Interview… d’Amandine Laclare (Pédale Combs-la-Villaise)

Seule féminine de la Pédale Combs-la-Villaise chez les cadettes, Amandine Laclare s’est confiée à l’équipe de Radio Peloton sur son début de saison.

 

« La piste me plaît tout autant que la route « 

 

Radio Peloton : Amandine, quel bilan tires-tu après trois mois de compétition ?

Amandine Laclare :Mon début de saison est plutôt satisfaisant, en essayant de rester au maximum dans les premières d’île- de -France. Je me suis aussi diversifiée, faisant maintenant de la piste, un autre concept qui me plaît tout autant que la route.

Radio Peloton : Tu privilégies les courses féminines sur la région parisienne…

Amandine Laclare : Les courses féminines sont un beaux progrès pour le cyclisme féminin qui, il y a encore quelques années, n’était pas aussi développé. Les courses féminines sont complètement différentes de celle avec les garçons, les efforts, les tactiques de courses ou encore le nombre de participants est plus compliqué quand nous devons courir avec eux.

 Radio Peloton:  Qu’est ce qui te manque pour le moment afin d’obtenir de meilleurs résultats ?

Amandine Laclare : Selon moi, il me manque encore des entraînements et des coéquipières avec qui la course serait mieux gérée.

 

Radio Peloton : Que vises-tu sur le mois de juin ?

Amandine Laclare : Le mois de juin sera compliqué pour moi à cause du bac mais je ne perdrais pas l’objectif de faire un maximum de courses, féminines ou mixtes, et j’espère de pouvoir en gagner une.

Radio Peloton : Un mot sur le début de saison de tes coéquipiers de la PCV ?

Amandine Laclare : Je suis très fière de mes coéquipiers qui se donnent au maximum à chaque course. Malgré leurs études ou leur travail, ils arrivent à faire des performances qui m’impressionneras toujours autant.

Radio Peloton : Est-ce ta dernière saison à la Pédale Combs-la-Villaise ?

Amandine Laclare :C’est une possibilité que je garde dans un coin de ma tête. Il est vrai que rejoindre une plus grosse structure féminine serait bénéfique pour ma progression. L’avenir nous le dira.