Charlotte Nidercorne (US Métro-Transports), portera les couleurs de l’UVCA Troyes (Aube), l’an prochain.
L’ancien coureur du VC Garennois, Sébastien Lepain (Chambery CC) a pris la deuxième place de la course départementale de Moirans (Isère), le 24 septembre dernier.
Thomas Delacour sera toujours pensionnaire de la Pédale Combs-la-Villaise l’an prochain.
Florian Richard portera encore les couleurs de l’US Métro-Transports en 2018.
Champion de France masters de cyclo-cross en titre dans sa catégorie d’âge, Jérôme Grévin (Team Peltrax-CSD) s’était imposé à Nointel (Val d’Oise) l’an dernier.
« C’est un circuit assez complet qui peut convenir à tous les types de coureurs, cherchant à bien travailler pour les compétitions suivantes. On y trouve de la technique, des portions pour emmener du braquet et faire parler sa puissance. L’an dernier il n’y avait pas de planches sur le parcours par contre. J’avais fait la différence dans le taquet du parcours. Je pense que l’on pourrait faire un parallèle avec un autre circuit du Val d’Oise, celui de Domont qui présente aussi des zones similaires ».
Photo : Gérard Briand.
Ce dimanche 24 septembre sous un chaud soleil , la saison de cyclo cross reprenait à Meaux (Seine-et-Marne).
Les Maulois collectivement s’imposaient chez les départementaux grâce à un joli tir groupé de Valentin Gautier 5eme , Wilfried Picant 6eme et Cyrille Udry 7 eme .
Individuellement Mathieu Lebail de Chalette (Loiret) devançait Renaud Bour du VC Vouzinois (Aisne) et Christophe Huber d’Argenteuil(Val d’Oise).
Lagny Pontcarre Cycliste a inauguré son nouveau mini-bus vendredi dernier dans les locaux de la société BT Zimat à Jossigny(77). Pour l’occasion une grande partie des licenciés jeunes et moins jeunes du club étaient réunis afin d’effectuer les photos traditionnelles devant le nouveau véhicule, essentiel à la vie de l’association sportive. A la suite des différents clichés s’est suivi un ensemble de discours de tous les acteurs ayant contribué à la réussite de ce projet. Le président Guillaume Lienard a ensuite convié l’ensemble des membres présents autour d’un verre de l’amitie ou chacun a pu échanger sur la saison écoulée et les prochaines échéances du club en matière d’organisation, le 1er octobre avec la course départementale ainsi que le 3 décembre lors de la troisième manche de coupe de France ou le Lagny Pontcarre Cycliste est club co organisateur. A noter que le champion d’Ile de France juniors, Paul Tabary, ainsi que le champion du Monde VTT tandems des pompiers, Christophe Gay étaient également présent au cours de cette réception tout comme Julien Serin, un licencié du LPC victime d’un grave accident à l’entrainement l’hiver dernier.
Le cyclo-cross de Bois-le-Roi se déroulera le 14 octobre mais aussi le 17 décembre ! Pour certains le parcours sera une découverte. Alors le mieux pour en parler, c’est Jérémy Holvoet , président du Team HBS Cycling, club organisateur sur la première date et co-organisateursur la deuxième avec le Team Peltrax-CSD.
« Je vais me servir de l’épreuve du 14/10 pour tester le circuit de décembre avec quelques variantes puisque je ne veux pas non plus que les gars roulent sur le même circuit. Et puis en décembre cela risque d’être plus gras si je durcis le circuit cela risque de ne pas le faire auprès de coureurs.J’aime le site en général, nous avons un immense parking, l’ensemble est interdit au voiture, le circuit est entièrement sur de l’herbe donc en cas de pluie c’est gérable. Le départ se fait sur une grande partie en bitume assez large et le premier rétrécissement et loin donc cela permet au peloton de s’étirer. La diversité, nous avons de tout en petit nombre (sable, talus, partie technique, bitume, partie en sous bois). Et pour les spectateurs vous avez presque une vue complète du circuit quand vous êtes sur les hauteurs donc cela permet de suivre la course en ne bougeant presque pas. Cette année nous traverserons de nouveau la plage et je ne connais pas beaucoup de circuit en IDF qui dispose d’une partie comme celle ci. L’avantage ou inconvenant de la plage c’est qu’elle change pendant toute la course, c’est du sable. Les années précédentes les premiers passages se sont faits à vélo les derniers à pieds. Juste après cette partie on enchaîne sur des bosses et là ça pique fort les jambes. Donc celui qui ne pourra pas en remettre après cela partira déjà avec un handicap.Je garde que des bons souvenirs sur ce parcours, ainsi que les participants enfin je crois. Par contre c’était unanime, c’est dur et on ne récupère pas beaucoup voir pas du tout. Si l’épreuve du 14/10 est sous le soleil cela risque de rouler fort donc des pneus sans beaucoup de crans seront au top. Par contre pour le 17/12 en plein hiver cela va nous donner un autre circuit puisque les différents talus ne se monteront pas aussi bien. Pneus à crans et très peu de pression. C’est pas un circuit pour rouleur, il n’y à pas beaucoup de ligne droite. Il faut être plutôt technique et aimer la relance. Donc je dirais que celui qui veux faire une belle place sur nos épreuves doit être adroit et puissant, la plage de pardonne pas »
Melun, c’était généralement en début d’année et la date a été déplacée au 26 novembre cette année. L’équipe de Radio Peloton vous donne des indications sur le parcours seine-et-marnais qui pourront j’espère vous être utiles :
« Le parcours de Melun reste une référence dans le calendrier Ufolep de cyclo-cross ! Il y a deux saisons, le circuit était d’ailleurs le théâtre du championnat régional de cette fédération. Dans le Parc Spelthorne, c’est dur et usant entre les différentes montées et descentes du parcours. Il n’y a pas vraiment de stratégies à entreprendre si ce n’est de bien gérer son effort. C’est le plus fort qui gagnera, soit en se détachant rapidement, soit en montant crescendo en gamme. La descente est raide et rapide alors attention de bien anticiper son virage gauche en bas, sinon c’est tout droit dans l’Almont ! Melun c’est aussi facile d’accès pour les coureurs et spectateurs. Nul doute que le club organisateur du MCO mettra comme toujours les petits plats dans les grands pour vous faire passer une agréable journée de cyclo-cross ».
Le cyclo-cross reprend dimanche prochain en région parisienne du côté de Meaux (Seine-et-Marne) ! Une fois encore, il faudra suivre avec attention les performances de Maxime Garin dans cette discipline. L’Yvelinois pourrait bien être le tube des prochains mois dans les sous-bois franciliens.
» Je ferais tout pour gagner »
Radio Peloton : Maxime, prêt pour cette reprise de la saison de cyclo-cross , dimanche ?
Maxime Garin : Ah pour moi, le cyclo-cross ne reprend que le 1er octobre à Carnetin. J’ai coupé trois semaines après la finale de la coupe de France VTT le 20 août et j’ai repris les compétitions que le week-end dernier.
Radio Peloton : Que retiens-tu d’ailleurs de cette saison en VTT ?
Maxime Garin : J’étais là cette année pour découvrir le niveau national en VTT. La saison a très mal commencé, pendant deux mois je n’ai pas réussi à me remettre dedans après une grosse coupure. D’ailleurs ma plus mauvaise place en coupe de France est à Marseille au début du printemps, 34e. Mais après tout s’est bien passé. J’ai réussi à être régulier avec des 18,21,25,15e places et une 11e place et 2 ème cadet 1 au cours de la finale. J’ai également terminé 7e du cross country du Trophée de France alors que j’étais dans un groupe pour la place de 3 mais j’ai cassé ma selle. Je suis aussi vice-champion d’Île-de-France de VTT.
Radio Peloton : Pour ta deuxième saison de cyclo-cross chez les cadets, qu’ambitionnes-tu ?
Maxime Garin : Mes objectifs seront de terminer sur le podium au général de la coupe de France cyclo-cross 2017-2018. En régional, l’objectif est le titre. Mais la plus belle course de la saison pour moi reste le championnat de France. C’est une course d’un jour et je ferais tout pour gagner ! J’espère que mes jambes seront-là.
Radio Peloton : On te retrouvera toujours sous le maillot du club d’Epone dans les prochains mois ?
Maxime Garin : Il y a eu du changement au niveau des clubs, je vais intégrer un Team de marque dans le sud pour la saison VTT et je serais licencié dans un autre club francilien que l’ORC Epone. Je remercie aussi tous ceux qui me soutiennent et m’ont soutenu durant ses nombreuses années au club.
Photo : Loïc Manceau.
Le cyclo-cross francilien reprend ses droits ce dimanche du côté de Meaux (Seine-et-Marne) ! Qui de mieux que la championne d’Île-de-France féminine seniors, Fanny Stumpf (ESC Meaux) pour ouvrir notre premier tuyau de la saison de cyclo-cross.
« Le cyclo-cross de Meaux est un circuit boisé, sablonneux et essentiellement roulant. Il est très peu technique. Les points stratégiques sont les parties sableuses et une descente un peu raide. Le petit conseil que je donnerai aux participants est de faire attention à ne pas finir dans le lac car il y a une descente qui arrive directement sur le bord de celui-ci. Ce circuit convient à des crossmans essentiellement rouleurs ! Il est intéressant de venir sur ce cyclo cross car c est une nouvelle organisation de l’ESC Meaux. C’est également le cyclo-cross d’ouverture dans la région parisienne qui sert également de support pour la sélection des cadets lors la première manche de coupe de France à Besançon».
Coureur licencié en FFC du côté de l’AC Orsay et en FSGT à l’EC Morsang-sur-Orge, Enzo Oizel a obtenu le titre de champion de l’Essonne 3e catégorie à Savigny-sur-Orge, chez les juniors.
« En 2e catégorie l’an prochain »
Radio Peloton : Enzo, comment es-tu venu au cyclisme ?
Enzo Oizel : Le cyclisme est venu pour remplacer la gymnastique. Me lassant du sport individuel je souhaitais pouvoir partager l’effort solitaire et l’esprit d’équipe. Le cyclisme me paraissait donc être le meilleur compromis .
Radio Peloton : Tu as débuté par la FSGT, quelles sont les différences avec la FFC ? Comment jongles-tu avec ces deux fédérations ?
Enzo Oizel : En effet, j’ai appris à connaître et à faire du vélo grâce à l’école de Jean-Philippe Minotte, où j’ai pu apprendre les tactiques de course, les placements idéaux et depuis peu à gagner.Depuis cette dernière saison la cohabitation entre ces deux fédés et de plus en plus difficile car il est difficile de concilier les deux calendriers sans que certaines courses se croisent.Néanmoins j’essaie d’être présent en FSGT pour mouiller mon maillot de cœur de l’EC Morsang-sur-Orge.
Radio Peloton : Champion de l’Essonne cette année, un résultat attendu ?
Enzo Oizel :Non, comme j’avais pu l’annoncer à Loïc Manceau du Rep, j’ai pris cette course comme une autre sans me mettre la pression du titre qu’il y avait à la clef, j’avais de très bonnes jambes ce jour là, j’ai joué toutes les primes ce qui s’est malheureusement soldé par 2nd place. On ne peut pas tout avoir !
Radio Peloton : Comment s’est passé ton National FSGT sur route en juillet ?
Enzo Oizel : Ce titre était un réel objectif pour moi, une revanche, après une 2nd place cet hiver en cyclo cross je ne pouvais me contenter d’une défaite si proche du maillot tricolore.Alors j’ai voulu récidiver sur route, j’ai accusé la fatigue de la fin de saison car l’enchaînement de nocturnes sur la 2è moitié de saison a tapé dans les réserves. On peut donc conclure qu’il y aura certainement une 3 è tentative.
Radio Peloton: Quels sont tes objectifs pour la future saison de cyclo- cross ?
Enzo Oizel : Pour cet hiver, je vais être très rigoureux sur ma préparation afin de faire ma plus belle saison , j’aimerai pouvoir me jauger avec les meilleurs et envisager un titre régional en 3è caté.
Radio Peloton : Monter en 2è catégorie sur route c’est une ambition ?
Enzo Oizel : En effet, l’objectif premier de ma seconde saison de route au sein de l’ACO était de passer en 2è catégorie. Rapidement mes efforts ont payé avec une 4è place en 2è caté en début de saison, j’ai vu que j’en étais capable.Alors j’ai donc fait le maximum et amélioré mes tactiques de courses grâce aux plus expérimentés notamment Fabian Holzmeier de l’ACO, pour atteindre mon objectif.A l’heure d’aujourd’hui je compte plus de 300 points avec une victoire en province et ma 2è place à Savigny notamment ; ce qui valide ma montée en 2è caté pour l’année prochaine.
Photo: Loïc Manceau.
Propos recueillis par Corentin Christeau.
C’est au tour d’Antonin Clay de se confier à l’équipe de Radio Peloton ! Le coureur du Parisis AC 95 se livre sur sa prestation au dernier Tour du Pays de Flers au printemps dernier.
« J’espère en avoir d’autres »
Radio Peloton : Vous gagnez la première étape du Tour du Pays de Flers cette année, quels sont vos souvenirs de cette épreuve ?
Antonin Clay : L’étape a été neutralisée par une grosse chute avant la mi course, après ça a été dur de repartir. Plusieurs attaques ont lieu mais rien n’arrive à sortir, on arrive groupés en bas du Mont Cerysie, mon équipier attaque à 800 mètres de l’arrivée, moi je place un démarrage à 500 mètres et je gagne devant mon équipier !
Radio Peloton : Quelles sont vos sensations lorsque vous portez le maillot jaune de ce tour ?
Antonin Clay : Je l’ai porté sur un chrono par équipe donc ce n’est pas pareil que sur une étape mais ça nous a motive encore plus ! On veut le garder, montrer que ce sont nous les plus fort et qu’on ne veut pas perdre le maillot.
Radio Peloton : Au final vous le perdez ?
Antonin Clay : Oui au chrono par équipe on a fini loin et l’après midi j’ai tout tenté mais rien n’a marché, beaucoup de personnes me marquaient…
Radio Peloton : Que retenez vous de cette course à étape ?
Antonin Clay : Une victoire d’étape et un maillot jaune donc une bonne expérience et un super weekend sur de belles routes normandes.
Radio Peloton : Le niveau est- il si différent qu’en Île-de-France ?
Antonin Clay : Ça dépend des coureurs au départ c’est varié, il peut y avoir de bons coureurs comme d’autres sont moins forts.
Radio Peloton : Cette victoire est- elle une source d’inspiration pour tenter de remporter d’autres courses ?
Antonin Clay : Oui c’était ma deuxième victoire, on est toujours très motivé de gagner au départ donc quand on gagne on ne veut plus s’arrêter !
Radio Peloton : Est- ce la plus importante ?
Antonin Clay :Pour le moment oui ! J’espère en avoir d’autres !
Radio Peloton : Parlez moi de vos débuts sur route, comment vous êtes vous dirigé vers ce sport ?
Antonin Clay : J’ai commencé à l’âge de 3 ans au pac 95. C’est grâce à mon père il en faisait, j’ai suivi ses traces !
Radio Peloton : Donc les cyclistes pro ne vous inspirent pas ?
Antonin Clay : Bien sûr que si ! Je suis le premier à regarder le vélo à la télé, c’est ma passion ! Quand j’étais petit je passais mon temps à regarder les cassettes du Tour de France habillé en cycliste avec les habits de mon père !
Radio Peloton : Justement êtes-vous fan de certains coureurs pros ?
Antonin Clay : Oui Vincenzo Nibali et Fabio Aru, j’aime surtout ces deux là !
Photo : Loïc Manceau.
Propos recueillis par Etienne Servillat.