Les Véliziens sur le bon tempo !

Du 4 au 11 octobre, ‘‘Le STAB’’ de Roubaix a accueilli les mondiaux Masters sur piste. Nos 6 représentants Véliziens ont obtenu 1 médaille d’or, 1 médaille d’argent, 2 médailles de bronze et des places d’honneur dans un contexte mondial particulièrement relevé.
Félicitations à nos médaillés et plus particulièrement Geoffroy SOULAINE pour ce nouveau titre de Champion du monde.
 Geoffroy SOULAINE : Champion du monde de Vitesse par équipe, associé à Jean-Luc CHAMBRIN et Arnaud DUBLE, devant la Grande-Bretagne et la Nouvelle Zélande. Geoffroy est également médaillé de Bronze au CLM 750m.
 Sébastien CARON : 2ème en Vitesse par équipe avec Sébastien Notin et Charlie CONORD. Il se classe 6ème au CLM 750m.
 Ludovic MONTOURCY : 3ème en Poursuite par équipe avec Frédéric AUTHOUART, Frédéric Coste et Christophe GOUPIL.
 Guillaume SOUTTER : 7ème en finale du Scratch et 10ème Course aux points pour son 1er championnat du monde.
 Jean-Charles VIGNE : 12ème en finale du Scratch.
 Suzanne PIRIO : 8ème en poursuite individuelle (souffrante, Suzanne n’a pu défendre ses chances sur les deux dernières épreuves.
Nous retrouverons tous ces coureurs dimanche 9 novembre pour le 11ème Grand Prix de Vélizy au Vélodrome National de Saint-Quentin-en-Yvelines.

Lien résultats complets :
https://www.tracktiming.live/eventpage.php?EventId=25032

 

Photo : DR.

Merci à Jean-Michel Richefort pour le communiqué 

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Des bons résultats pour la France

Du 4 au 11 octobre se sont déroulés les Championnats du monde Masters sur Piste au « STAB » de Roubaix (Nord)avec des épreuves très disputées.
Dans un contexte mondial très relevé les Français se sont distingués en trustant les podiums avec 8 titres Individuels et 2 titres par Equipes.
Mention spéciale à Arnaud DUBLE qui remporte 3 titres de champion du monde : Vitesse individuelle, CLM 750 m et vitesse par équipes. Jean-Michel RICHEFORT.

Les principaux résultats des tricolores :

SCRATCH:
35 – 39 : 2ème Sébastien GEORGE
40 – 44 : 1er Benoit DAENINCK
45 – 49 : 2ème Nicolas LABUSSIERE, 5ème Bruno TANJON
55 – 59 : 1er Patrice HUBY
60 – 64 : 3ème Laurent LIGER
80 et + : 1er Michel BRIAT

Scratch Femmes :
35 – 49 : 6ème Aurore FLAMENT, 8ème Emmanuelle DUPONT
50 – 59 : 4ème Stéphanie MEERPOEL

COURSE AUX POINTS :
40 – 44 : 1er Nicolas FONTAINE, 3ème Benoit DAENINCK
45 – 49 : 3ème Thomas BODO
50 – 54 : 4ème Frédéric AUTHOUART
55 – 59 : 3ème Patrice HUBY, 5ème Jean-Pierre MADERN
60 – 64 : 5ème Laurent LIGER
75 – 79 : 5ème Michel FRANCOIS
80 et + : 2ème Michel BRIAT, 4ème Roger LANGLOIS

Course aux points Femmes :
35 – 49 : 6ème Aurore FLAMENT
50 – 59 : 4ème Stéphanie MEERPOEL

CLM :
40 – 44 : 6ème Sébastien CARON
45 – 49 : 1er Arnaud DUBLE
50 – 54 : 3ème Geoffroy SOULAINE
70 – 74 : 1er Marc DANGLETERRE, 2ème Pierrick GIRAULT

VITESSE INDIVIDUELLE
45 – 49 : 1er Arnaud DUBLE
70 – 74 : 1er Marc DANGLETERRE

POURSUITE INDIVIDUELLE
55 – 59 : 2ème Patrice HUBY
80 et + : 2ème Michel BRIAT

VITESSE PAR EQUIPES :
35 – 44 : 2ème France : Sébastien CARON, Sébastien Notin Charlie CONORD
45 – 54 : 1ère France : Jean-Luc CHAMBRIN, Geoffroy SOULAINE, Arnaud DUBLE
55 – 64 : 2ème France : Eric GAUMET, Richard MIGRAINE, Franck CALCUS
65 – 74 : 2ème France 1 : Dominique SIOUL, Jean Pierre GUINNEBERT, Marc DANGLETERRE
65- 74 : 3ème France 2 (Mont-Saint-Michel) : Michel FRANCOIS, Bertrand THEBAULT, GIRRAULT Pierrick

POURSUITE PAR EQUIPES :
35- 44 : 1ère France : Benoit DAENINCK, Frédéric LIMOUSIN, Julien DUVAL, Nicolas FONTAINE
45 – 54 : 3ème France : Ludovic MONTOURCY, Frédéric AUTHOUART, Frédéric Coste, Christophe GOUPIL

Lien résultats complets :
https://www.tracktiming.live/eventpage.php?EventId=25032

 

Photo : DR.

 

Merci à Jean-Michel Richefort pour le communiqué. 

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La Bourse aux vélos de Vélizy (Yvelines) ? C’est demain !

La Bourse aux vélos de Vélizy se déroulera ce dimanche 19 octobre au centre Maurice Ravel, 25, avenue Louis Breguet à VELIZY (Yvelines), de 8h30 à 17h. Cette rencontre dont ce sera la 19ème édition s’adresse à tous les passionnés de vélo.
Présence de vélocistes, clubs, particuliers.
Tous types de vélos neufs et d’occasion.
Accessoires, vêtements, pneumatiques, etc.
Dépôt/Vente assurée par l’organisateur
Entrée gratuite, parking, restauration, tombola
Contact : 06 87 75 06 71
bourseauxvelos@gmail.com – www.ecvelizy78.com

 

 

Nos remerciements à Jean-Michel Richefort pour le communiqué

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Quand Radio Peloton parle à… Radio Peloton

 « Le vélo a évolué « : dix ans de passion locale avec Radio Peloton

 

Depuis plus d’une décennie, Radio Peloton tisse le fil d’une aventure humaine et éditoriale autour du cyclisme en Île-de-France. Né d’un amour sincère pour le sport et ses acteurs de l’ombre, ce média indépendant revient sur son parcours, ses doutes et ses espoirs.
Un projet né d’un simple coup de pédale. « Le temps passe vite », sourit l’un des fondateurs de Radio Peloton, en évoquant la naissance du site en 2015. À l’origine, une envie simple : parler de vélo localement, en région parisienne, avec une approche généraliste et inclusive. Dix ans plus tard, si la ligne éditoriale reste fidèle à ses débuts — couvrir toutes les pratiques cyclistes et tous les pratiquants, le périmètre s’est élargi aux régions voisines (avec des crochets plus hexagonaux et ultramarins), mais toujours avec la même ferveur bénévole.

Le sport amateur : une richesse mal exploitée ?
 Interrogé sur la place du sport amateur dans le paysage médiatique français, le ton se fait plus grave : « On espérait une vague d’intérêt autour du sport après les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. Le soufflé est (très) vite retombé » Radio Peloton dénonce la précarité du tissu sportif français, fragilisé par des contraintes économiques et un manque de reconnaissance. « Le sport, c’est un ciment social, un espace de transmission, de plaisir dans des quotidiens pas toujours roses et de liens. Nous y croyons dur comme fer ».

Donner la parole à ceux qu’on n’entend plus
 Depuis ses débuts, le média s’est attaché à faire entendre la voix des bénévoles, des clubs et des petites courses souvent oubliées des grands canaux d’information. Mais, reconnaît-on, le pari n’est pas totalement gagné : « Avec Radio Peloton, nous sommes bénévoles, passionnés, mais nous ne pouvons pas tout couvrir ».

Un vélo en mutation : ville, écologie, sport-santé…
Alors que les usages du vélo explosent en ville et que de nouvelles thématiques émergent (écologie, sport-santé, mobilité), Radio Peloton se montre prudent : « Ce sont des sujets que nous aimerions explorer davantage. Peut-être après 2025, si l’aventure Radio Peloton se poursuit. » Pour l’instant, la priorité reste de valoriser la pratique sportive pure, dans toutes ses dimensions.

À contre-courant des formats courts ?
• À l’heure des réseaux sociaux et de la viralité, le média fait le choix de la lenteur et de la proximité. « Nous restons sur Facebook et notre site. D’autres formats sont envisagés, comme le podcast ou la vidéo, mais cela demande des moyens et du temps» .Pour Radio Peloton, pas question de courir après les tendances si cela doit se faire au détriment de l’authenticité.

Un média humaniste avant tout
• Dans un paysage saturé d’infos et de contenus instantanés, Radio Peloton revendique une approche différente : « Nous sommes un média humaniste et populiste, dans le bon sens du terme. Ce qui nous importe, c’est le terrain, l’humain, le lien social. » Le projet s’inscrit dans une logique de proximité, ouverte aux critiques comme aux encouragements.

Une indépendance assumée
• L’autofinancement est à la fois un choix et une contrainte. « On fait avec les moyens du bord. On reste lucides sur nos forces et nos limites en proposant  un contenu sincère, engagé, au service de tous les passionnés. »

 

Un rôle social à ne pas négliger
• Plus qu’un média sportif, Radio Peloton revendique un rôle social local. « On le voit bien : les médias locaux comptent. Ils sont utiles aux collectivités, aux clubs, aux associations. » Et l’équipe, souvent engagée aussi dans la presse quotidienne régionale, mesure la défiance qui pèse sur les médias. « Le local, c’est ce qui reste quand tout le reste s’efface surtout quand l’actualité nationale est morose. »

Une transmission à cœur ouvert
• Former des jeunes, conserver la mémoire locale, documenter les récits oubliés : Radio Peloton a déjà amorcé ce virage. « On a accueilli de nombreux rédacteurs passionnés. Le vélo, c’est une histoire de transmission, et on a tendance à l’oublier dans cette société instantanée. »

Podcast, chronique, vidéo… demain peut-être
• Le format chronique est une marque de fabrique. Une déclinaison en podcast ou en vidéo ? « L’idée fait son chemin. Mais il y a beaucoup de questions à se poser : est-ce que le public suivra ? Avons-nous la logistique ? » Pour l’instant, priorité au présent et aux fondamentaux.

Et dans cinq ans ?
• L’avenir ? Il est incertain avec la même épée de Damoclès au-dessus de nombreuses compétitions ou associations sportives. « Des courses disparaissent, faute de moyens ou d’envie politique. La compétition devient inaccessible pour certains jeunes. On espère que les disciplines émergentes, trop longtemps ignorées, prendront leur envol. » L’équipe garde pourtant foi dans un vélo populaire, fédérateur, humain.

Rêver encore
• Le rêve ultime ? « Que les gens prennent toujours autant de plaisir à nous lire. Une coopérative de médias, pourquoi pas ? ». Pour Radio Peloton, ce qui compte, c’est l’enthousiasme, l’envie de partager, et la joie simple de vivre son sport à fond, peu importe le niveau du pratiquant. 

Le vélo, miroir de la société
• Radio Peloton n’élude pas les tensions : individualisme grandissant, clubs fragmentés, opposition de certains commerçants à l’organisation de courses… « Le vélo évolue, et parfois pas dans le bon sens. Mais certaines structures tiennent bon et perpétuent une forme d’esprit d’antan. C’est cet esprit que nous voulons continuer à faire vivre dans la convivialité et bonne humeur ».

Cyclisme et amour : même moteur ?
• Et si passion et amour étaient les deux faces d’une même médaille ? « Peut-être que la passion, c’est déjà une forme d’amour. L’amour de son sport, des autres, de la transmission. La passion est un formidable point de départ. »

 

Propos recueillis par Victor Grezaud. 

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Interview de … Julien Kerboriou (VC Arpajon)

Julien Kerboriou a fait son retour dans l’Essonne lors de la dernière intersaison, après avoir longtemps évolué dans les rangs élites. Aujourd’hui licencié au VC Arpajon, il s’est déjà distingué en remportant le titre de champion de l’Essonne O2 2025. A 35 ans, la motivation est toujours-là pour le baroudeur essonnien.

«Apporter mon expérience »

Radio Peloton : Après plusieurs années passées au niveau élite, qu’est-ce qui vous a motivé à revenir courir en Essonne avec le VC Arpajon ?

Julien Kerboriou : J’ai quelques amis qui sont aux VCA depuis plusieurs années, certains avec qui j’ai couru au Vélo club d’Etampes avant d’être en élite. Je n’ai eu que des bons retours. Je savais que l’ambiance était bonne, étant donné que j’avais pris part à quelques entraînements hivernaux sans être au club. Je voulais un club proche de la maison. Je ne voulais pas d’un club structuré autour d’une équipe O2 ou O1 pour aller faire des courses tous les week-ends.

Radio Peloton : Votre retour dans un club essonnien s’est soldé par un titre départemental…

Julien Kerboriou : C’était évidemment un objectif, je le voulais autant pour le club que pour moi. Je l’avais dit au président du VCA la veille que c’était le titre ou rien.

Radio Peloton : Quels sont les coureurs, coéquipiers ou adversaires, qui vous ont marqué tout au long de votre parcours ?

Julien Kerboriou : Il y en a quelques-uns depuis le temps que je roule (sourires). En ce moment on parle beaucoup de Louis Hardouin. Je l’ai vu arriver à Orléans. Je me souviens d’une course en 1ere catégorie, il était encore au club de Saran et sur la course il avait été costaud. J’ai dit à l’arrivée au DS d’Orléans, lui il faut le contacter pour l’an prochain. Il m’a répondu que c’était prévu. Il a progressé doucement année après année.

Radio Peloton : Comment comparez-vous votre expérience dans les rangs élites avec ce que vous vivez aujourd’hui dans le cyclisme essonnien ?

Julien Kerboriou : C’est très différent. Surtout moi je le vis différemment. En élite tu arrives sur une course 1h30 avant le départ en équipe, tu es déjà conditionné pour la course. Je me battais pour n’importe quelle place finale. Là c’est très différent. Je n’ai plus aucune attente de résultats même si évidement en course si je peux jouer la gagne, je vais la jouer à fond.

Radio Peloton : Quelles sont vos ambitions pour la suite : viser de nouveaux titres, transmettre votre expérience aux plus jeunes, ou simplement prendre du plaisir sur le vélo ?

Julien Kerboriou : Les trois! Prendre du plaisir en allant chercher un ou deux résultats et des titres en font partie. Je suis venu aussi au VCA pour apporter mon expérience. Cette année je n’ai pas pu transmettre aux jeunes ou aider un coéquipier à faire un résultat car j’ai couru souvent seul en open .On verra l’an prochain et les années à venir.

Propos recueillis par Victor Grezaud.

 

 

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Bialé de retour dans les pelotons en 2026

Un adage dit que l’on revient toujours au cyclisme d’une manière ou d’une autre. Valentin Bialé va dans ce sens ! A 24 ans, l’ancien coureur du Paris Cycliste Olympique fera son retour dans les pelotons en 2026 en prenant la direction de la formation de l’USM Gagny (Seine-Saint-Denis). Un choix murement réfléchi pour le récent diplômé de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Paris. « L’USMG est un club historique du paysage francilien avec des coureurs d’expérience et un collectif soudé emmené par l’éternel Pascal Jambon » commente celui qui n’a connu qu’un seul club depuis ses débuts en compétitions en 2013. Membre de la génération 2001 du club de la capitale, Valentin Bialé continuait de rouler ponctuellement aux Polygones de Vincennes (Paris 12e), conjuguant environnement sportif et professionnel avec notamment la couverture des deux derniers toujours de France cycliste masculin pour un site spécialisé. Le nouveau coureur Séquano-Dionysien rêve un jour d’interroger les coureurs professionnels franciliens Donavan Grondin et Paul Penhoët ou anciens franciliens comme Julian Alaphilippe.

 

Victor Grézaud. 

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Nos pronos pour… Meigneux (access)

Clap de fin pour la saison access ce dimanche à Meigneux (Seine-et-Marne)! Sur cette organisation du VC Saint-Mammès et du Lagny Pontcarré Cycliste, les candidats à la victoire seront nombreux pour accrocher l’ultime bouquet de la saison 2025. Attention au vent qui pourrait jouer son rôle.

A1

*** : Bona (UVCA Troyes), G. Matrat (EC du Houdanais), Nativel (CSM Puteaux).

** : Dreano (Team Allcycles-Meaux), C.Matrat (CC Coulommiers), Ferguenis (Watt Cycling Club).

* : Buttiens (CSM Clamart 92), Clavier (CM Aubervilliers 93), J-C Nolius (Lagny Pontcarré Cycliste).

A2

*** : Craz (Lagny Pontcarré Cycliste), Plaissy (La Pédale Fertoise), Sautrau (Paris Cycliste Olympique).

** : Choné (PCO), Lejeune (PF), Quignon (Team Peltrax-CSD).

* : Blary (VC Fontainebleau-Avon), Jacquart (VCFA), Sardenne (SC Gretz-Tournan).

A3

*** : Lenoir (Melun Cyclisme Organisation), Mezzatesta (EC Aulnay-Drancy 93), Vanderhaegen (Stade de l’Est Pavillonnais).

** : Cabras (Lagny Pontcarré Cycliste), Martorell (USM Gagny), Timbert (VC Sens).

* : Grégoire (EC Montgeron-Vigneux), Lardon (VC Fontainebleau-Avon), Posenato (VC Sens).

A4
*** : Annaval (US Nemours-Saint-Pierre), Gallois (Melun Cyclisme Organisation), Martignon (La Pédale Fertoise).

** : Bèvre (USNSP), Ferreira (CC Coulommiers), Olivier (PF).

* : Legentil (EC Neuilly-Plaisance), Mathé (Courbevoie Spots), Nourry (Team 94 Cycling).

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Des podiums mais pas de titres

Championnats d’Île-de-France de VTT:

Le championnat d’Île-de-France de VTT 2025 ne restera pas dans les annales du cyclisme seine-et-marnais ! Disputé le 1er juin dernier sur le parcours de Buthiers, l’épreuve n’a vu aucun pilote du département être couronné au classement scratch. Favori dans la catégorie des seniors, Lucas Dubau est tombé sur plus fort. Le pensionnaire du Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys prend la deuxième dans cette catégorie juste devant Lucas De Salvo (BC Noisy-le-Grand) qui complète le podium et Antoine Ménage (Team Allcycles-Meaux). Dans les autres catégories, Maëlys Canault (VC Sulpicien), arrive deuxième dans la catégorie des U-19 filles tout comme sa coéquipière Zoé Michout, médaille d’argent dans la catégorie des U-17 filles. Théo Butin (Thomery VTT) termine douzième chez les U-19 garçons tandis que Romuald Rodriguez (Team Allcycles-Meaux) arrive en onzième position au scratch des masters. A noter l’absence d’Olivia Onesti (VC Fontainebleau-Avon) et de Joshua Dubau (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) focalisés sur les prochaines échéances internationales avec en ligne de mire la coupe du Monde VTT.

 

Photo : Loïc Manceau. 

 

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A la découverte de… L’Imperial Treasure (Paris 8e arrondissement)

L’Imperial Treasure, l’excellence de la cuisine chinoise au cœur de Paris

Et si vous partiez à la découverte du raffinement de la cuisine gastronomique chinoise sans quitter les frontières de l’Hexagone ? C’est possible et c’est ce que vous propose l’Imperial Treasure, au 44 rue de Bassano dans le huitième arrondissement de la capitale. Franchir les portes de l’établissement, c’est se plonger dans l’histoire avec un grand H. Du groupe tout d’abord. Sous l’impulsion de l’entrepreneur , Alfred Leung, la marque « Imperial Treasure » est née au début des années 2000 dans l’état de Singapour. Petit à petit l’oiseau a fait son nid et l’enseigne est devenue un sceau mondialement reconnu avec près d’une vingtaine de restaurants aux quatre coins de la planète d’Incheon (Corée du Sud) à Tokyo (Japon) en passant par Shanghai (Chine) et Londres(Angleterre) avec un total de cinquante récompenses prestigieuses dans le domaine gastronomique. Six de ses établissements sont étoilés au Guide Michelin avec une mention particulière pour ceux de Shanghai et Guangzhou avec deux étoiles.

 

Le bar de l’Imperial Treasure. Photo: DR.

 

Découvrir l’Imperial Treasure, c’est aussi un saut dans la France archirecturale du XIXe siècle. le restaurant est dans un hôtel particulier bonapartien du style second empire, comme il en existe de nombreux aux abords des Champs-Elysées, considérée par beaucoup comme la plus belle avenue du monde à l’heure actuelle. Et côté fourneaux ? L’Imperial Treasure made in Paris décline plusieurs best-sellers de la culture et de la gastronomie chinoise avec de multiples propositions que les initiés, ou non, apprécieront telles que la cuisine cantonaise, shanghaïenne, teochew, Huaiyang, vapeur ou grillades sous l’impulsion de Yu Gang. Originaire du Jiangxi, une région de Chine et formé à Suzhou et Shanghai, le chef exécutif est la touche du savoir-faire culinaire du restaurant avec un scrupuleux respect des traditions que l’on retrouve à travers certains incontournables de la carte.

C’est notamment le cas des dim sum nouilles Dan Dan ou du bar frit à la sauce aigre-douce. Les crevettes sautées façon Kung Pao, le bœuf croustillant au poivre noir ainsi que les mochis à la crème fouettée et mangue le tout en fait-maison font aussi partie des mets plébiscités par une clientèle internationale. Directeur général de l’établissement, Cyril Manceau et son équipe d’une vingtaine de serveurs, d’hôtesse et de commis sont là pour assurer une qualité de service unique dans le respect de la tradition chinoise avec une « french touch » contemporaine de François Vatel ou encore Marie-Antoine Carême, des pionniers de la cuisine hexagonale lors de leurs siècles respectifs. Les plats sont accompagnés par une carte des vins proposée par une référence en la matière, Tony Fu. Près de 300 références sont à la carte de l’Imperial Treasure avec des cépages français mondialement reconnus comme des Bourgogne, des Bordeaux ou des vins du sud mais pas uniquement. Le Dom Pérignon, père fondateur du champagne en 1668, est à la carte tout comme Krug et d’autres marques prestigieuses que vous pourrez également retrouver au Liu Ling Bar, situé juste à l’entrée du restaurant. L’Imperial Treasure propose plusieurs expériences gustatives mais certaines ressortent du lot avec un déjeuner en six temps à 86 € et un menu signature en huit temps à 175 €, hors vin, café, et autres. Candidat à l’étoile Michelin après avoir été « assiette Michelin » par le passé dans le fameux guide rouge, l’Imperial Treasure Paris est donc une expérience gustative unique à découvrir et apprécier dans une ambiance feutrée, avec toute l’exigence , la rigueur que l’on peut attendre d’un restaurant gastronomique chinois.

 

 

Tony Fu, assistant manager à l’Imperial Treasure (Paris 8e) Photo: LM

Le mot de Tony Fu (assistant manager et chef sommelier à l’Imperial Treasure Paris) : « J’ai un parcours professionnel assez riche avec des expériences dans de nombreuses maisons de la capitale française à l’image de la Bohemia, du Shang-Palace comme beaucoup d’entre nous, ou encore l’Abeille, des restaurants du Shangri-la. J’ai aussi eu l’opportunité de travailler dans mon pays natal en Chine en mêlant un emploi de formateur gastronomique pour des restaurants. La France me manquait et lorsque j’ai eu l’opportunité de rejoindre l’Imperial Treasure, j’ai immédiatement saisi cette chance de travailler pour un grand groupe avec des visages familiers dans une ambiance raffinée et rigoureuse où l’expérience client est au centre de notre préoccupation. Je suis passionné par le vin et j’adore le mariage que l’on peut lui faire avec les plats que nous proposons à la carte. Nous sommes là pour que les clients passent une agréable expérience culinaire et mon rôle est de les conseiller dans leurs choix. Mais cela ne se fait pas à l’emporte-pièce. Je m’intéresse d’abord à leur goût, de leur affinité en général pour les orienter de manière en fonction du plat choisi et de notre carte. Par exemple, j’aime le Pinot noir et plus généralement le Bourgogne, mais j’aime bien aussi faire découvrir de nouveaux vins comme ceux de Chine par exemple. Nous avons une clientèle de connaisseurs qui vient déguster des vins familiers à leur palet , mais également de novices qui sont là pour aussi apprécier ce qu’il y a dans le verre. En tant que chef sommelier, il y a le travail en amont qui demande beaucoup d’échanges notamment au niveau des commandes. J’aime aussi qu’il puisse y avoir des vins dit « nouveau monde » comme les sud-américains sans compter les champagnes appréciés par notre clientèle. Quoi de plus normal dans le pays qui a vu naitre cette alcool (sourires). Nous avons aussi des épicuriens de l’assiette qui aiment certains mariages. Par exemple, notre canard laqué avec un vallée du Rhône ou encore un blanc aromatique avec nos desserts à base de fruit exotique. Avec nos références, l’Imperial Treasure se veut aussi une place forte de la gastronomie chinoise sur la carte des vins tout comme dans l’assiette tant aussi bien pour le sucré que pour le salé».

 

Plus d’informations sur l’Imperial Treasure ? C’est ici ! 

Photos : DR. 

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Brèves

Marin Joris-Meunier (La Pédale Fertoise) a pris la deuxième place de la course U-13-1 d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 2 avril dernier.

Nolan Kurnikowski (Lagny Pontcarré Cycliste) a pris la deuxième place de la course U-15 de Gagny (Seine-Saint-Denis), le 6 avril dernier.

Damien Degot (Guidon Provinois) est monté sur la troisième marche du podium de la course élite de Gouy-sous-Bellonne (Pas-de-Calais), le 6 avril dernier.

Emilie Frussotte (Team Cycliste en Danseuse) a remporté le titre régional Ufolep des 40-49 ans VTT féminines à Marines (Val d’Oise), le 6 avril dernier.

Thierry Olivier (La Pédale Fertoise) a pris la troisième place de la course 4e catégorie (Ufolep) du Bardon (Loiret), le 6 avril dernier.

Lucas Dubau (Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys) s’est classé troisième chez les élites hommes lors de la course VTT du Bannet (Ardennes), le 20 avril dernier.

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