4 mai dernier.

Dorian Pierlot (Pédale Combs-la-Villaise) a pris la onzième place de la course U-15 de Paris 12e (Paris), le 4 mai dernier.

Lucas Dubau (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) s’est imposé chez les seniors en VTT à Blenod-lès-Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), le 4 mai dernier.

Jules Pillon (Team Cycliste en Danseuse) a remporté la course 1ère catégorie (Ufolep) de Presles-en-Brie, le 4 mai dernier.

Hugo Watremez (Lagny Pontcarré Cycliste) a pris la douzième place de l’Oise U-19, le 9 mai dernier.

Lire la suite