Radio Peloton présente Archypel Excluvise

Partenaire de Radio Peloton, Archypel Exclusive est un centre Miha Bodytec située au 9 rue Pascal (Paris 5) entre Mouffetard et les Gobelins. Mathilde et Pascal sont là pour répondre à vos besoins.

« Chaque individu est unique »

Radio Peloton : Pouvez-vous nous expliquer d’Archypel Exclusive ?

Archypel Exclusive : L’enseigne existe depuis six ans maintenant, mais le centre de Paris 5 a un an et demi. Nous sommes un centre d’amincissement, de bien être et de remise en forme basé sur les nouvelles technologies.

Radio Peloton : Vous avez six machines disponibles dans votre centre…

Archypel Exclusive : En effet, nous mettons à disposition de notre clientèle du Mya Boditech, de la Gym Métabolique active et passive, une Mya Capsules, une Cryolipolise. Nous proposons également des soins LED.

Radio Peloton : Pouvez-vous nous décrire chaque machine ?

Archypel Exclusive : Le Mya Boditech est de l’electrostimulation. Cela consiste notamment à remuscler le corps ou le réparer. Exemple 20 minutes avec cette machine correspond à 4h de sport.

La Gym Métabollique active se pratique sur un vélo infrarouge à chaleur. Le but étant de libérer les toxines, éliminer les molécules d’eau afin d’optimiser la performance. Ce système est aussi utilisé dans la récupération sportive.

La Mya Capsule est utilisé dans le cadre de techniques amincissantes à travers des ultrasons, le but étant de vider les cellules de graisse.

Idem pour la Cryolipolise, qui consiste à tuer la graisse par le froid, c’est l’une de nos machines phares à l’approche de l’été.

Le soin LED n’est pas encore répandu. Pourtant cette machine permet le traitement dermatologique notamment pour atténuer les vergétures, l’ecxema , les rougeurs ou les tâches du corps.

Nous sommes également en relation avec un chiropracteur et un posturologue.

La Gym Métabollique passive consiste à régener le corps dans une cabine UV. C’est un parfait complément au Mya Boditech.

Radio Peloton : D’autres machines pourraient intégrer votre structure ?

Archypel Exclusive : En septembre, nous nous doterons de l’HIFU visage. Cette dernière consiste à faire du lifting électronique.

Radio Peloton : Quels types de programmes proposez-vous ?

Archypel Exclusive : Dans un premier temps, nous proposons un bilan corporel et scientifique afin d’évaluer les besoins de la personne. Chaque individu est unique est à des besoins différents. Nous sommes dans une logique d’accompagnement tout en étant à l’écoute des sportifs. Nos programmes varient en fonction de la demande. A noter que nous procédons toujours du rendez-vous.

Radio Peloton : Quel est le plus important pour vous à l’heure actuelle ?

Archypel Exclusive : Que la personne qui rentre dans notre centre prenne du plaisir dans sa pratique sportive. Nous avons un vécu dans le sport de haut-niveau et nous savons l’exigence qu’il peut y avoir pour atteindre des objectifs. Nous sommes une structure où l’aspect humain est également important. La relation de confiance est primordiale. Nous avons toujours un œil bienveillant sur nos clients.

Radio Peloton : Quelles sont vos perspectives à moyen terme ?

Archypel Exclusive : L’objectif est d’ouvrir d’autres centres à moyen terme en petite couronne parisienne. Mais on ne veut pas mettre la charrue avant les bœufs. Nous procédons étape par étape.

 

 

Plus d’informations sur le site : 

Centre Miha Bodytec : Archypel Exclusive

Lire la suite

Le tuyau de Francis Gillain (Paris CO) à… Gagny

Coureur 3e catégorie au Paris Cycliste Olympique, Francis Gillain nous présente le parcours de Gagny (Seine-Saint-Denis). 

 

« C’est l’une des dernières courses de la saison 2018 en 3e catégorie ! Elle est disputée sur un super circuit en ville et n’est pas dangereuse. Le parcours est sélectif et usant avec une bosse voire un long faux plat pour les plus forts, une bonne bordure en haut si le vent est bien placé, une descente avec deux belles relances. Une chose est certaine, il faut courir devant. Pour les spectateurs, faire le tour à pieds, il y a de belles prises de vues à faire. Des lots en nature sont également distribués par le sponsor de l’organisateur (Pro Cycling Manager de mémoire). C’est une course que je referais avec plaisir et que j’ai failli gagner par le passé ».

Lire la suite

Divers brèves

Vitaly Dubreil (VC Etampes) s’est classé 3e de la course 3e catégorie de Saint-Brisson-sur-Loire (Loiret) le 22 juillet dernier.

Emile Guicheron (AS Corbeil-Essonnes) monte de la catégorie D4 à la catégorie D3.

Etienne Aublet (Pédale Combs-la-Villaise) sera présent sur la course D2 d’Episy (77), ce dimanche.

Maxime Bélair (Team Peltrax-CSD) est engagé sur la course 2e catégorie de Villeneuve-sur-Bellot (77), ce dimanche.

Lire la suite

Nos pronos pour… Jouy-sur-Morin (2e catégorie)

Après quelques semaines d’absences, nos pronos sont de retour sur notre site à l’occasion de la course de dimanche à Jouy-sur-Morin. Retrouvez nos coureurs à suivre sur cette organisation de la JS Ferté-Gaucher.

***:Bona (VC Fontainebleau-Avon), Branger (VC Toucy), Pierre (Argenteuil VS 95).

**:Delachaume (VS Chartres), Saillard (Team Peltrax-CSD),Ramassamy (EC Montgeron-Vigneux).

* :Bousser(Team Peltrax-CSD), Marcoux (VS Chartres), Saccomandi (Parisis AC 95).

Lire la suite

Le tuyau de Corentin Christeau (AS Corbeil-Essonnes) à… Evry

Ancien pensionnaire du SCA 2000 Evry et licencié cette année à l’AS Corbeil-Essonnes, Corentin Christeau nous décrit le parcours du cyclo-cross d’Evry (Essonne), le 9 décembre prochain en FSGT.

« C’est un parcours assez technique présentant un à deux passages particulièrement difficiles qui ne pourront être passés sur le vélo que par des spécialistes de la discipline. En cas de fortes pluies ou d’une importante hygrométrie, le dévers à l’arrière du parcours peut s’avérer délicat à passer. Ce sont surtout des coureurs capables d’assumer une course où il n’y a quasiment pas un mètre de plat qui sauront se distinguer sur ce cyclo-cross, jusque là dépourvu de planches a passer. Il serait intéressant pour les spectateurs de se porter près de la passerelle piétons non loin de l’arrivée, donnant une vue sur trois points du circuit et se trouvant en haut de la montée la plus raide à travers le bosquet.C’est une organisation sympathique avec de l’ambiance. Il y a souvent de la musique et une buvette agréable. De plus on retrouve un circuit qui peut s’avérer propice à des VTT ce qui n’en fait pas un parcours 100% taillé cyclo -cross. Il est assez atypique et plaisant à courir. Conseil technique, il faudra bien contrôler la pression des pneus au vue du dévers mais également se tester à la bosse près de la passerelle à l’échauffement sous peine de perdre beaucoup de temps si la tentative de passer sur le vélo échoue ! »

Lire la suite

Le tuyau de David France (CC Igny-Palaiseau 91) à… Igny

Ancien champion national FSGT, David France nous décrit le parcours d’Igny organisé par son club du CC Igny-Palaiseau 91 présidé par Bruno Bizieux.

« C’est un parcours très spécial il n’y a pas un mètres de plat. Les multiples montées du circuit reviennent très vite et ne donnent pas le temps de récupéré. Il faut savoir descendre très vite en sous bois. Le circuit est taillé pour les vetetistes. Les descentes sont intéressantes pour les spectateurs je conseil de se placer au point le plus bas du circuit afin de voir la grande descente. Ce circuit est redoutable surtout en début de saison, c’est pour moi l’un des plus dur du calendrier. L’organisation a lieu à deux pas de chez moi, sachant que c’est mon terrain d’entraînement je trouve qu’il est très technique. Il totalise près de 400m de dénivelé positif sur 15km de course ce qui est rare sur les circuit de cyclo cross. Les organisateurs sont toujours aussi innovants chaque année sur les parties techniques. Mon conseil sera de ne jamais se mettre dans le rouge car les montées sont tellement raides que le moindre sureffort peu coûter cher et il faut rester concentrer jusqu au bout car le circuit est piègeux ».

Lire la suite

Interview de… Cindy Pomares (COCF Courcouronnes)

A 28 ans Cindy Pomares est une athlète accomplie, licenciée au club de Poitiers triathlon, au Racing Club de France en natation, au RMA en athlétisme et au COCF Coucouronnes en cyclisme traditionnel .

«J’ai énormément de choses à apprendre »

Radio Peloton : Pourquoi avoir rejoint le COCF Courcourones depuis maintenant deux saisons ?

Cindy Pomares : Suite à une mutation professionnelle en région parisienne, j’ai quitté la Bretagne ou j’avais fait mes premières armes en Cyclisme, en recherchant un club parisien. J’avais eu la chance de partager une sortie de l’aventure « Donnons des Elle J-1 » , lors du Tour de France 2015. Le Club de Courcouronnes et son offre de DN a conforté mon projet de performance croisé (Triathlon / Cyclisme). C’est une équipe de Girl Power, 100% féminine et aux projets multiples. Le projet de compétition et l’opportunité de pouvoir participer au circuit Coupe de France est l’essentiel atout pour mon aventure.

Radio Peloton : Comment jugez-vous votre première partie de saison ?

Cindy Pomares : Cette saison est porteuse de véritables changements, nouveautés et enseignements. Je viens de débuter une collaboration, avec Sébastien Chavanel (TrainingPic) qui gère mon entrainement, et portant déjà ses fruits. J’ai réussi à construire à mes côtés un staff de professionnels passionnés et ultra compétents dans leur discipline, ce qui me permet de gravir des marches au quotidien. Je suis heureuse de ma 3e place au championnat régional de contre-la-montre, et d’avoir pu me confronter aux meilleures spécialistes lors du championnat de France. Les réactions de mes coachs, férus de DATA, face à des valeurs en progression me poussent à croire que mon début de saison est correct !

 

Radio Peloton : Vous présentez la particularité de pratiquer d’autres disciplines, lesquelles ?

Cindy Pomares : Mon quotidien tourne autour de mon projet de performance et de la recherche d »un équilibre entre Entraînement- Plaisir- et Expertise. Etant Triathlète en 1ère Division au Club du Stade Poitevin, j’ai évidemment moins d’heures de selle que la majorité du peloton mais je reste persuadée du transfert entre les disciplines et du fait que cela me laisse un véritable axe de progression.

Radio Peloton : Quelles sont vos ambitions en cette deuxième partie de saison ?

Cindy Pomares : Je viens d’achever ma première partie de saison par une 9e place aux championnats du Monde Aquathlon au Danemark. Ma fin de saison sera orientée vers les grands prix de 1ère Division Triathlon et les coupes de France. J’ai énormément de choses à apprendre et le circuit DN est le meilleur endroit pour développer les qualités physiques, techniques et tactiques. Mais je vois déjà à plus long terme. Cette saison est axée apprentissages, la saison prochaine, il faudra penser résultats.

Radio Peloton : Aura-t-on l’occasion de vous voir dans d’autres disciplines du vélo avant la fin de saison ?

Cindy Pomares : Le vélo prend une place de plus en plus importante dans ma vie de sportive, mettant en lumière des valeurs d’abnégation, d’audace et d’expertise qui me sont chères. Sous l’égide d’Alexandre Prudhomme, j’ai découvert la piste cet hiver et ça a clairement été un véritable bonus dans ma préparation. Je compte bien m’y investir davantage et si l’occasion se présente prendre le départ de quelques cyclo-cross cet hiver pour faire passer les froides températures (et travailler ma technique accessoirement).

 

Photo : Nicolas Vaucouleur /Vélostar Actu .

 

Lire la suite

Le tuyau de Xavier Stocard à ….Meigneux(77)

« L’an dernier j’avais fait la course en D2 en relevant mes données cela donnait ,77,4 km, temps de course 2h01 , moyenne de la course 38,5 Km/h, 422m+ de dénivelé , le meilleur tour en 12’50 , le moins bon tour en 13’25 et la vitesse max 61 km/h. Le parcours était un triangle allongé .Finish assez étroit et plat sur un axe d’1 km environ entre les champs, étroitesse qui exige d’être placé dans le premier tiers au dernier virage. Ça frotte pas mal…Les courses sont arrivées aux sprint. Un conseil ? Que les sprinteurs fasse leur course de sprinters et que les rouleurs tentent de rouler en rouleurs… Je garde un très bon souvenir de l’organisation et du parcours qui a cet avantage je trouve de n’être ni plat ni avec trop de dénivelés malgré + de 400m+. L’arrivée est sympa pour les spectateurs ,on voit les coursiers arriver de loin sur la gauche ».

Lire la suite

Le tuyau de Michel Goupil (ECNP) à … Neuilly-sur-Marne

« C’est un beau parcours d’1,5 kilomètres mais que je n’aime pas vraiment avec une bosse usante et courte. Le circuit en lui-même , 400m plat, une épingle longue en descente (200m), puis 600m en faux plat descendant, puis épingle sur 150m en côte et 150m faux plat jusqu’à la ligne, ce qui constitue un effort violent tous les deux minutes où sort souvent des coups. Soit cela arrive en échappée soit au sprint. Le circuit est entièrement sécurisé et hors circulation le dimanche. Pour les spectateurs, je vous conseille de vous placer au centre du circuit. 50 mètres après l’arrivée on peut voir deux fois le passage des coureurs. C’est une épreuve réservée aux départementaux. Pour les spectateurs, placé au centre du circuit, 50m après l’arrivée, on peut voir 2 fois le passage des coureurs, en haut et en bas. Les courses se font par catégorie, chacun leur tour, pas de doublage de catégories. Pour l’emporter il faut être polyvalent. Moi j’ai toujours fini un peu cuit, voire lâché, doublé en 9 participations. Mon meilleur souvenir reste en 2015. Pas super, lâché au troisième tour, je reviens dans la descente, passe tout le monde, et monte devant quand Jean-Pierre Hauet (US Ezanville-Ecouen), sort. Je le suis, et on se détache, super protégé par l’ECNP. On prendra 1’20 » à 8tours du but. J- P fait tout, je relaie 150m en descente et il a déjà gagné, la gagne c’est pour moi, quand un déluge s’abat sur la course; je manque le premier virage, je ne reviendrai pas. J’accroche le paquet d’où mes coéquipiers de l’ECNP doivent sortir pour revenir. Trop tard,Hauet gagne et monte en D3, on perd la course, Fouesnant en début de problème de dos perd le challenge annuel, et moi, je fais douzième ».

Lire la suite

Interview de… Steffi Jamoneau (VC Lucéen)

Steffi Jamoneau est toujours sur le vélo ! A 27 ans, l’ancienne pensionnaire du CM Aubervilliers 93, aujourd’hui au VC Lucéen s’aligne au départ des courses sur piste et sur route avec toujours la même envie.

« Retrouver de belles sensations » 

Radio Peloton : Steffi, qu’est ce qui t’a motivé à reprendre le vélo ?

Steffi Jamoneau : Je n’ai pas arrêté le vélo, j’ai juste eu une maladie qui m’a empêcher de pratiquer l’an dernier, la coqueluche.

Radio Peloton : Pourquoi avoir fait le choix de signer au VC Lucéen ?

Steffi Jamoneau : En plus des raisons pratiques car étant un club de mon agglo, le VCL est un club familial. C’était le club de mon frère, et j’en ai toujours eu des bons échos. Je ne regrette vraiment pas, j’y suis traitée comme une princesse !

 

Radio Peloton :  Quels souvenirs gardes-tu de ta période francilienne ?

Steffi Jamoneau : À l’époque le vélo paraissait facile. On dominait avec l’équipe. Mais je ne regrette pas mon parcours qui a suivi qui m’a donné l’occasion de faire de nouvelles rencontres et de vivre de superbes expériences.

Radio Peloton :  Comment juges-tu ta première moitié de saison ?

Steffi Jamoneau : C’est délicat. Je ne suis pas déçue car j’ai failli arrêter le vélo l’an dernier vu que je ne me voyais plus repartir. De plus j’ai faite 2 chutes (février et juin) survenues quand je commençais à avoir de belles sensations et me faisant repartir de zéro à chaque fois. Maintenant cette année et surtout consacrée à ma remise en route, l’an prochain j’aurais sûrement plus d’ ambitions.

Radio Peloton : Tu t’es malgré tout illustrée sur piste …

Steffi Jamoneau : Comme dis précédemment, cette année j’ai surtout cherché à reprendre du plaisir sur le vélo.J’ai gagné le week-end courant de l’été en pass après une 4ème puis une 2nde place en courses filles. Quant à la piste, j’ai gagné le scratch et la vitesse par équipe au championnat régional piste auparavant.

 

Radio Peloton : Pourquoi avoir disputé certaines courses sur la région parisienne cette année ?

Steffi Jamoneau : J’habite à Chartres donc je suis à 1h de la région parisienne. C’est pour cela qu’il m’arrive de m’y rendre.

Radio Peloton : D’ailleurs tu as été projetée à terre durant la nocturne de Montgeron, peux-tu nous raconter les circonstances de ta chute ?

Steffi Jamoneau : Simplement un passant inattentif qui a traversé à la sortie d’un virage quand j’arrivais et je lui ai donc rentré dedans et suis passée par dessus mon guidon.

Radio Peloton : En quoi va consister ton calendrier de courses en août ?

Steffi Jamoneau : Je suis actuellement au championnat de France piste à Hyères, suivi de la Pictocharentaise (coupe de France).

Radio Peloton : Avec quelles ambitions ?

Steffi Jamoneau : J’espère retrouver de belles sensations pour pouvoir bien conclure cette saison avec quelques beaux résultats.

 

Photo : Nicolas Vaucouleur/ Vélostar Actu.

 

 

Lire la suite