Le tuyau de Michel Vanvynckt au … Mée-sur-Seine

Spécialiste de cyclo-cross au Paris Cycliste Olympique en FFC et à l’EC Morsang-sur-Orge en FSGT, Michel Vanvynckt nous décrypte le parcours seine-et-marnais du Mée-sur-Seine .

« C’est un cyclo-cross composé de deux parties distinctes, un plat dans le parc assez rapide entre les arbres, mais assez tape-cul. Puis ça descend dans la forêt, pour quelques montées-descente dont la dernière, longue, en général très boueuse. Un coureur musclé, affuté passera la forêt rapidement, il faudra aussi de gros poumons pour pouvoir accélérer en haut et passer le champs de patate en puissance. Je conseille aux spectateurs d’être près de la ligne, on voit l’ensemble du parc, ou la forêt juste en haut de la dernière montée pour bien voir les dégâts! C’est une organisation toujours très convivial, ambiance joviale de fin de saison, l’endroit est totalement investit pour l’évènement. Pour les coureurs , soit vous passez très bien la longue montée en gérant l’adhérence, soit vous prenez des crampons! Si vous vous entraînez seulement sur route le terrain cabossé vous remettra à votre place! Un deuxième vélo et un mécano est un énorme plus quand c’est boueux, le vélo doublant de volume au sommet de la forêt».

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Nos pronos pour … Chenennevieres-les-Louvres (3e catégorie)

Seule course du week-end en 3e catégorie, l’épreuve de Chenennevieres-les-Louvres (95) n’est pas complète avec seulement 81 coureurs au départ. Voici nos coureurs à suivre sur cette épreuve au parfum de rentrée (bis).

*** : Ameline (VCA du Bourget), Hansart (CM Aubervilliers 93), Provost (UC Nantes-Atlantique).

** : Discontigny (CM Aubervilliers 93), Delagneau (Team Peltrax-CSD), Froger (CC Coulommiers).

* : Guillo (Courbevoie Sports), Michel (ESC Meaux), Soluch (US Métro-Transports).

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Interview de… Pierre Ricci (Paris Cycliste Olympique)

A 29 ans, Pierre Ricci a participé au Tour de Guyane avec sa formation du Paris Cycliste Olympique. Le coureur 1ère catégorie disputait sa première course à étapes dans un département d’outre mer et revient sur cette expérience.

« C’est énorme »

Radio Peloton : Pierre, vous venez de finir le Tour de Guyane…

Pierre Ricci : Ce fut une très belle expérience sportive de participer à ce 29e tour de Guyane qui est très bien organisé à tout point de vue. Cela m’a permis d’acquérir de la caisse en cette fin de saison après un mois et demi sans compétition suite à une opération.

Radio Peloton : Qu’est ce qui vous avez le plus impressionné lors de cette épreuve ?

Pierre Ricci : L’évènement médiatique en lui-même. Il y avait beaucoup de motos caméras sur la route avec l’hélicoptère juste au-dessus, C’est énorme. La presse guyanaise a également bien couvert cette épreuve. Côté sport, quelque soit la nationalité des coureurs, il y avait beaucoup d’entraide.

 

 

Radio Peloton : Que retenez-vous sportivement et individuellement de ce Tour de Guyane ?

Pierre Ricci : Je retiens surtout la première étape. Faire de longues distances sous un climat tropical, je ne l’avais pas fait depuis un certains temps. Cela a été un déblocage pour les trois jours suivants avant d’être un peu moins bien sur la fin de course. J’étais venu sur ce Tour pour aider l’équipe et rouler pour notre sprinteur, ce que je pense avoir réussi à faire.

Radio Peloton : Et collectivement ?

Pierre Ricci : Il y a une pointe de déception de revenir sans la moindre gagne mais nous avons fait une place de deux et de nombreux top dix. On a montré le maillot.

Radio Peloton : Comment voyez-vous votre fin de saison ?

Pierre Ricci : Je vais me mettre au service de l’équipe afin de faire gagner un de mes coéquipiers. J’espère prendre beaucoup de plaisir sur les courses avant de potentiellement redescendre en 2e catégorie la saison prochaine.

 

Photo : Loïc Manceau.

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Le tuyau de Serge Perreira à … Poligny

Le cyclo-cross de Poligny (77) se déroulera pour la première fois en fin d’année . Serge Pereira nous décrit pour l’occasion le parcours sud seine-et-marnais.

 

 » La particularité du parcours est  je pense  le dénivelé qui est assez important.Pour les spectateurs si ils peuvent monter dans la prairie sur le haut du circuit, ils auront une belle vue d’ensemble. Mon conseil technique serait de faire attention au choix des pneumatiques et aux pressions. Il y aura pas mal de passe sur les descentes et les montées risque d’être glissant ».

 

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Le Mans, en route vers l’avenir ?

Les 24 Heures du Mans vélo se sont déroulés du 25 au 26 août sur le Circuit Bugatti. C’est plus de 1000 coureurs qui se sont succédés sur l’anneau sarthois à l’occasion de cette épreuve unique en France. Si en région parisienne, la Roue Fertoise (Seine-et-Marne) se déroule sur six heures, aucune autre épreuve francilienne ne propose ce genre d’épreuve avec ce format en circuit. Et si l’avenir du vélo résidait à multiplier ce genre de course qui conjugue esprit collectif, plaisir de rouler sans se soucier des points FFC, stratégies, convivialité le tout en circuit fermé ?

Photo : Martial Denais.

 

De nombreux coureurs d’Île-de-France avaient fait le déplacement au Mans, le plus souvent au sein de Team Privé à l’image de Sébastien Papinaud (USM Gagny), John Saccomandi (Parisis AC 95), Cyril Maitre (AC Boulogne-Billancourt) sous la bannière Socopa ou encore Matthieu Legrand (Team Peltrax-CSD) sous le maillot CREELEC, la société de son père.

Photo : Martial Denais.

 

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Interview de… Mathieu Engel (EC Noiséenne)

Parmi les coureurs attachés à l’Ile de France, on retrouve Mathieu Legrand. Arpentant les circuits franciliens depuis plus de 20 ans, il joue aujourd’hui un double rôle de coureur et arbitre national FFC.

« Mon objectif principal cette année était de réussir l’examen d’arbitre National FFC »

RadioPeloton: Mathieu, comment en es tu venu à pratiquer le cyclisme ?

Mathieu Engel: J ai débuté le vélo en 1993 au club de Sevran. C est mon père et mon voisin qui faisaient à l’époque des rallyes cyclotouristes. Ils m ont transmis la passion du vélo! J ai toujours été licencié depuis 1993, à Sevran donc pour commencer puis Clichy sous Bois et Noisy le Sec depuis 2011!

RP: Comment se passe ta saison 2018 ?

M.E: Cette année je n’ai pas beaucoup couru. J’ai participé à 4 épreuves en D1 uniquement! Je vais essayer de participer encore à quelques belles courses en septembre!

RP: Quels ont été ou sont encore tes objectifs ?

M.E: Mon objectif principal cette année était de réussir l’examen d’arbitre National FFC, c est chose faite! J’avais à coeur aussi que notre nouvelle organisation à Villeroy (6 mai) se passe bien!! D’après les coursiers, c’était une vrai belle épreuve! Donc mission réussie!! Et pour ma part, mon seul objectif est de me faire plaisir sur un vélo. Peu importe le résultat!

RP: Un mot sur ton club, quelle ambiance y règne ?

M.E: Je suis donc licencié à Noisy le Sec depuis 2011, où j’occupe le poste de Trésorier et Dirigeant. C est un petit club familial avec une ambiance conviviale, sans prise de tête! C est mon ami Jimmy Benoist qui a succédé à Gerard Gautheron, après 50 ans de présidence! Nous sommes affiliés à la FSGT et FFC.

RP: Quelle épreuve t’a le plus marqué ou affectionnes tu le plus ?

M.E: J’affectionne particulièrement le Tour de l’Est Parisien! Il s’agit d’une épreuve international FSGT qui a connu son heure de gloire dans les années 90. J’ai eu l’occasion d’y participer une quinzaine de fois avec à chaque fois un énorme plaisir! Et même de la remporter en 2013! Malheureusement, avec la difficulté croissante pour les club organisateurs à organiser ce genre d’épreuve en plusieurs étapes, elle risque comme d’autres de disparaître du calendrier… Sinon niveau professionnel, je ne raterais Paris Roubaix ou le Tour de France pour rien au monde!

RP: Selon toi, qui s’imposera sur la Vuelta ?

M.E:  Pour la Vuelta, c est difficile. Elle parait assez ouverte, les Movistar ont aligné la dream team avec Quintana et Valverde! Ils sont passés à côté de leur Tour de France et jouent à domicile! Ils auront obligation de prendre leur revanche. J’aimerais bien que Pinot nous claque un grand Tour! Il devrait arriver sur celui avec plein de fraicheur. Mais son équipe me parait un peu faible pour l aider. Et il faudra compter aussi sur des Nibali, Porte et Miguel Angel Lopez!! Peu importe le vainqueur, j’espère qu’il y aura de la « bagarre » et du spectacle pour nous les téléspectateurs!!

 

Crédit Photo: facebook Mathieu Engel

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Interview de… Adrien Garel (Vital Concept CC)

 
Natif de Bagneux, Adrien Garel a rejoint cette année la formation Vital Concept. Le pistard, néo pro dans la formation bretonne cette saison, a un très bon ressenti de sa première saison chez les élites. Le voilà désormais tourné vers les Coupes du Monde sur piste dans cet automne.
« Ce Championnat de France à la maison avait une saveur particulière »
 
RadioPeloton: Adrien, radiopeloton t’avait laissé durant l’hiver alors que tu réalisais ton premier stage avec le Vital Concept CC. Comment se passe ta saison ?
Adrien Garel: Elle se passe bien. Je dois encore passer un cap, il me manque encore quelques choses sur route mais elle se passe bien. J’apprends sur chaque course. J’ai eu la chance de faire des classiques comme des courses par étapes où il y avait du dénivelé. Cela reste loin des grosses courses comme Paris Nice ou le Critérium du Dauphiné mais je suis content.
 
RP: Tu as découvert le circuit professionnel, quelles différences avec le niveau amateur ?
AG: Cela court très différemment, ça roule fort la première heure puis 2h tempo mais soutenue parfois puis ça termine 1h ou 1h30 à bloc. Et c’est justement de repasser à cette dernière vitesse qui est ,pour moi,difficile.
 
RP: Tu as par ailleurs participé à un certain nombre d’épreuves, lesquelles t’ont le plus marqué et pourquoi ?
AG: Je dirais Paris Roubaix, le monde sur les secteurs c’était juste impressionnant! Puis ce Championnat de France à la maison avait une saveur particulière, même si j’étais loin de ma meilleur forme.
 
RP: Quelle est l’ambiance au sein du Vital Concept CC ?
AG: Elle est très bonne. On apprend de jour en jour à se connaître. Je pense que cela se ressent sur le vélo où les automatismes prennent leur place.
 
RP: Un bilan pour ces récents championnats de France de piste ?
AG: Il est très bon: pas une épreuve sans médaille pour le Vital Concept; et surtout 3 maillots sur 6 épreuves. C’est quand même pas mal 😉
 
RP: Quels sont tes objectifs à venir ?
AG: Il me reste un mois sur route pour me faire plaisir et faire de belles choses. Puis, peut-être mes deux premières coupes du monde sur piste en octobre avant une coupure de trois ou quatre semaines.
 
RP: Que peut-on te souhaiter pour 2019 ?
AG: Je dirais une plus belle année sur route et de repartir avec vital concept fin 2019!
 
 
A noter qu’Adrien Garel vient de terminer à la 66e place du Tour du Poitou Charente après avoir porté le maillot jaune du Challenge Interdépartemental (photo). Il termine par ailleurs 20e au classement des jeunes!*
 
*Crédit photo: Julie Desanlis Photographie

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Nos pronos pour … Villeneuve-sur-Bellot (2e catégorie)

C’est l’une des courses les plus prisées de la saison sur la région parisienne ! Le Prix de la Municipalité de Villeneuve-sur-Bellot se dispute ce dimanche en 2e catégorie. Voici nos coureurs à suivre pour l’occasion.

*** : Grévin (Team Peltrax-CSD), Goutaudier (ESC Meaux),Thominet (Team Peltrax-CSD)

** : Dumay (Team Pays de Dinan), Hallop (TP-CSD), Holzmeier (AC Boulogne-Billancourt).

* : Branger (VC Toucy), Bousser (TP-CSD), Mavier (VC Garennois).

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Interview de… Jérémy Lecroq (Vital-Concept CC)

Jérémy Lecroq a fait cet hiver le choix de la toute nouvelle formation Vital Concept. Et l’ancien junior d’Argenteuil Val de Seine n’est clairement pas déçu de ce choix. Après une victoire en début de saison au GP de Lilliers et un titre national en poursuite par équipe, l’homme de Jérôme Pineau peut se tourner sereinement vers sa fin de saison, la 2e chez les pros.

 

« J’ai passé un cap cette année grâce au gros programme de début de saison que j’ai eu avec notamment les classiques »

 

RadioPeloton: Jérémy, tu as choisi la nouvelle formation Vital Concept à l’intersaison, es-tu pleinement satisfait de ce choix ?

Jérémy Lecroq: Je suis entièrement satisfait de ce choix. C’est une équipe qui m’apporte beaucoup, tant sur les entraînements que sur les compétitions. Nous sommes très bien entourés et nous nous sentons tirés vers le haut. C’est ma deuxième saison chez les pros. J’ai passé un cap cette année grâce au gros programme de début de saison que j’ai eu avec, notamment, les classiques. Je suis vraiment content d’avoir pu entrer dans cette équipe

RP: Comment se passe ta saison ?

J.L: Ma saison est plutôt bonne dans l’ensemble, malgré ma grosse chute au Tour de Belgique le 23 mai. Ce coude cassé m’a écarté du peloton pendant près de 2 mois et demi. Cela m’a permis de souffler un grand coup pour repartir plus motivé pour la fin de saison. En plus de quoi, j’ai apporté une victoire pour l’équipe Vital Concept à Lilliers en début de saison, de quoi booster ma motivation. J’ai ,par ailleurs, participé aux plus belles classiques avec le Tour des Flandres et Paris Roubaix. Je continue d’apprendre et de progresser tout en essayant d’apporter des résultats pour l’équipe. J’espère que cette fin de saison sera aussi bonne son le début.

RP: Quelle course t’a le plus marqué cette année ?

JL: La course qui m’a le plus marqué, c’est forcément Paris Roubaix, le jour de mon anniversaire. C’était juste magnifique. Avec du recul, je me dis que c’est vraiment que du plaisir cette course, même si, sur le vélo, j’avais envie de tout arrêter tellement c’était dur. Mais au final, j’ai été porté par la foule et l’ambiance est juste incroyable quand tu en as fini avec ce mythe. L’entrée dans la trouée d’Arenberg c’était incroyable, pour nous les coureurs. C’est comme un sprint massif. L’arrivée est comme à l’entrée du secteur alors qu’il reste 100km à parcourir! Pourtant, tout le monde veut rentrer en tête car tout le monde sait que c’est un secteur très important. J’ai réussis à rentrer 6eme, et c’est là que j’ai compris que c’était un secteur à part. Les spectateurs hurlaient. J’avais les frissons sur le vélo…

RP: Quel est ton programme pour la deuxième partie de la saison ?

JL: Je ne connais pas encore la totalité de mon programme de fin de saison, je serai au Tour du Poitou Charentes* puis je verrai ensuite avec mes directeurs sportifs. J’espère que je serai aligné sur Paris Bourges et Paris Tours car ce sont des courses qui me correspondent bien.

RP: Quel bilan de ces France piste ?

JL: Je n’ai pas forcément de bilan à tirer de ces France pistes. L’objectif, c’était de venir pour continuer à m’entraîner dur pour les prochaines courses qui arrivent. C’était que du bonus pour moi. Après, forcément, je me suis pris au jeu. Et ça m’a permis de décrocher mon premier titre national dans la poursuite par équipe avec une bande de potes (Corentin/Adrien/marc et moi). On n’avait jamais roulé ensemble sur piste puis on a réussi à faire le record de la piste en 4’04. C’était vraiment super: des moments magiques entre copains, de sacrés souvenirs. Ensuite j’ ai été un peu déçu par  ma course aux points car j’étais vraiment bien mais j’ai manqué d’expérience. Après avoir mis le tour, j’ai mis pratiquement les 50 suivants avant de pouvoir remarquer des points. Pendant ce temps là, d’autres coureurs ont pris un tour, donc revenus à ma hauteur puis ont continué à marquer des points. C’est dommage car avec un peu plus d’expérience, j’aurais pu décrocher une médaille. Mais au final,pas de regrets, j’ai passé une super semaine sur la piste, je me suis bien entraîné et c’était l’objectif..

 

RP: Quel pronostic pour la victoire finale sur la Vuelta ?

JL: Pour la victoire sur la Vuelta, je ne sais pas qui est au départ comme favoris alors je ne préfère pas me prononcer. Par contre, en tant que sprinteur, je peux dire que Viviani gagnera 4 étapes 😜

 

*  En ce moment même sur le Tour de Poitou Charentes 2018, Jérémy Lecroq a pris ce matin la 4e place de la 3e étape sur une épreuve dominée pour le moment par Arnaud Démare.

 

Photo de couverture: Maïté Coriette

Photo d’illustration: Fan Club Jérémy Lecroq

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Le tuyau d’Arnaud Vernier à… Pringy.

Responsable de la section Ufolep du CC Ponthierry-Pringy, Arnaud Vernier nous décrit le parcours de cyclo-cross de Pringy, disputé en fin d’année.

« Je suis pratiquant de la discipline depuis peu, je le trouve complet. Nous allons trouver des parties techniques voir très technique si le temps est pluvieux en descente, en montée et même sur le plat. Nous avons aussi pas mal de relance et des zones obligatoires de portage. Nous avons tout de même conservé des lignes droites pour récupérer un peu car au final, c’est un circuit exigeant avec du rythme. On arrive a totaliser 180m de dénivelé positif sur un peu plus de 50mn de course soit environs 16km au total. Nous sommes entre 2.2 et 2.6km le tour selon les tracés. Autre particularité, nous n’empruntons aucun asphalte. Le parc dispose de route stabilisée par endroit notamment les lignes droites. Il faudra arriver bien préparé sur ce circuit pour s’imposer un gros rythme et pouvoir le conserver jusqu’au bout. Finalement, un coureur type sera comme le circuit, complet. La zone d’arrivée sera la plus intéressante pour les spectateurs.On a une vue sur les parties les plus intéressantes techniquement parlant du circuit. Mais surtout la descente en dévers le long de la source naturelle qui coule et se trouve à coté du pont de l’allée principale. Cette descente fait face à l’étang. De grand moment de solitude pour les coureurs et une grosse concentration pour ne pas aller à la faute, j’en sais quelque chose. L’an dernier, l’essentiel du public s’était amassé devant cette descente.Le petit plus de l’organisation, c’est le Parc de Pringy lui même. C’est juste magnifique, grandiose et très étendue. Une fenêtre sur la nature au milieu de cette charmante ville. Si le soleil est de la partie, c’est l’assurance de prendre un plaisir certain que ce soit pour les spectateurs, les coureurs ou les commissaires de courses.Il faudra prévoir gros et petit sur la cassette car on va utiliser 80% des rapports possible que l’on soit puissant ou un peu juste. Si le temps est sec, les gros crampons ne seront pas nécessaire mais méfiance avec la montée le long du mur du parc à droite de la prairie. Celle ci peut réserver des zones humides même par temps sec. Par temps pluvieux, il faudra sortir les gros crampons pour espérer passer cette zone là. Finalement, la pression des pneumatiques sera fonction aussi de l’humidité mais attention à celui chaussé en pneus de ne pas pincer sur la partie haute après l’arrivée car certains passages pavés sont rudes ».

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