Marque de référence dans le domaine du sportwear, Bracasse poursuit son développement sur le marché de la mode quotidienne. Dans un premier temps basé sur les codes du cyclisme, d’où son appellation, la société francilienne poursuit son développement vers un public plus large tout en continuant de mélanger humour et référence sportive. L’équipe de Radio Peloton a décidé de s’associer à ce projet afin de promouvoir les produits de l’entité. Bracasse passe, la concurrence trépasse.
Auteur : Radio Peloton

Nos prono’s pour … Satory (D1)
Les départementaux 1 seront également présents en nombre Satory (Yvelines). Le plateau sera très francilien au sein du peloton de 100 unités avec la présence des meilleures formations de la région du moment dans cette catégorie. Qui succédera à Clément Tran (CC United), vainqueur la semaine dernière ?
*** : Murice (CC Igny-Palaiseau 91), Ortiz (Team Peltrax-CSD), Sainturat (AAOC Wissous).
** : Blanca (Paris Cycliste Olympique), Buffier (EC Montgeron-Vigneux), Lambin (OC Val d’Oise).
* : Joncqart (VC Arpajon), Lebret (Team Chatou Cyclisme), Fruit (CC Compiègne).

Nos prono’s pour… Satory (2e catégorie)
Satory, acte II scène II ! Pour cette deuxième course post-confinement sur le parcours yvelinois, c’est près de 180 coureurs qui sont attendus sur un parcours légèrement modifié avec la cuvette en plus. Si la semaine dernière, les franciliens avaient été dominés par les provinciaux, sera-t-il le cas ce dimanche ? Voici nos pronos :
*** : Auffret (VC Rouen 76), Rifflet (OC Grande Synthe), Saccomandi (Parisis AC 95).
** : Macé (Team 94 Cycling), Ollivier (Argenteuil VS 95), Tuil (OC Val d’Oise).
* : H.Jot (UVC Charleville), Louvrier (VC Montigny-le-Bretonneux), Saillard (Team Peltrax-CSD).

Satory, le premier jour du reste de nos vies
Les provinciaux brillent à Satory
Le 19 juillet 2020 restera dans les dates fortes de ce l’an 1 de ce début de décennie. Après près de trois mois sans la moindre compétition cycliste sur route en région parisienne, les coureurs ont retrouvé la joie de raccrocher un dossard du côté de Satory (Yvelines). Sur cette belle organisation de l’US Métro-Transports du président Rémy Turgis et son équipe de bénévoles, c’est près de 850 cyclistes venus des quatre coins de l’hexagone qui se sont disputés les victoires pour ce premier rendez-vous du triptyque yvelinois, déjà ouverture officielle de la saison en FFC, le 1er mars dernier.
Ce sont les départementaux qui ont ouvert le bal avec la victoire écrasante de Nick Fretwell (carte à la journée) en D4. Arnaud Feral lui emboite le pas en l’imitant dans la catégorie des D3 et ainsi étrenner de la meilleure des manières le maillot de son club, l’AC Val d’Oise. Le département nord francilien est de nouveau à l’honneur avec la victoire de Jonathan Goetz (Parisis AC 95). Le tout jeune masters 1 se rappelle au bon souvenir du cyclisme francilien pour son retour à la compétition, de quoi ravir son président, Pascal Noël. Déjà en vue sur les deux premiers week-ends de mars, Clément Tran (Cyclo-cross United) confirme sa bonne forme de 2020 en s’imposant dans la catégorie des D1 devant Maxime Murice (CC Igny-Palaiseau 91).
Venu en voisin sur le circuit Nexter de Satory, le CSM Clamart 92 a une fois de plus démontré qu’il fallait compter sur lui en école de vélo avec une victoire par équipe, dans la lignée des bons résultats de 2019. En début d’après-midi, les différentes courses du jour ont donné la part belle aux formations de province avec la victoire de Mathis Rifflet (VC Rouen 76) au sprint dans la catégorie des minimes. Un autre Mathys brille chez les cadets ! Mathys Grisel (CC Nogent-sur-Oise) fait briller la formation picarde en réglant ses compagnons d’échappées. Belle deuxième place de Maxime Bendavid (Paris Cycliste Olympique) alors que Raphaël Septier (VC Compans) auteur d’un numéro de soliste dans les dix derniers kilomètres prend la quatrième place.
140 coureurs étaient au départ de la course 2e catégorie, un saveur mélange entre coureurs d’expérience à l’image des anciens corbeil-essonnois, John Saccomandi (Parisis AC 95), Cyrille Saillard (Team Peltrax-CSD) et Victor Leblond (VC Fontainebleau-Avon) et jeunes juniors décomplexés. L’épreuve fut rythmée de bout en bout sous l’impulsion notamment des formations de l’OC Val d’Oise, du VCA du Bourget, du Guidon Chalettois ou encore de l’US Pavilly-Barentin. C’est finalement dans les deux derniers tours qu’un groupe d’une quinzaine de coureurs fait la différence avec notamment l’ancien pensionnaire d’Argenteuil VS 95, Eliott Pierre (CC Etupes) ou encore le jeune junior 1, Dylan Durand (CCIP91) et l’ancien première catégorie, Alexandre Riegert (Team Peltrax-CSD). Toujours juste dans son coup de pédale et vigilant à l’avant du peloton, le breton Nolann Mahoudo (VC Pays de Loudéac) fait parler sa pointe de vitesse pour remporter un succès de prestige.
Le vélo en compétition nous avait manqué, ses émotions aussi.
Photo : Loïc Manceau.

Nos prono’s pour… Satory (2e catégorie)
Les compétitions cyclistes font leur retour ce dimanche à Satory ! Ouverture de la saison début mars, le parcours yvelinois accueillera cette reprise post-confinement avec un plateau réunissant près de 170 coureurs. Sur cette organisation de l’US Métro-Transports du président Rémy Turgis, ils seront nombreux à vouloir l’emporter.
*** : Schindler (AC Boulogne-Billancourt), Saillard (Team Peltrax-CSD), Tuil (OC Val d’Oise).
** : Ollivier (Argenteuil VS 95), Pierre (CC Etupes), Gautron (AV Thiais).
* : Bridron (Guidon Chalettois), Nominé (C Chartres Cyclisme), Ménager (VC Rouen 76).

Nos prono’s pour…. Satory (D1)
Une fois n’est pas coutume, l’équipe de Radio Peloton a décidé de faire des prono’s pour la course D1 de Satory (Yvelines). C’est un peloton de près de 120 coureurs qui sera de la partie sur cette organisation de l’US Métro-Transports présidée par Rémy Turgis. Arrivée au sprint ? Arrivée en solitaire ou en petit comité ? A vos jeux.
*** : Martignole (Paris Cycliste Olympique), Muselet (ES Stains), Salgueiro (US Mauloise).
** : Gervaise (Cyclo-cross United), Tran (Cyclo-cross United), V. Gaudin (VC Les Essarts).
* : Blanca (Paris Cycliste Olympique), Lelièvre (CC Igny-Palaiseau 91), Ortiz (Team Peltrax-CSD).

Interview de… Paul Vanotti (Paris Cycliste Olympique/ Melun Cyclisme Organisation)
A 28 ans, Paul Vanotti faisait partie des franciliens à suivre cette saison. Coureur licencié en 3e catégorie au Paris Cycliste Olympique et en 1ère catégorie Ufolep au Melun Cyclisme Organisation, le longiligne rouleur est prêt à raccrocher un dossard dans moins d’une semaine à Satory (Yvelines).
«J’ai toujours gardé un goût pour l’effort solitaire et les vélos de chrono »
Radio Peloton : Paul, depuis combien de temps pratiquez-vous le cyclisme en compétition ?
Paul Vanotti : J’ai commencé le VTT en FFC à 15 ans en complément du triathlon, avec les études j’ai arrêté la compétition pendant presque quatre ans. J’ai à peine maintenu une pratique régulière mais quand l’occasion s’est présentée en 2014 j’ai repris au Vitrolles Vélo Club où j’ai découvert le cyclisme sur piste grâce à son président Thierry Henny. Ça a été une remise à zéro complète, je n’avais jamais touché autre chose qu’un VTT mais je n’ai pas hésité à me lancer sur la compétition piste/route.
Radio Peloton : Vous avez ensuite pris la direction du Nord de la France…
Paul Vanotti : Après un déménagement à Lille, j’ai de nouveau changement de club : La Pédale Madeleinoise. C’est une structure très orientée vers la piste historiquement, il y a un encadrement génial (merci Lucien Cloet) et la proximité avec le STAB vélodrome de Roubaix rendait la pratique accessible avec trois séances par semaine pour ma part. C’est à partir de cette période (2015) où j’ai commencé à apparaître régulièrement sur les courses en vélodrome, cependant je ne courais pas encore sur route, je passais beaucoup de temps sur les critériums en pignon fixe (Redhook, RadRace, NL Crit Séries …).
Radio Peloton : Pourquoi avoir opté pour une double licence Ufolep et FFC ?
Paul Vanotti : J’ai toujours été en 3e catégorie FFC pour la pratique sur piste, en 2017 quand j’ai voulu essayer le CX que j’ai découvert l’UFOLEP, il y avait plus de courses dans le 59 et elles étaient moins éloignées que celles en FFC. Lors de mon arrivée en région Parisienne en 2018 je me suis dirigé vers le PCO (Paris Cycliste Olympique et son président Christian Masola), choix logique pour le côté pluridisciplinaire affirmé du club. J’ai gardé la double licence pour pouvoir profiter d’un menu de courses plus large ce qui me permettait de jongler avec des manches de la coupe d’hiver au Vélodrome National de Saint-Quentin-en-Yvelines (Yvelines) et des cyclo-cross.
Radio Peloton : Vous êtes donc au Paris Cycliste Olympique en 3e catégorie FFC et au Melun Cyclisme Organisation en 1ère catégorie Ufolep…
Paul Vanotti : Après un an à courir en UFOLEP sous les couleurs du PCO le constat était simple. Malheureusement l’UFOLEP 75 n’existe pas, j’ai participé aux trois championnats nationaux 2019 : CX, Route, CLM et j’étais le seul représentant du comité. Le cyclisme restant un sport d’équipe ou en tout cas un sport qui se pratique en groupe, la décision d’aller vers un comité plus étoffé a été simple. Ayant beaucoup couru avec les membres du MCO (Melun Cyclisme Organisation et son président Philippe Chabot) en 2019 je me suis naturellement tourné vers eux pour la saison 2020.
Radio Peloton : Vous pratiquez le cyclisme sur piste, le cyclo-cross et la route, que vous apporte cette pluridisciplinarité ?
Paul Vanotti : Comme évoqué plus haut, c’est avec la pratique du pignon fixe et ses courses ,presque sauvages au début, que j’ai pris goût à la compétition. Le cyclisme sur route a eu pendant longtemps une image ennuyante à mes yeux, contrairement à la piste et ses courses courtes et animées. Aujourd’hui, je trouve mon compte dans la diversité, l’hiver est moins monotone au vélodrome et dans les sous-bois que sur des sorties foncières par 2°C. (sourires)
Radio Peloton : Si vous aviez à choisir entre l’une des trois ?
Paul Vanotti : Choix difficile, je vais sortir la carte joker, le contre-la-montre. Depuis mes débuts en triathlon j’ai toujours gardé un goût pour l’effort solitaire et les vélos de chrono. Un effort seul devant sur une course en peloton n’aura que peu de chances de payer mais en CLM où le credo pourrait se résumer à « appuyer plus fort pour appuyer moins longtemps » je trouve mon bonheur, il faut maîtriser le plus de paramètre possible pour proposer la meilleure performance.
Radio Peloton : En quoi a consisté votre activité sportive durant la période du Covid-19 ?
Paul Vanotti : Pendant la période de confinement, j’ai pu rouler avec mon équipe The Punchers Club, une des premières équipes d’Ecycling en France. Nous avons pu arpenter les routes virtuelles de Zwift et maintenir un entraînement quasi quotidien. Nous avons pu organiser des meetings via l’application avec des pros comme Mathilde Gros, Rémi Cavagna ou encore l’aventurier Stéven Le Hyaric.
https://sport.francetvinfo.fr/cyclisme/entre-cyclisme-et-e-sport-punchers-club-premiere-equipe-francaise-de-e-cycling
Radio Peloton : Nouveau départ de la saison sur route prévue le 19 juillet à Satory (Yvelines)…
Paul Vanotti : Depuis une semaine tout semble s’accélérer, les communiqués tombent, des courses sont annoncées en FFC, UFOLEP et on voit fleurir des confrontations chronométrées. Tout le monde a hâte de reprendre, cela se ressent à l’entraînement dans les zones très fréquentées (Longchamps, Vincennes …). Nous avons passé une (non) saison 2020 particulière et je pense à tous les clubs organisateurs vont chercher à proposer des courses. Le fait de décaler ou non la saison (avancer/reculer) doit avant tout être discuté entre les clubs, les comités et les préfectures afin que chacun y trouve son compte.
Radio Peloton : Que pensez-vous de l’idée d’un décalage de la saison de cyclo-cross ?
Paul Vanotti : Pour le côté fun par contre j’aimerais voir des CX en été/automne sur des formats peut-être différents de ce que l’on a l’habitude de voir, cela pourrait redonner vie à une discipline assez peu connue surtout avec la mode actuelle du gravel ; il y a peut-être des choses à explorer de ce côté.
Radio Peloton : Vous aurez quand même des objectifs cette année…
Paul Vanotti : Parmi les courses annoncées une a retenu mon attention, les championnats nationaux CLM UFOLEP dès 19 et 20 septembre à Sault (Vaucluse). Ce devait être un de mes gros objectifs de l’année, après une cinquième place l’an dernier pour une première participation j’avais envie de retenter ma chance. Depuis le déconfinement j’ai énormément roulé en vélo de chrono pariant sur le fait que nous reverrons probablement plus de courses individuelles que de courses en peloton sur la fin de la saison. Je reste prudent, la situation peut encore évoluer mais cela me donne au moins un objectif sur lequel se concentrer. D’ici là j’espère pouvoir retourner rouler à la Cipale avec le PCO et peut-être aurons-nous la chance d’avoir des compétitions sur piste en extérieur.
Photo : Loïc Manceau.

Interview de … Robin Malet (EC Montgeron-Vigneux)
A 23 ans, Robin Malet est revanchard en cette année 2020 ! Après une saison 2019 marquée par une lourde qui lui a occasionné un arrêt prématuré des compétitions, le polyvalent coureur de l’EC Montgeron-Vigneux attend avec impatience la reprise des courses cyclistes.
« Il faut toujours rester ambitieux «
Radio Peloton : Robin, vous effectuez votre 18e année dans les rangs de l’EC Montgeron-Vigneux…
Robin Malet : L’ambiance est bonne au sein du club. Il y a une vraie osmose entre coureurs et dirigeants. C’est un club familial mais qui reste compétitif.
Radio Peloton : Comment s’est passé le confinement de votre côté ?
Robin Malet : J’ai travaillé une bonne partie du confinement, après j’ai eu des jours de vacances. Pendant un mois, j’ai coupé avec le vélo avant de rouler un peu sur home-trainer, comme beaucoup.
Radio Peloton : Vous avez reprise de plus belle après le déconfinement…
Robin Malet : C’est clair, nous avons retrouvé notre espace de liberté qu’est la route. J’ai d’abord repris en individuel puis avec les copains en attendant le retour des compétitions.
Radio Peloton : Qu’attendez-vous de ce retour des courses ?
Robin Malet : La saison devrait reprendre cet été elle sera particulière les coureurs auront tous les crocs. J’aimerais bien en claquer une il faut toujours rester ambitieux mais bon faut être un peu réaliste aussi.
Radio Peloton : L’année 2019 a été quasi-blanche pour vous …
Robin Malet : Avec une chute en avril 2019, je n’ai pas pu rouler pendant plus de 7 mois. J’ai bien galéré pour la rééducation et la reprise. Je faisais 30 kilomètres, j’étais vidé. Mais là ça va beaucoup mieux. J’ai encore et j’aurais toujours des séquelles mais bon le but est de reprendre c’est le principal.
Radio Peloton: Quel est votre coureur professionnel préféré en activité ?
Robin Malet : Comme beaucoup de monde, Julian Alaphlippe (Deceuninck-Quick-Step). J’aime sa classe sur le vélo, les différences qu’il arrive à faire avec son punch . Dans le même registre, j’aime bien aussi Philippe Gilbert (Lotto-Soudal) pour l’ensemble de sa carrière et sa longévité au plus haut- niveau.
Photo : Loïc Manceau.

Diedler par amour du VCFA
Le Vélo Club de Fontainebleau-Avon a pour vocation d’avoir un socle de coureurs fidèles depuis nombreuses années à ses valeurs. C’est notamment le cas d’Eric Crapard, Loïc Jacquart, Bertrand Rouyau mais aussi Gautier Diedler. Le jeune seine-et-marnais est arrivée il y a maintenant trois ans dans la structure présidée par Stéphane Colas. « Le VCFA m’a tout appris, les dirigeants, encadrants, ont toujours été là pour que j’aille de l’avant. J’ai été très vite intégré grâce à Stephane Colas et Bernard Letscher ainsi que par les autres bénévoles » s’enthousiaste le coureur espoir conscient que 2020 aurait pu être l’année du VCFA en 3e catégorie. « Je me sens très bien dans le club, on avait une bonne équipe avec les recrutements de l’hiver malheureusement la saison s’est stoppée au bout de deux courses avec la pandémie mondiale de Covid-19 » précise Diedler qui n’a pas pour autant mis le sport de côté durant la période de confinement.« Mais maintenant je vais repartir sur une préparation sur le vélo pour retrouver ma condition physique de début mars en allant m’entraîner avec mon ami et coéquipier Baptiste Monteil » poursuit le polyvalent coureur seine-et-marnais. Motivé à l’idée de reprendre les compétitions dans les prochaines semaines, Gautier Diedler espère réaliser une bonne deuxième partie de saison avec pour ambition de s’imposer en 3e catégorie à l’instar de son coéquipier Jordan Piau, déjà vainqueur à deux reprises en 2020. « Cette deuxième partie de saison sera l’occasion d’essayer d’être à l’avant des courses et pourquoi pas de se rapprocher de cet objectif » avance cet inconditionnel du coureur professionnel français de la Deceuninck-Quick Step, Julian Alaphlippe.

Duc studieux
Maxence Duc espérait beaucoup de la première partie de saison de l’année 2020 ! Pour sa deuxième année dans la catégorie des juniors, le pensionnaire du Team 94 Cycling prend son mal en patience en attendant une éventuelle reprise des compétitions lors de la deuxième partie de l’année. « J’ai hâte que les compétitions reprennent c’est assez frustrant de rater l’année de junior 2 qui est très importante pour progresser » exprime l’ancien coureur de la Pédale Combs-la-Villaise très attentif à une éventuelle reprise des compétitions par des contre-la-montre. « C’est un effort que j’apprécie beaucoup. De même le report des championnats de France de piste en fin d’année est une très bonne nouvelle car ils auraient pu être totalement annulés La deuxième partie de saison est très importante pour moi car ce seront les seuls résultats sur lesquels les équipes pourront se baser pour recruter des coureurs. Il faut donc réussir à être très performant » prévient le protégé du président Patrice Lerus , craintif quand à une évolution significative du niveau dans les pelotons. Fan de rouleurs comme Niki Terpstra, Remco Evenepoel ou encore Victor Campenaerts, Maxence Duc espère mettre à profiter ses qualités de rouleur pour briller sur la fin de saison et ainsi mettre à profit ses nombreuses séances de home-trainer effectuées durant la période de confinement.
Photo : Maxence Duc (Team 94 Cycling) à l’époque sous les couleurs de la Pédale Combs-la-Villaise.