Actualité route
Jean-Rémi Chanclud sera toujours licencié en D3 au CS Dourdannais en 2018.
Laurent Milleret quitte l’US Ris-Orangis pour rejoindre les départementaux du CC Igny-Palaiseau 91.
L’Angervillois Tony Gallopin (AG2R-La Mondiale) a pris la 28e place du classement final de Paris-Nice remporté par l’Espagnol Marc Soler (Movistar).
Le Linois Anthony Turgis (Cofidis) a terminé 58e du Ronde Van Drenthe (Pays-Bas), dimanche dernier.
Cyclisme sur route :
Le Linois Anthony Turgis (Cofidis) a pris la 5e place d’A Travers la Flandre Occidentale (Belgique), le 4 mars.
Cyrille Saillard (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) a remporté la 8e édition de la Nouvelle Jacques Gouin, le 4 mars entre Mennecy et Fontenay-le-Vicomte. L’ancien coureur de l’AS Corbeil-Essonnes devance à l’issu des 115 kilomètres, le Belge Brecht Destoop et Sébastien Lebas (Team Bonnat 91).
Tony Gallopin (AG2R la Mondiale) s’est classé 11e de la 1ère étape de Paris-Nice entre Chatou et Meudon, le 4 mars dernier.
Nicolai Bran (AC Orsay) portera les couleurs du VC Montigny-le-Bretonneux (Yvelines), chez les départementaux, cette année.
Seule course du week-end en 2/3/J, Dugny (93) se disputera ce samedi ! Sur cette organisation du CM Aubervilliers 93, tous les types de coureurs peuvent s’imposer sur ce parcours sans grande difficulté, si ce n’est le vent voire les conditions climatiques délicates qui peuvent changer la configuration d’un circuit quelques fois. Voici nos pronos pour la course 2e catégorie.
*** : Clay (VS Chartres), Hallop (Team Peltrax-CSD), Hansart (CM Aubervilliers 93).
** : Bélair (Team Peltrax-CSD), Gamez (OC Val d’Oise), Romiguière (Parisis AC 95).
* : Leroy (CM Aubervilliers 93), Maitre (AC Boulogne-Billancourt), Mavier (VC Garennois).
Si Pierre Mavier (VC Garennois) effectue un début de saison tonitruant avec trois victoires en trois courses 3e catégorie, Stéphane Eugène n’est pas en reste ! Vainqueur avec son équipe de l’EC Montgeron-Vigneux du côté de fontainebleau en FFC, le rouleur sprinteur de 37 ans s’est imposé à Réau (77) en 1ère catégorie Ufolep avec son club de la Grande Vigie ! Les autres victoires du jour sont revenues à Luc Graillot (TSA 91) en 2e catégorie, Brice Bonnin (SC Gretz-Tournan) en 3e catégorie et Philippe Culis (Saacy Jouarre Cyclisme) chez les GS. Constantin Idiri (USM Gagny) remporte la course des 15-16 ans comme Grégoire Chrétien (CC Saclay) chez les 13-14 ans et Sandra Rémy (Pédale Combs-la-Villaise) sur la course des féminines. Cette épreuve organisée par le CC Saint-Pierre-du-Perray a réuni 185 coureurs sur l’ensemble des différentes catégories.
La saison débute bien pour l’US Ris-Orangis en FFC ! Après le succès de Nicolas Affouard à Saint-Calais (72) en D1 le 18 février, Ronan Feuteun s’est imposé sur la course D3 de Wissous (91), dimanche dernier. L’ancien pensionnaire de l’US Métro-Transports a réglé ses derniers compagnons de fugue, Philippe Chassagne (AAOC Wissous) et Luc Canfin (AV Thiais). Sur ce parcours essonnien sans grande difficulté, la décision s’est faite assez rapidement avec dans un premier temps un groupe d’une dizaine de coureurs aux avants postes avec notamment Frédéric Cortiana (EC Montgeron-Vigneux), motivé par la victoire de son coéquipier en D4 Christophe Hamon. Les autres victoires du jour sont revenues à Thomas Schindler (CSM Puteaux) en D1 et Lukas Raullmann (Paris Cycliste Olympique) en D2.
Féricy (77), 1ère catégorie :
« C’est un parcours difficile. Il n’y a pas de grosses bosses, elles sont maxi de 800 mètres, pas de forts pourcentages, non plus. Mais avec l’enchaînement cela devient usant.Il faut toujours rester placer sans trop en faire car la course est longue. Les deux derniers tours sont décisifs. En général il fait chaud premier vrai coup de chaleur donc l’hydratation est importante. Un sprinter peu largement gagner une course comme ça. Les bosses sont plus pour sprinter puncheur. C’est un circuit qui est exigeant mais qui reste accessible à tous sur des routes propres et larges juste une partie de 500m après la ligne d’arrivée si tu es en forme tu es devant. Les spectateurs peuvent se mettre soit dans la bosse dans le bois où tout le monde ravitaille. On nous voit de loin et en général et on se fait la guerre sur le haut. Je dirais qu’il faut compter ses efforts à Féricy lorsque l’on est coureur, surtout bien s’alimenter et suivre les coups de plus de quatre coureurs en fonction de ses ambitions. C’est une belle organisation, bien sécurisée, le circuit est propre avec beaucoup de récompenses pour les coureurs. Il faut s’accrocher tout en faisant oublier le plus possible ».
Cela faisait plus de dix ans que l’AS Corbeil-Essonnes n’avait pas organisé une course en école de vélo dans la cité essonnienne ! C’est plus de 200 coureurs répartis en 8 catégories qui se sont succédés sur un parcours plat et urbain en bordure de Seine, tracé autour du siège de l’ASCE. Le président Denis Mathiasin a pu compter sur les bénévoles du club et l’appui de d’autres équipes pour que cette organisation se déroule dans les meilleures conditions malgré une circulation abondante et inhabituelle dans le quartier. C’est la nouvelle formation du VC Compans qui remporte le prix d’équipe pour cette deuxième course francilienne sur route en école de vélo, après Satory, le 4 mars dernier.
Rungis MIN (3e catégorie, féminines, départementaux, minimes, cadets) :
« C’est un parcours plat avec très peu de relance, couplé à son faible kilométrage en début de saison, il n’est pas trop sélectif. Néanmoins quand tu mets le nez devant ! ça reste dur ! Le plus pour les sud parisiens c’est de se retrouver sur un spot que l’on connaît bien, en plus l’AV Thiais met les moyens pour sécuriser le parcours, peu voire pas de voitures, la ligne d’arrivée sécurisée, le bar pour se rafraîchir (ou réchauffer selon la météo) . Pour les spectateurs, il faut se placer aux quelques chicanes sur le parcours pour faire les photos, il y a aussi la grande ligne droite ou l’on peut bien mesurer les écarts de visu s’il y a une échappée. Pour les coureurs, patience, et un ou deux copains pour vous satelliser en cas de sprint ! La particularité du parcours fait que ceux qui veulent se risquer à sortir devront être très fort et au moins 8 mais généralement ceux qui sortent sont toujours forts ! Il ne faut pas se mentir, quelque soit la catégorie, c’est souvent un sprint massif, patience, force et un jump énorme ! Concernant mes souvenirs, déjà c’est les réunions d’organisation quelques semaines avant les épreuves ! L’attente des arrêtés préfectoraux avec une double pression quand tu es dans l’équipe d’organisation et que tu as coché la course en tant que coureur ! Aller parker le camion podium en pleine nuit la veille de la course avec les copains de transports SM qui nous prêtait la remorque pour le dimanche, Sur le plan sportif, ma victoire de 2016 reste un super souvenir avec un super travail d’équipe et le prix d’équipe en bonus ! Que du bonheur ! »
L’équipe américaine Education First –Drapac Power by Cannondale a présenté dans ses locaux parisiens de la rue de Provence les ambitions de l’équipe qui dispute Paris-Nice en présence d’employés de l’antenne parisienne, de proches de la marque, d’invités également à l’image de coureurs du Team Chatou Cyclisme, du Paris Cycliste Olympique,du sélectionneur de l’équipe de France Cyrille Guimard ou encore de l’ancien coureur de l’UC Longjumeau et consultant sur la Chaine L’Equipe, Eric Boyer. Les invités ont pu tester le Wattbike et tenter de battre les records de coureurs de renoms. A noter que le troisième de Paris-Roubaix 2017, le Neerlandais Sébastien Langeveld était présent durant l’ensemble de la soirée.
L’équipe de Radio Peloton était présente à Lieusaint (Seine-et-Marne) à l’avant-première du « Printemps des coureuses », un documentaire sur le développement du cyclisme en Afrique et plus particulièrement en Erythrée et au Rwanda avec ses petits bonheurs et ses problèmatiques. Ancien cycliste, le réalisateur Denis Chabroullet a également voulu faire le parallèle avec le développement du cyclisme féminin sur le continent européen à travers le projet « Donnons des elles, J-1 », une douzaine de cyclistes féminines qui font le Tour de France un jour avant les hommes. Pour cette première la sociologue et ancienne handballeuse Béatrice Barbusse était également présente pour le débat d’après documentaire tout comme Claire Floret du COCF Courcouronnes, devant un auditoire composé aussi bien spectateurs adultes que de scolaires.