C’est l’un des coureurs D1 les plus réguliers cette saison sur la région parisienne ! Eric Modolo, pensionnaire de l’USM Gagny veut continuer sur cette dynamique jusqu’à la fin de la saison.
« J’ai franchi un cap »
Radio Peloton : Depuis combien de temps pratiques-tu le vélo en compétition ?
Eric Modolo : Je fais du vélo en compétition depuis l’âge de 16 ans. Tout a commencé à une randonnée cycliste avec mon père en cyclotourisme… On a traversé le Massif Central .C’est à partir de ce moment là que j’ai dit à mon père que je voulais faire du vélo.
Radio Peloton : Qu’est ce que tu as appris du vélo jusqu’à maintenant ?
Eric Modolo : Cette pratique me sert au quotidien… Je ne suis pas déçu de ce sport exigeant. Au contraire il me sert dans ma vie courante. Tomber se relever, échec après échec redevenir encore plus fort…
Radio Peloton : Tu évolues actuellement en D1…
Eric Modolo : J’ai commencé en D1 sur les conseils de mon président. Je le remercie d’ailleurs. Si j’avais commencé en 3e catégorie, je pense que je n’aurais pas eu la même motivation et envie.
Radio Peloton : On sent d’ailleurs que tu as progressé logiquement par rapport à l’an dernier…
Eric Modolo : Je me suis amélioré par rapport à ma première année je me faisais larguer tous les dimanches pendant un an. J’ai pu compter sur le soutien de mes parents et amis du club qui ont toujours été derrière moi pour ne pas que je me décourage.
Radio Peloton : Pourquoi l’USM Gagny ?
Eric Modolo : C’est le club le plus proche de chez moi ! Les clubs se font rares actuellement dans le secteur. Je me sens super bien dans cette équipe.
Radio Peloton : Que retiens-tu de ta première partie de saison ?
Eric Modolo : J’ai franchi un cap tout en me faisant plaisir. Je suis en progression, mais une gagne me ferait du bien, même si je suis satisfait de mes places d’honneurs. Il me manque peut-être un peu de caractère pour obtenir de meilleurs résultats.
Radio Peloton : Quel coureur t’a le plus impressionné depuis que tu fais du vélo ?
Eric Modolo : Sans hésiter, Théo Nonnez. C’est un coureur complet. Avec ma volonté et ma persévérance j’espère un jour me rapprocher de ses capacités sur le vélo. Je suis ambitieux, mais il me reste énormément de travail avant toute chose.