A la découverte de… L’Imperial Treasure (Paris 8e arrondissement)

L’Imperial Treasure, l’excellence de la cuisine chinoise au cœur de Paris

Et si vous partiez à la découverte du raffinement de la cuisine gastronomique chinoise sans quitter les frontières de l’Hexagone ? C’est possible et c’est ce que vous propose l’Imperial Treasure, au 44 rue de Bassano dans le huitième arrondissement de la capitale. Franchir les portes de l’établissement, c’est se plonger dans l’histoire avec un grand H. Du groupe tout d’abord. Sous l’impulsion de l’entrepreneur , Alfred Leung, la marque « Imperial Treasure » est née au début des années 2000 dans l’état de Singapour. Petit à petit l’oiseau a fait son nid et l’enseigne est devenue un sceau mondialement reconnu avec près d’une vingtaine de restaurants aux quatre coins de la planète d’Incheon (Corée du Sud) à Tokyo (Japon) en passant par Shanghai (Chine) et Londres(Angleterre) avec un total de cinquante récompenses prestigieuses dans le domaine gastronomique. Six de ses établissements sont étoilés au Guide Michelin avec une mention particulière pour ceux de Shanghai et Guangzhou avec deux étoiles.

 

Le bar de l’Imperial Treasure. Photo: DR.

 

Découvrir l’Imperial Treasure, c’est aussi un saut dans la France archirecturale du XIXe siècle. le restaurant est dans un hôtel particulier bonapartien du style second empire, comme il en existe de nombreux aux abords des Champs-Elysées, considérée par beaucoup comme la plus belle avenue du monde à l’heure actuelle. Et côté fourneaux ? L’Imperial Treasure made in Paris décline plusieurs best-sellers de la culture et de la gastronomie chinoise avec de multiples propositions que les initiés, ou non, apprécieront telles que la cuisine cantonaise, shanghaïenne, teochew, Huaiyang, vapeur ou grillades sous l’impulsion de Yu Gang. Originaire du Jiangxi, une région de Chine et formé à Suzhou et Shanghai, le chef exécutif est la touche du savoir-faire culinaire du restaurant avec un scrupuleux respect des traditions que l’on retrouve à travers certains incontournables de la carte.

C’est notamment le cas des dim sum nouilles Dan Dan ou du bar frit à la sauce aigre-douce. Les crevettes sautées façon Kung Pao, le bœuf croustillant au poivre noir ainsi que les mochis à la crème fouettée et mangue le tout en fait-maison font aussi partie des mets plébiscités par une clientèle internationale. Directeur général de l’établissement, Cyril Manceau et son équipe d’une vingtaine de serveurs, d’hôtesse et de commis sont là pour assurer une qualité de service unique dans le respect de la tradition chinoise avec une « french touch » contemporaine de François Vatel ou encore Marie-Antoine Carême, des pionniers de la cuisine hexagonale lors de leurs siècles respectifs. Les plats sont accompagnés par une carte des vins proposée par une référence en la matière, Tony Fu. Près de 300 références sont à la carte de l’Imperial Treasure avec des cépages français mondialement reconnus comme des Bourgogne, des Bordeaux ou des vins du sud mais pas uniquement. Le Dom Pérignon, père fondateur du champagne en 1668, est à la carte tout comme Krug et d’autres marques prestigieuses que vous pourrez également retrouver au Liu Ling Bar, situé juste à l’entrée du restaurant. L’Imperial Treasure propose plusieurs expériences gustatives mais certaines ressortent du lot avec un déjeuner en six temps à 86 € et un menu signature en huit temps à 175 €, hors vin, café, et autres. Candidat à l’étoile Michelin après avoir été « assiette Michelin » par le passé dans le fameux guide rouge, l’Imperial Treasure Paris est donc une expérience gustative unique à découvrir et apprécier dans une ambiance feutrée, avec toute l’exigence , la rigueur que l’on peut attendre d’un restaurant gastronomique chinois.

 

 

Tony Fu, assistant manager à l’Imperial Treasure (Paris 8e) Photo: LM

Le mot de Tony Fu (assistant manager et chef sommelier à l’Imperial Treasure Paris) : « J’ai un parcours professionnel assez riche avec des expériences dans de nombreuses maisons de la capitale française à l’image de la Bohemia, du Shang-Palace comme beaucoup d’entre nous, ou encore l’Abeille, des restaurants du Shangri-la. J’ai aussi eu l’opportunité de travailler dans mon pays natal en Chine en mêlant un emploi de formateur gastronomique pour des restaurants. La France me manquait et lorsque j’ai eu l’opportunité de rejoindre l’Imperial Treasure, j’ai immédiatement saisi cette chance de travailler pour un grand groupe avec des visages familiers dans une ambiance raffinée et rigoureuse où l’expérience client est au centre de notre préoccupation. Je suis passionné par le vin et j’adore le mariage que l’on peut lui faire avec les plats que nous proposons à la carte. Nous sommes là pour que les clients passent une agréable expérience culinaire et mon rôle est de les conseiller dans leurs choix. Mais cela ne se fait pas à l’emporte-pièce. Je m’intéresse d’abord à leur goût, de leur affinité en général pour les orienter de manière en fonction du plat choisi et de notre carte. Par exemple, j’aime le Pinot noir et plus généralement le Bourgogne, mais j’aime bien aussi faire découvrir de nouveaux vins comme ceux de Chine par exemple. Nous avons une clientèle de connaisseurs qui vient déguster des vins familiers à leur palet , mais également de novices qui sont là pour aussi apprécier ce qu’il y a dans le verre. En tant que chef sommelier, il y a le travail en amont qui demande beaucoup d’échanges notamment au niveau des commandes. J’aime aussi qu’il puisse y avoir des vins dit « nouveau monde » comme les sud-américains sans compter les champagnes appréciés par notre clientèle. Quoi de plus normal dans le pays qui a vu naitre cette alcool (sourires). Nous avons aussi des épicuriens de l’assiette qui aiment certains mariages. Par exemple, notre canard laqué avec un vallée du Rhône ou encore un blanc aromatique avec nos desserts à base de fruit exotique. Avec nos références, l’Imperial Treasure se veut aussi une place forte de la gastronomie chinoise sur la carte des vins tout comme dans l’assiette tant aussi bien pour le sucré que pour le salé».

 

Plus d’informations sur l’Imperial Treasure ? C’est ici ! 

Photos : DR. 

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Un Air Legend 2025 dans la continuité

Les années se suivent et se ressemblent pour le Meeting Air Legend ! Organisé les 6 et 7 septembre dernier sur l’Aérodrome de Villaroche (Seine-et-Marne), ce rendez-vous incontournable de l’aéronautique a encore une fois attiré des dizaines de milliers de spectateurs initiés ou non à ce domaine. Cette année, le Meeting a connu un changement majeur et pas des moindres avec la disparition de son organisateur historique, Monsieur Amara, en février dernier. C’est Monsieur Larrivière qui a repris le flambeau avec l’idée de perdurer cet alliage entre divertissement, histoire et culture aéronautique. Parrainée par François Allain, journaliste de référence dans ce domaine, cette édition 2025 a été marquée par de nombreuses activités au sol, des baptêmes de l’air dans des avions d’époque ou encore un village d’animations avec de nombreux exposants composés notamment d’auteurs et dessinateurs. Au total, c’est près de 80 avions qui ont volé dans le ciel seine-te-marnais et près de 200 bénévoles qui ont été mobilisés pour cet incontournable rendez-vous international de l’aéronautique. « C’est la première fois que j’assistais à un Meeting aérien ! Je connais un peu le secteur pour y pratiquer ponctuellement le vélo, c’est vraiment formidable de proposer ce genre d’activité dans ce coin du département » s’enthousiaste Éric prêt à remettre le couvert dès l’année prochaine. Le rendez-vous est d’ores et déjà pris pour 2026. 

 

Photos : Fabrice Sautereau. 

 

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Les Boucles de la Juine, c’est ce dimanche 14 septembre 2025 !

 l’Entente Sportive Renault Group organise la 34e édition de sa randonnée VTT / Gravel : les « Boucles de la Juine » ce dimanche 14 septembre 2025 à Lardy (Essonne). 

A cette occasion cinq parcours VTT de 20 à 70 kilomètres seront proposés au sein du Parc Naturel Régional du Gâtinais  avec notamment un passage par Chamarande et quelques sports appréciables.

Innovation cette année, deux parcours Gravel de 50 et 75 kilomètres  sont aussi au programme. Ils seront sans balisage, seulement à la trace GPS. 

Si inscription à l’avance, vous profiterez de trois avantages exclusifs :
1. Bon de réduction Alltricks -10 €
2. Traces GPS diffusées le 12 septembre
3. Mise à disposition des photos prises sur le parcours

Par ailleurs, l’inscription est trois fois moins chère pour les mineurs

Infos et modalités d’inscriptions : https://www.helloasso.com/associations/entente-sportive-renault-group/boutiques/les-boucles-de-la-juine

Inscriptions :
• Sur internet via Hello Asso (obligatoire pour les Gravel)
• Sur place mais sans les 3 avantages de la formule internet
• Sur liste pour les clubs avant le 11 septembre (mêmes avantages que la formule internet), nous contacter

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Clap de fin pour la N1 du Paris Cycliste Olympique

Le cyclisme francilien va connaitre un gros bouleversement dans son paysage en 2026 ! Après avoir gravi successivement la N3, la N2 puis la N1 en l’espace de sept ans, la formation du Paris Cycliste Olympique a décidé de stopper son équipe à cet échelon de compétition. « Nous souhaitons rééquilibrer les activités du club en donnant davantage de moyens à notre centre de formation, aux catégories intermédiaires access et open, et à nos actions de mobilité. La santé financière du club est bonne, nous aurons un budget au moins équivalent à celui de cette année, mais nous devons réaliser maintenant les investissements nécessaires au futur du club » explique dans un communiqué de presse Christian Masola, président du Paris Cycliste Olympique. Considéré comme un club formateur de référence en région parisienne à l’image du récent titre de champion d’Île-de-France, d’Alban Laurent à Magny-les-Hameaux (Yvelines), le 22 juin dernier, le PCO a décidé de réorienter sa politique actuelle vers une équipe U-19 de haut-niveau. « En créant une équipe U19, nous complétons notre filière de formation, et nous suivons l’évolution du cyclisme actuel. Le cyclisme de haut niveau se pratique de plus en plus jeune, et les équipes professionnelles recrutent directement dans le vivier des U19. Nous devons nous adapter, car l’ambition du PCO, c’est toujours d’avoir une filière de formation intégrée à une équipe professionnelle, qu’elle soit externe ou adossée à l’image de Paris » poursuit le dirigeant parisien tout en rappelant que près de 250 coureurs dont 70 jeunes de U-7 à U-17 composent l’effectif 2025. Pour porter ce projet, l’équipe dirigeante du Paris Cycliste Olympique a fait appel à Frédéric Blanchon. Après avoir fait ses classes en tant que coureur au sein du CSM Puteaux (Hauts-de-Seine), considérée comme l’une des meilleures équipes de France en école de vélo à la fin des années 90, avant de rejoindre le COM Argenteuil devenu Argenteuil Val de Seine 95 dans le sillage de son père, Éric Blanchon, président du club durant de nombreuses années. Devenu par la suite un technicien de référence national ayant contribué à la progression de bon nombre de coureurs dont beaucoup sont actuellement dans les rangs professionnels, Frédéric Blanchon apportera toute son expérience au sein de cette nouvelle formation. « La concurrence est très forte sur le marché des U-19 haut niveau. Unir notre expertise de la N1 à celle de Frédéric sur la catégorie U-19, nous donne beaucoup de confiance et d’ambition pour atteindre être compétitifs dès 2026 » affiche Christian Masola tout en précisant que le Paris Cycliste Olympique ouvrira également une filière de formation féminine au niveau des U-15 et U-17. « Notre objectif, c’est de promouvoir la mixité au sein du cyclisme parisien, en structurant une base de formation solide, loisir et compétition. Cette filière féminine a vocation à grandir, nous verrons jusqu’où on peut aller », poursuit le président parisien dans son communiqué. Pour rappel, le Paris Cycliste Olympique a connu une véritable évolution depuis 2014 et la création d’une équipe 2e catégorie, pierre fondatrice des différents projets, composée à l’époque notamment de Tristan Horreaux, Julien Kerboriou, Joseph Verrier et Yohann Lossouarn. A l’horizon 2026, il n’y aura donc plus d’équipes masculines de niveau DN sur route en Île-de-France alors que la région a pu en compter un grand nombre par le passé avec le CA Mantes-la-Ville, l’AC Val d’Oise, le Team Bonnat 91, l’AS Corbeil-Essonnes, l’US Créteil , le Parisis AC 95 ou encore plus récemment le Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys.

 

Photo : Loïc Manceau.

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Andréo sur tous les fronts

Maximilien Andréo (Parisis AC 95) fait partie des coureurs fidèles à leur structure depuis plus de vingt ans

Maximilien Andréo et le Parisis AC 95? C’est une longue histoire d’amour qui a débuté à la fin du siècle dernier et une idylle qui se poursuit encore bien des années plus tard. A 38 ans, le protégé du président Pascal Noël reste toujours une référence du peloton francilien open à l’image de sa récente victoire sur la nocturne de Dreux (Eure-et-Loir) dans le courant du mois de juin. « Mon début de saison était plutôt moyen niveau résultats mais je me sens quand même en forme ces derniers temps . Par rapport aux années précédentes, il m’a manqué un plus de motivation pour les courses sur routes surtout en catégorie open 1 avec un calendrier un peu maigre en région parisienne » souligne le coureur val d’oisien également bon spécialiste de cyclo-cross. « Avec le temps, j’aime avant tout le cyclo-cross l’hiver et maintenant je participe également à des manches UCI de gravel .Je pense vraiment que dans un avenir proche ma saison sera plus axée sur cette discipline » affirme Maximilien Andréo, souvent sur le devant de la scène sur les courses masters de cette discipline. « Cependant, je garde un goût amer du précédent exercice et notamment des coupes de France. Certes, je n’ai pas performé car j’étais tout simplement moins fort que j’espérais. Je n’y participerai plus il n’y a vraiment plus aucune considération pour cette catégorie par rapport à deux ou trois ans en arrière où il y avait des départs séparés, maintenant notre départ est le dimanche matin à la première heure on reconnaît le circuit parfois à la lampe (sourires) et toutes les catégories Master 1 à 8 sur la même course donc cela devient n’importe quoi .Au bout de 20 minutes on passe notre temps à slalomer entre les concurrents doublés je trouve cela dommage pour une coupe de France ».

 

Motivé pour la deuxième partie de saison, le rouleur sprinteur val d’oisien s’est fixé des objectifs importants avec notamment à Saint-Sauveur-le-Vicomte (Manche) du 18 au 20 juillet. « Sur le début de saison, je n’ai pas vraiment de regret juste une petite déception sur la course de Villebon-sur-Yvette où je me sentais vraiment très fort mais j’ai mal manœuvré dans le final. Je suis focus sur le France masters sur route. Ensuite je vais prendre un petit peu de repos pour bien finir la saison avec de beaux objectifs en gravel et notamment le championnat de France fin septembre puis les mondiaux mi-octobre» détaille le protégé du Pascal Noël tout en revenant sur l’équipe du Parisis AC 95, version 2025. « Nous avons un groupe assez homogène avec une partie de l’équipe qui a de l’expérience, pour ne pas dire vieux (sourires) dont je fais partie et notre équipe de jeunes juniors qui est motivé pour apprendre !Je pense que nous devons améliorer la communication en course car nous avons l’avantage d’être souvent en surnombre au départ des courses. Une bonne communication est primordiale pour prendre les choses en main et pour mener le groupe à la victoire ».

Photo : Loïc Manceau.

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« Le petit coureur » a tout d’un grand

Un nouveau livre pour Loïc Manceau ! Après « Les 100 excuses du cycliste » puis « Chronique sentimentale », l’auteur francilien revient à ses premiers amours avec le roman, « Le petit coureur ». Durant près de 300 pages, nous suivons les aventures sportives et sentimentales de Luc Bardini, jeune coureur qui débute les compétitions en école de vélo jusqu’à vouloir un jour devenir un coureur professionnel. Si son parcours est semé d’embuche, cette fresque volubile nous déteint le portrait d’une société contemporaine au cœur d’un voyage rafraichissant et rythmé de la France  du 21e siècle. « Le petit coureur » est un pari pleinement réussi qui ne ravira pas uniquement les passionnés de sports, mais tous les types de lecteur, amoureux d’aventure au rythme de cette ode à la vie et à l’amitié.

 

 

Plus d’informations sur l’ouvrage ? C’est ici ! 

https://www.editionsduvolcan.com/catalogue/LE-PETIT-COUREUR-p715678719

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L’équipe de Radio Peloton a vu… « Brin de folie sur le tour »

A moins d’un mois du départ du Tour de France masculin, l’effervescence commence à monter chez les aficionados de la petite reine. En attendant les premiers tours de roue de cette grande messe estivale, quoi de mieux que d’assister à la pièce « Brin de folie sur le Tour » ? Jouée au théâtre de la Divine Comédie (Paris 9e) du 1er avril au 24 juin 2025, cette pièce met en scène plusieurs personnages durant une étape de la « Grande Boucle » et si certains vous sont familiers, cela n’est qu’une simple coïncidence ou pas… La grande caravane du Tour de France ramène sur le bord des routes son lot d’histoires et de personnages, au parcours différent mais tous réunis par le passage éphémère d’un peloton filant vers une quête d’étapes ou d’un graal aux teintes jaunies. Parmi eux, vous trouverez peut-être Steven, le journaliste de presse quotidienne régionale qui couvre cet évènement pour la première fois de sa jeune carrière, Arielle, l’ex miss devenue par la suite l’épouse de Bernard, ancienne vedette du vélo local, nostalgique d’un passé qui devient de plus en plus lointain et enfin Jessica, la cyclotouriste belge qui s’est mis en tête de faire le Tour de France pour récupérer le cœur de son ancien compagnon, champion cycliste de son état, à moins que les raisons soient autres ? Force est de constater que nous nous laissons rapidement embarquer dans ce peloton dynamique de « Brin de folie sur le Tour » aux nombreuses références contemporaines et qui séduira les petits comme les grands. Les spectateurs franciliens apprécieront certaines références aux coureurs du cru. L’art est souvent un magnifique vecteur pour transmettre des émotions et s’évader d’une actualité morose le temps d’une parenthèse d’une heure vingt. Avec ce spectacle qui parle à toutes et tous, le pari est réussi pour Yves Pontonnier le metteur en scène et auteur de cette pièce.

« Brin de folie sur le Tour » se jouera une dernière fois dans la capitale  le 24 juin à 21h00 à la Divine Comédie (Paris 9e) avant de se produire du 5 au 26 juillet à 14h30 au Théâtre de l’Ange lors du Festival off d’Avignon (Vaucluse).

 

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Une édition 2025 de la Ferté-Alais perturbée par la météo

Meeting de la Ferté-Alais 2025 :

Le Meeting de la Ferté-Alais version 2025 a connu un invité inattendu et qui a surement joué un rôle néfaste sur l’affluence en la personne de la pluie ! Organisé les 7 et 8 juin dernier par l’Amical Jean-Baptiste Salis, le Meeting promettait d’être une nouvelle fois spectaculaire avec de nombreuses références aux grandes heures de l’aviation. Habitué à ravir les jeunes comme les moins jeunes, « Le Temps des Hélices » a  fait étalage de cette grande fête de l’aéronautique malgré une fréquentation en chute libre par rapport aux années précédentes avec près de 20000 personnes sur l’ensemble du week-end contre près du double l’an dernier. « Je pense aussi que ce week-end de la Pentecôte a également joué son rôle avec beaucoup de personnes qui ont pris du bon temps loin de la région parisienne» concède Pierrick, habitué du Meeting depuis de nombreuses années et ébahi devant le show aérien proposé avec les Blériot XI et Caudron G3, le Fokker DR1 Triplan. Cette édition 2025 a également été marqué par le passage de la patrouille de France, une première sur un rassemblement privé depuis mars dernier. La suite ? Elle s’avère assez incertaine, la fréquentation en baisse a affecté sur tous les plans l’Amicale Jean-Baptiste Salis. Cependant l’enthousiasme des spectateurs présents et la qualité du show proposé sont autant d’atouts qui nous font espérer une nouvelle édition en 2026.

 

Photo : Fabrice Sautereau.

 

 

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Le tuyau de Cédric Herledan (Pédale Combs-la-Villaise) à … Sourdun

Sourdun va vibrer vélo en ce 1er juin 2025 ! La localité de l’Est du 77 sera le théâtre des championnats d’Île-de-France U-19 et open hommes ainsi que des dames toutes catégories. L’occasion de faire un tour d’horizon du parcours proposé avec Cédric Herledan, sociétaire de la Pédale Combs-la-Villaise et engagé dans la catégorie des O3 :

« Avec la PCV, je ne l’ai pas fait beaucoup comme on est plus assez pour participer aux Challenges du Comité d’Île-de-France, je dirai que ça sera la troisième fois que je vais prendre part à une course dans la localité. A Sourdun, je n’ai pas spécialement de beaux souvenirs mais des expériences différentes et plutôt sympathiques. C’est la seule fois où j’ai conduit une voiture ouvreuse lors de notre organisation. C’était d’ailleurs la première course post-covid. La particularité de ce circuit réside dans le fait que la descente précède la côte ce qui n’offre pas de récupération immédiate sur le haut, d’autant plus qu’on se retrouve en prise avec le vent sur des lignes droites complètement dégagées. Selon moi le placement change pas mal de choses. Il faut être devant car pour moi la différence se fera sur le haut de la côte avec d’importants risques de bordures étant donné le vent que nous avons actuellement en région parisienne ».

Photo : Loïc Manceau.

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Le Temps des Hélices fait son cinéma

L’aérodrome de Cerny-La Ferté-Alais (Essonne) va vibrer à l’occasion de la 52e édition du Meeting du « Temps des Hélices », les 7 et 8 juin ! A l’occasion de cette manifestation organisée par l’Amicale Jean-Baptiste Salis, la thématique de l’aéronautique sera largement mise à l’honneur. Quoi de plus normal quand on sait que Le Temps des Hélices raconte l’histoire de l’aviation, ancienne et moderne, civile et militaire, au travers de la présence d’une centaine d’appareils exposés, dont la plupart est également présentée en vol et cela depuis plus d’un demi-siècle ! Comme lors des éditions précédentes, les matinées seront réservées aux statiques, l’occasion pour les milliers de spectateurs d’approcher de près des pièces uniques alors que l’après-midi sera consacré aux démonstrations et show-aériens, le tout par thématique. De nombreux animations seront proposées tout au long du week-end avec notamment des exposants en lien avec le domaine aéronautique. En rendant hommage au « septième art » avec tes tableaux historiques, « Le temps des Hélices », version 2025, compte bien marquer une nouvelle fois les esprits. L’association Pilotes de Guerre évoquera les acteurs de certains films aéronautiques au côté des appareils concernés. La compagnie Périgrin remémorera Amelia Earhart au pied du Lockheed L12 Electra.

 

Photo : Loïc Manceau.

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