Brèves

Philippe Tessier (La Pédale Fertoise) s’est classé de la course 4e catégorie (Ufolep) du Château d’Olonne (Vendée), le 30 août dernier.

Ancien pensionnaire de la Pédale Combs-la-Villaise, Gilles Alapetite est décédé le 7 septembre dernier à l’âge de 70 ans. L’équipe de Radio Peloton adresse ses sincères condoléances à sa famille et à l’ensemble de ses proches.

Hermann Hiram (US Nemours-Saint-Pierre) a pris la troisième place le 7 septembre dernier de la course U-17 de Sens (Yonne).

Alain Derly (Pédale Combs-la-Villaise) s’est imposé en 4e catégorie (Ufolep) sur l’omnium Ufolep de la Cipale (Paris), le 30 août dernier.

Lucas Escout (Team Allcycles-Meaux) a pris la deuxième place de la course O3 de Bois d’Arcy (Yvelines), le 31 août dernier.

Lire la suite

Cécile Matt, la passion de l’écriture comme fil conducteur

Cécile Matt fait partie de ses autrices franciliennes qui ont fait de l’écriture un espace de liberté pour sortir de la torpeur morose du quotidien ! Habitée par l’écriture depuis sa plus tendre enfance, la quadragénaire a réalisé le rêve de beaucoup de personnes, avoir son livre publié et édité. « Cela a été tout de même un sacré parcours du combattant avec pas moins de huit années de refus de certains éditeurs et des remarques assez contradictoires quant à la non-acceptation de mon manuscrit. Néanmoins ces évènements ont forgé mon parcours en tant qu’autrice, en tant que personne et fait en sorte d’aiguiser ma plume » souligne la seine-et-marnaise spécialisée avant tout dans le genre fantastique. « C’est un style qui intrigue et qui trouve son public particulièrement chez les moins de 35 ans. J’ai une vraie affection pour tout ce qui est métaphysique et les frontières du réel, ce que l’on retrouve dans mes écrits notamment. La mort est un sujet évoqué dans mes publications et les gens ont quelques fois peur de la mort ». Passionnée de photographie, inspirée par le quotidien dans ses écrits, Cécile Matt a également collaboré pour des anthologies, des nouvelles, des revues avec toujours la même volonté de jouer avec les limites du réel, les responsabilités et les culpabilités des uns et des autres. « Je pense que c’est plus l’œuvre qui doit être mise en avant plutôt que l’auteur ou l’autrice. Malheureusement, le marketing veut que cela soit souvent l’inverse de nos jours pour beaucoup d’ouvrages » constate la Francilienne, habituée à participer ponctuellement à des salons locaux, départementaux et régionaux ou à exposer son travail dans des librairies par exemple. « Il y a énormément de demandes pour peu d’élus. Il y a souvent le copinage qui fait que d’un salon à l’autre, un auteur qui n’a pas foncièrement d’actualité peut se retrouver inviter tous les ans » regrette Cécile Matt tout en retenant néanmoins beaucoup de choses de ses rencontres. « Avec le temps, il y a des liens qui se tissent avec des collègues auteurs à l’image d’Odile Noël Shinkawa avec qui nous échangeons ou même collaborons sur des sujets. Cependant d’autres ont un peu plus une démarche individualiste ». Alors que son actualité 2026 s’annonce bien chargée avec la publication d’une Novella de 100 pages Cécile Matt voit plus loin et rêve plus grand. « Mon souhait le plus cher serait d’être diffusée à grande échelle tout en proposant un contenu qui soit toujours aussi captivant pour le public. J’ai la volonté de laisser une trace de mon passage sur cette terre tout en étant reconnue des spécialistes du genre fantastique ».

Pour plus d’informations ? C’est ici !

 

Photo : DR. 

Lire la suite

L’équipe de Radio Peloton a lu… « Entre doute et conviction » de Jennifer Del Pino

Si l’on pouvait décrire Jennifer Del Pino en un adjectif, éclectique pourrait totalement correspondre ! Photographe, peintre, mais aussi auteure, l’artiste francilienne vient de sortir son dernier ouvrage « Entre doute et conviction » (Echo Editions). Exit donc le domaine de la littérature jeunesse pour son nouveau livre qui nous plonge au cœur de son expérience de jurée d’assises, un moment particulier auquel tous citoyens et citoyennes peut être un jour confrontés au cours de son existence. Jennifer Del Pino nous partage deux histoires en une, la sienne dans cette fonction et celle des différents protagonistes au sein d’un melting-pot où l’humain, les sentiments, et les sentiments se croisent et se décroisent. « Entre doute et conviction » est une jolie immersion dans ce monde de la cour d’assises, à dévorer sans modération.

Lire la suite

Du mouvement à l’ancien vélodrome de la Croix de Berny

Pitray Olier, club de patronage catholique omnisport du 6ᵉ arrondissement, vient d’acheter à la RATP le tiers de la parcelle de son complexe sportif de la Croix-de-Berny (Hauts-de-Seine), utilisée jusque-là par l’US Métro (le club omnisport des agents de la RATP). Depuis l’ouverture à la concurrence des lignes de bus et de tram, le réseau historique de la RATP s’est réduit et la part financière dédiée aux activités culturelles et sportives des agents de la régie publique a considérablement diminué, tout comme les budgets alloués aux infrastructures. Elle a donc fait le choix de vendre son mythique complexe sportif : les 2/3 à la ville d’Antony, et 1/3 — dont le quartier des coureurs, vestige vivant de l’ancien vélodrome — au PO, ce club parisien du 6ᵉ arrondissement. La signature est intervenue le 30 octobre, dernier jour d’exercice de Jean Castex en tant que PDG de la RATP avant son départ pour la SNCF. C’est une filiale de Cogedim qui est acteur du projet de reconfiguration du site. Le quartier des coureurs (semblable à celui du vélodrome La Cipale) sera détruit, nivelé, pour laisser place à un Five couvert, un bâtiment gardien et un parking. Les deux terrains en bordure nord de la parcelle passeront désormais en herbe synthétique de dernière génération, équipés d’un éclairage aux normes FFF, séparés d’un bâtiment de vie (vestiaires, salle commune, bureaux…), d’un terrain de pétanque et d’un espace multisport. Cette opération a pu s’effectuer suite à la vente des infrastructures historiques du club parisien au promoteur immobilier, qui leur a monté ce montage immobilier après audit de plusieurs terrains vacants en périphérie de Paris. La section cyclisme de l’US Métro a fermé ses portes en juillet 2023, en raison de plusieurs facteurs, notamment le changement d’orientation générale de l’US Métro-Transports, qui entraînait des conséquences économiques sur l’ensemble des sections. C’est donc, après la destruction il y a quelques décennies du vélodrome et de son quartier des coureurs, une nouvelle étape qui s’inscrit dans une logique de disparition des vélodromes de “proximité” au profit de structures de tête de réseau comme le Vélodrome National de Saint-Quentin ou La Cipale, aidés par la Ville de Paris et la fondation FDJ. (https://www.paris.fr/pages/le-mythique-velodrome-de-la-cipale-va-etre-renove-29443).

Victor Grézaud

 

Lire la suite

L’équipe de Radio Peloton a lu… « Au bord des mots » d’ Orlane Gaumet

Il y a des recueils que l’on aime feuilleter avec un chocolat chaud, une petite pâtisserie, le tout avec un plaid en guise de couverture. Celui d’Orlane Gaumet en fait partie. A 25 ans, l’Essonnienne a publié « Au bord des mots » (Editions du Lys Bleu), un recueil de proses qui s’inscrit vraiment dans l’air du temps. Entre blessures personnelles, pensées lyriques et réflexions tant à la fois moderne et contemporaine, l’autrice francilienne nous fait voyager à travers les pages de cet ouvrage accessible à tous les publics tant que les vibrations du corps et de l’esprit nous permettent de plonger dans ce que nous sommes et ce que nous faisons. Le rapport à autrui est une thématique abordée par la plume sentimentale d’Orlane Gaumet dans ce livre à consommer sans la moindre modération.

 

Lire la suite

Mathieu Riebel, huit ans déjà…

Il y avait de l’émotion samedi dernier à l’occasion de la balade en hommage à Mathieu Riebel ! Organisé par l’EC Montgeron-Vigneux avec l’appui des Cycles du Réveil Matin à Montgeron (Essonne) également point de départ de ce rendez-vous, c’est près d’une cinquantaine de coureurs et sympathisants qui a pris part à ce rassemblement. Le cortège a ensuite pris la direction des routes de l’Essonne puis de la Seine-et-Marne et plus précisément du Carré Sénart avant de revenir dans la localité qui a accueilli le départ du premier Tour de France en 1903. Si l’ECMV était fortement représentée avec des licenciés dans toutes les catégories des écoles de vélo aux coureurs open, d’autres clubs avaient fait le déplacement à l’image du CC Igny-Palaiseau 91, du Guidon Provinois avec Thibaut Madorre, de l’US Ris-Orangis avec Florian Nouvet ainsi que du Paris Cycliste de Téodoro Bartuccio. Des anciens coureurs de l’EC Montgeron-Vigneux ont aussi fait le déplacement. C’est le cas de Nicolas Ayrole, devenu l’un des meilleurs coureurs d’ultracyclisme de l’Hexagone ou encore de Pierre Valette. Tous les protagonistes se sont ensuite retrouvés au point de départ autour d’une collation auprès de Marc et Marylène Riebel, les parents de Mathieu. 

Photo : Loïc Manceau.

Lire la suite

La Bourse aux vélos de Vélizy (Yvelines) ? C’est demain !

La Bourse aux vélos de Vélizy se déroulera ce dimanche 19 octobre au centre Maurice Ravel, 25, avenue Louis Breguet à VELIZY (Yvelines), de 8h30 à 17h. Cette rencontre dont ce sera la 19ème édition s’adresse à tous les passionnés de vélo.
Présence de vélocistes, clubs, particuliers.
Tous types de vélos neufs et d’occasion.
Accessoires, vêtements, pneumatiques, etc.
Dépôt/Vente assurée par l’organisateur
Entrée gratuite, parking, restauration, tombola
Contact : 06 87 75 06 71
bourseauxvelos@gmail.com – www.ecvelizy78.com

 

 

Nos remerciements à Jean-Michel Richefort pour le communiqué

Lire la suite

Quand Radio Peloton parle à… Radio Peloton

 « Le vélo a évolué « : dix ans de passion locale avec Radio Peloton

 

Depuis plus d’une décennie, Radio Peloton tisse le fil d’une aventure humaine et éditoriale autour du cyclisme en Île-de-France. Né d’un amour sincère pour le sport et ses acteurs de l’ombre, ce média indépendant revient sur son parcours, ses doutes et ses espoirs.
Un projet né d’un simple coup de pédale. « Le temps passe vite », sourit l’un des fondateurs de Radio Peloton, en évoquant la naissance du site en 2015. À l’origine, une envie simple : parler de vélo localement, en région parisienne, avec une approche généraliste et inclusive. Dix ans plus tard, si la ligne éditoriale reste fidèle à ses débuts — couvrir toutes les pratiques cyclistes et tous les pratiquants, le périmètre s’est élargi aux régions voisines (avec des crochets plus hexagonaux et ultramarins), mais toujours avec la même ferveur bénévole.

Le sport amateur : une richesse mal exploitée ?
 Interrogé sur la place du sport amateur dans le paysage médiatique français, le ton se fait plus grave : « On espérait une vague d’intérêt autour du sport après les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. Le soufflé est (très) vite retombé » Radio Peloton dénonce la précarité du tissu sportif français, fragilisé par des contraintes économiques et un manque de reconnaissance. « Le sport, c’est un ciment social, un espace de transmission, de plaisir dans des quotidiens pas toujours roses et de liens. Nous y croyons dur comme fer ».

Donner la parole à ceux qu’on n’entend plus
 Depuis ses débuts, le média s’est attaché à faire entendre la voix des bénévoles, des clubs et des petites courses souvent oubliées des grands canaux d’information. Mais, reconnaît-on, le pari n’est pas totalement gagné : « Avec Radio Peloton, nous sommes bénévoles, passionnés, mais nous ne pouvons pas tout couvrir ».

Un vélo en mutation : ville, écologie, sport-santé…
Alors que les usages du vélo explosent en ville et que de nouvelles thématiques émergent (écologie, sport-santé, mobilité), Radio Peloton se montre prudent : « Ce sont des sujets que nous aimerions explorer davantage. Peut-être après 2025, si l’aventure Radio Peloton se poursuit. » Pour l’instant, la priorité reste de valoriser la pratique sportive pure, dans toutes ses dimensions.

À contre-courant des formats courts ?
• À l’heure des réseaux sociaux et de la viralité, le média fait le choix de la lenteur et de la proximité. « Nous restons sur Facebook et notre site. D’autres formats sont envisagés, comme le podcast ou la vidéo, mais cela demande des moyens et du temps» .Pour Radio Peloton, pas question de courir après les tendances si cela doit se faire au détriment de l’authenticité.

Un média humaniste avant tout
• Dans un paysage saturé d’infos et de contenus instantanés, Radio Peloton revendique une approche différente : « Nous sommes un média humaniste et populiste, dans le bon sens du terme. Ce qui nous importe, c’est le terrain, l’humain, le lien social. » Le projet s’inscrit dans une logique de proximité, ouverte aux critiques comme aux encouragements.

Une indépendance assumée
• L’autofinancement est à la fois un choix et une contrainte. « On fait avec les moyens du bord. On reste lucides sur nos forces et nos limites en proposant  un contenu sincère, engagé, au service de tous les passionnés. »

 

Un rôle social à ne pas négliger
• Plus qu’un média sportif, Radio Peloton revendique un rôle social local. « On le voit bien : les médias locaux comptent. Ils sont utiles aux collectivités, aux clubs, aux associations. » Et l’équipe, souvent engagée aussi dans la presse quotidienne régionale, mesure la défiance qui pèse sur les médias. « Le local, c’est ce qui reste quand tout le reste s’efface surtout quand l’actualité nationale est morose. »

Une transmission à cœur ouvert
• Former des jeunes, conserver la mémoire locale, documenter les récits oubliés : Radio Peloton a déjà amorcé ce virage. « On a accueilli de nombreux rédacteurs passionnés. Le vélo, c’est une histoire de transmission, et on a tendance à l’oublier dans cette société instantanée. »

Podcast, chronique, vidéo… demain peut-être
• Le format chronique est une marque de fabrique. Une déclinaison en podcast ou en vidéo ? « L’idée fait son chemin. Mais il y a beaucoup de questions à se poser : est-ce que le public suivra ? Avons-nous la logistique ? » Pour l’instant, priorité au présent et aux fondamentaux.

Et dans cinq ans ?
• L’avenir ? Il est incertain avec la même épée de Damoclès au-dessus de nombreuses compétitions ou associations sportives. « Des courses disparaissent, faute de moyens ou d’envie politique. La compétition devient inaccessible pour certains jeunes. On espère que les disciplines émergentes, trop longtemps ignorées, prendront leur envol. » L’équipe garde pourtant foi dans un vélo populaire, fédérateur, humain.

Rêver encore
• Le rêve ultime ? « Que les gens prennent toujours autant de plaisir à nous lire. Une coopérative de médias, pourquoi pas ? ». Pour Radio Peloton, ce qui compte, c’est l’enthousiasme, l’envie de partager, et la joie simple de vivre son sport à fond, peu importe le niveau du pratiquant. 

Le vélo, miroir de la société
• Radio Peloton n’élude pas les tensions : individualisme grandissant, clubs fragmentés, opposition de certains commerçants à l’organisation de courses… « Le vélo évolue, et parfois pas dans le bon sens. Mais certaines structures tiennent bon et perpétuent une forme d’esprit d’antan. C’est cet esprit que nous voulons continuer à faire vivre dans la convivialité et bonne humeur ».

Cyclisme et amour : même moteur ?
• Et si passion et amour étaient les deux faces d’une même médaille ? « Peut-être que la passion, c’est déjà une forme d’amour. L’amour de son sport, des autres, de la transmission. La passion est un formidable point de départ. »

 

Propos recueillis par Victor Grezaud. 

Lire la suite

A la découverte de… L’Imperial Treasure (Paris 8e arrondissement)

L’Imperial Treasure, l’excellence de la cuisine chinoise au cœur de Paris

Et si vous partiez à la découverte du raffinement de la cuisine gastronomique chinoise sans quitter les frontières de l’Hexagone ? C’est possible et c’est ce que vous propose l’Imperial Treasure, au 44 rue de Bassano dans le huitième arrondissement de la capitale. Franchir les portes de l’établissement, c’est se plonger dans l’histoire avec un grand H. Du groupe tout d’abord. Sous l’impulsion de l’entrepreneur , Alfred Leung, la marque « Imperial Treasure » est née au début des années 2000 dans l’état de Singapour. Petit à petit l’oiseau a fait son nid et l’enseigne est devenue un sceau mondialement reconnu avec près d’une vingtaine de restaurants aux quatre coins de la planète d’Incheon (Corée du Sud) à Tokyo (Japon) en passant par Shanghai (Chine) et Londres(Angleterre) avec un total de cinquante récompenses prestigieuses dans le domaine gastronomique. Six de ses établissements sont étoilés au Guide Michelin avec une mention particulière pour ceux de Shanghai et Guangzhou avec deux étoiles.

 

Le bar de l’Imperial Treasure. Photo: DR.

 

Découvrir l’Imperial Treasure, c’est aussi un saut dans la France archirecturale du XIXe siècle. le restaurant est dans un hôtel particulier bonapartien du style second empire, comme il en existe de nombreux aux abords des Champs-Elysées, considérée par beaucoup comme la plus belle avenue du monde à l’heure actuelle. Et côté fourneaux ? L’Imperial Treasure made in Paris décline plusieurs best-sellers de la culture et de la gastronomie chinoise avec de multiples propositions que les initiés, ou non, apprécieront telles que la cuisine cantonaise, shanghaïenne, teochew, Huaiyang, vapeur ou grillades sous l’impulsion de Yu Gang. Originaire du Jiangxi, une région de Chine et formé à Suzhou et Shanghai, le chef exécutif est la touche du savoir-faire culinaire du restaurant avec un scrupuleux respect des traditions que l’on retrouve à travers certains incontournables de la carte.

C’est notamment le cas des dim sum nouilles Dan Dan ou du bar frit à la sauce aigre-douce. Les crevettes sautées façon Kung Pao, le bœuf croustillant au poivre noir ainsi que les mochis à la crème fouettée et mangue le tout en fait-maison font aussi partie des mets plébiscités par une clientèle internationale. Directeur général de l’établissement, Cyril Manceau et son équipe d’une vingtaine de serveurs, d’hôtesse et de commis sont là pour assurer une qualité de service unique dans le respect de la tradition chinoise avec une « french touch » contemporaine de François Vatel ou encore Marie-Antoine Carême, des pionniers de la cuisine hexagonale lors de leurs siècles respectifs. Les plats sont accompagnés par une carte des vins proposée par une référence en la matière, Tony Fu. Près de 300 références sont à la carte de l’Imperial Treasure avec des cépages français mondialement reconnus comme des Bourgogne, des Bordeaux ou des vins du sud mais pas uniquement. Le Dom Pérignon, père fondateur du champagne en 1668, est à la carte tout comme Krug et d’autres marques prestigieuses que vous pourrez également retrouver au Liu Ling Bar, situé juste à l’entrée du restaurant. L’Imperial Treasure propose plusieurs expériences gustatives mais certaines ressortent du lot avec un déjeuner en six temps à 86 € et un menu signature en huit temps à 175 €, hors vin, café, et autres. Candidat à l’étoile Michelin après avoir été « assiette Michelin » par le passé dans le fameux guide rouge, l’Imperial Treasure Paris est donc une expérience gustative unique à découvrir et apprécier dans une ambiance feutrée, avec toute l’exigence , la rigueur que l’on peut attendre d’un restaurant gastronomique chinois.

 

 

Tony Fu, assistant manager à l’Imperial Treasure (Paris 8e) Photo: LM

Le mot de Tony Fu (assistant manager et chef sommelier à l’Imperial Treasure Paris) : « J’ai un parcours professionnel assez riche avec des expériences dans de nombreuses maisons de la capitale française à l’image de la Bohemia, du Shang-Palace comme beaucoup d’entre nous, ou encore l’Abeille, des restaurants du Shangri-la. J’ai aussi eu l’opportunité de travailler dans mon pays natal en Chine en mêlant un emploi de formateur gastronomique pour des restaurants. La France me manquait et lorsque j’ai eu l’opportunité de rejoindre l’Imperial Treasure, j’ai immédiatement saisi cette chance de travailler pour un grand groupe avec des visages familiers dans une ambiance raffinée et rigoureuse où l’expérience client est au centre de notre préoccupation. Je suis passionné par le vin et j’adore le mariage que l’on peut lui faire avec les plats que nous proposons à la carte. Nous sommes là pour que les clients passent une agréable expérience culinaire et mon rôle est de les conseiller dans leurs choix. Mais cela ne se fait pas à l’emporte-pièce. Je m’intéresse d’abord à leur goût, de leur affinité en général pour les orienter de manière en fonction du plat choisi et de notre carte. Par exemple, j’aime le Pinot noir et plus généralement le Bourgogne, mais j’aime bien aussi faire découvrir de nouveaux vins comme ceux de Chine par exemple. Nous avons une clientèle de connaisseurs qui vient déguster des vins familiers à leur palet , mais également de novices qui sont là pour aussi apprécier ce qu’il y a dans le verre. En tant que chef sommelier, il y a le travail en amont qui demande beaucoup d’échanges notamment au niveau des commandes. J’aime aussi qu’il puisse y avoir des vins dit « nouveau monde » comme les sud-américains sans compter les champagnes appréciés par notre clientèle. Quoi de plus normal dans le pays qui a vu naitre cette alcool (sourires). Nous avons aussi des épicuriens de l’assiette qui aiment certains mariages. Par exemple, notre canard laqué avec un vallée du Rhône ou encore un blanc aromatique avec nos desserts à base de fruit exotique. Avec nos références, l’Imperial Treasure se veut aussi une place forte de la gastronomie chinoise sur la carte des vins tout comme dans l’assiette tant aussi bien pour le sucré que pour le salé».

 

Plus d’informations sur l’Imperial Treasure ? C’est ici ! 

Photos : DR. 

Lire la suite

Un Air Legend 2025 dans la continuité

Les années se suivent et se ressemblent pour le Meeting Air Legend ! Organisé les 6 et 7 septembre dernier sur l’Aérodrome de Villaroche (Seine-et-Marne), ce rendez-vous incontournable de l’aéronautique a encore une fois attiré des dizaines de milliers de spectateurs initiés ou non à ce domaine. Cette année, le Meeting a connu un changement majeur et pas des moindres avec la disparition de son organisateur historique, Monsieur Amara, en février dernier. C’est Monsieur Larrivière qui a repris le flambeau avec l’idée de perdurer cet alliage entre divertissement, histoire et culture aéronautique. Parrainée par François Allain, journaliste de référence dans ce domaine, cette édition 2025 a été marquée par de nombreuses activités au sol, des baptêmes de l’air dans des avions d’époque ou encore un village d’animations avec de nombreux exposants composés notamment d’auteurs et dessinateurs. Au total, c’est près de 80 avions qui ont volé dans le ciel seine-te-marnais et près de 200 bénévoles qui ont été mobilisés pour cet incontournable rendez-vous international de l’aéronautique. « C’est la première fois que j’assistais à un Meeting aérien ! Je connais un peu le secteur pour y pratiquer ponctuellement le vélo, c’est vraiment formidable de proposer ce genre d’activité dans ce coin du département » s’enthousiaste Éric prêt à remettre le couvert dès l’année prochaine. Le rendez-vous est d’ores et déjà pris pour 2026. 

 

Photos : Fabrice Sautereau. 

 

Lire la suite